My name is Jay

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Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi je n'arrivais pas à dormir. Pourtant ma journée avait été fatiguante...enfin, un peu....Bon pas fatiguante du tout mais ce n'était pas une raison. Mon corps était surement en train de me faire une grève du sommeil. En tout cas, j'avais besoin de reposer mon cerveau. Je ne voulais m'infliger aucun effort intellectuel. En fait, je ne voulais m'infliger aucun effort du tout.

C'est donc sans grand entrain que je pris mon téléphone. Mon intention première était simplement de voire ce que cette personne voulait. J'allai dans ma boîte de reception. Je cliquai sur le message. J'étais profondément ennuyée par cette situation. Je parcourus le message des yeux et plus j'avançais plus mes yeux s'écarquillaient de surprise. Mon coeur se mis soudain à battre à une allure inimaginable. Voici ce que je pouvais lire:

-"Services secrets de la CyberPolice de Edongarden

Mlle Tsaiko, le corps de Cyberpolice de Edongardon a le regret de vous annoncez le début de votre perquisition virtuelle pour une durée de 3 mois. Cette perquisition consiste à vous enlever tous vos droits sur vos appareils électroniques ainsi qu'à saisir tous vos comptes quels qu'ils soient.
Une plainte a été portée, à nos services, contre vous pour piratage. Si l'accusation énoncée ci-dessus est confirmée vous serez jugée et condamnée selon notre politique.
D'ici , il vous est fortement recommandé de ne recourir à aucun des appareils qui suit: ordinateur portable, tablette, ipad; il vous est toutefois, permi d'utiliser un téléphone.
Notre travail est d'assurer la sécurité de nos concitoyens par tous les moyens.
Veuillez vous présentez dans les plus brefs délais dans le post de police le plus proche.

Bien à vous SSCPE "

Que quelqu'un me pince parce que j'étais surement en train de rêver. Pourtant le message était bien réel. Moi qui n'était pas fichu de pirater un jeux. Je ne serais même pas capable de me pirater moi-même. Était-ce une blague?

Je tremblais de tous les muscles de mon corps. Bien qu'un vent froid circulait dans toute ma chambre, je transpirais. Je me levai de mon lit et me mis à faire les cents pas dans la piéce. Je tournais comme un lion en cage, encore sous le choc. Si ça se trouve toute la police de Edongarden était à mes trousses au moment ou je parlais. Je relisais encore et encore ce message. Peut-être qu'il parlait d'une autre fille. Mon cerveau essayait de digérer cette nouvelle. Je voulais appeler Hyowin. Je composai son numéro:

Réalité VirtuelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant