17 pdv d'Hanna

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- Mais, continuais-je, tu es aussi la personne que j'aime le plus. Jamais quelqu'un ne m'a ait ressentir ce que je ressens pour toi, même si tu me fais pleurer, tu me rends heureuse à coups surs. Alaric Holfman, je t'aime... Je t'aime à la folie, tu ne peux pas savoir, il n'y a pas de mots pour décrire ce que je ressens pour toi en ce moment...

Sans attendre un seconde de plus le plus beau ce produisit.

Il m'embrassa. Des milliers de papillons s'envolèrent dans mon ventre, je me sentis revivre lorsque ses lèvres se posèrent sur le miennes. Puis après ce qui me semblait un court instant, il se détacha de moi. Contrariée et surprise qu'i ait mit fin à ce moment magique, j'accrochais mes mains à sa nuque et l'embrassa encore. Dans ce baiser, je laissais paraître tout ce que je ressentais pour lui. Toute ma haine, ma déception, mon amour, ma passion pour lui. Il mit alors ses mains autour de ma taille pour rapprocher nos deux corps. Tout se mélangeait dans ma tête, tout était confus. Je me sentais ailleurs.

Après ce qui semblait être des heures nous nous détachions l'un de l'autre à bout de souffle.

Il me reprit dans ses bras puis me dit :

- Tu... Tu veux venir chez moi?

Je savais très bien ce qu'il avait derrière la tête en ce moment...

- Pourquoi pas? dis-je avec un surprenant enthousiasme.

Alors que nous marchions sans dire un mot, je décidais ce dire quelque chose:

- Dix mois...

- Dix mois? répéta celui que j'aime

- Ca faisait dix mois que j'attendais que tu fasse ça.

- De quoi?

- Bin de m'embrasser patate!

- Ha! Et bien ça faisait dix mois que j'hésitais à le faire...

- Pourquoi? dis-je alors

- J'avais peur qu'en le faisant tu..., il s'arrêta

- Que je ne??

- Bin que tu ne me rejette...

A ce moment, ce qu'il me dit me fendit le cœur... J'avançais un peu et me mis devant lui et sans attendre, je l'embrassais encore un fois.

- Jamais... dis-je

Il me regardait sans comprendre.

- Jamais je ne te rejetterai, jamais tu entends? JAMAIS!

Il me regarda et me souris puis m'embrassa.

Encore à quelques centimètres de mes lèvres, il me murmura:

- Je t'aime...

- Je t'aime aussi, répondis-je.

******* Ellipse du trajet********

Arrivés chez lui, il n'y avait personne, nous montions directement à l'étage dans sa chambre. Il referma la porte à clefs.

J'étais étonné de voir la propreté de sa chambre. Elle était immense (enfin comparée à la mienne). Il y avait une armoire en bois, son lit en face et au pieds de ce dernier, un bureau très bien rangé. Au fond de sa chambre il y avait aussi une baie-vitrée qui donnait sur un petit balcon.

- Alors?

Je fus sortit de mes pensées quand l parla

- Et bien... C'est... commençais-je

- C'est...?

- C'est joli!

- C'est tout? dit-il avec une mine décomposée

A sa réaction j'éclatais de rire. Je riais tellement que j'en avais mal au ventre.

D'un coup il me plaqua au mur, mais je n'arrêtais pas de rire pour autant.

Finalement, j'arrivai à me calmer. Je le regardais dans les yeux et dis:

- Non, ta chambre est très belle, je ne m'attendais pas à ça. Ma chambre dois rentrer au moins deux fois voir trois dans la tienne! C'est juste waw!

Cette fois c'était à son tour de partir en fou rire face à mon "émerveillement".

- Hé! Y'a rien de drôle! dis-je outrée

- Ho que si! Si tu pouvais voir ta tête! "C'est juste waw!"

- Hey! dis-je en lui donnant une légère tape sur l'épaule.

Après s'être calmé, il releva la tête et me regardait intensément.

- Qu'est ce... Quoi? Pourquoi tu me regarde comme ça?

- Parce que tu es si belle...

Mon coeur se mit à battre à la chamade devant ses mots.

- Alaric...

- Oui?

- Je t'aime...

Pour toute réponse, il m'embrassa doucement et ce doux baisers se transforma petit a petit en baiser plus passionné.
Il posa ses mains sur ma taille ce qui nous rapprocha encore plus. J'étais coincée entre la porte et son corps.
Automatiquement j'entourais sa taille des mes jambes. Il me sortit de ma prison pour me porter jusqu'au lit.
Il me posa sur ce dernier toujours sans cesser de m'embrasser.
Ses mains longeaient mon corps pour se retrouver sous mon tee-shirt tandis que ses baisers descendaient petit à petit vers mon décolté.
Mes mains passaient alors dans son dos et je retirai sans attendre son tee-shirt et l'envoyai balader au sol. Je passais mes ongles doucement sur la peau de son dos alors que lui me mordillait gentillement la peau du cou.
Je laissais échapper de légers soupirs. Mon coeur battait à la chamade et je pouvais sentir que je le sien battait aussi vite que le mien.
Il retirait à une vitesse hallucinante mon tee-shirt et l'envoya rejoindre le sien.
C'était à mon tour de prendre les choses en mains. Je le retournai et me retrouvai à califourchon sur lui. Je commençai à l'embrasser doucement puis descendis lentement vers son cou, son torse, son ventre... Je pouvais l'entendre lâcher des soupirs face à mes baiser.
Je lui faisais de l'effet! Je ris à cette idée.
En me voyant rire. Il se retourna et se retrouvai de nouveau au dessus de moi.
- Tu te moques de moi? dit-il

- Non pas du tout, je riais à l'idée que je te fasse de l'effet, dis-je tout bas mais assez fort pour qu'il m'entende

- C'est pas vrai... Tu ne me fais pas de l'effet, dit-il fier

- Sur? dis-je joueuse

- Sur.

Je me cambrai un peu en avant pour que nos deux corps se touchent puis passais ma main sur son torse pour redessiner du bout des doigts ses tablettes et ses pectoraux. Je vis qu'il avait de légers frissons puis, je me levais légèrement pour que nos visages soient au même niveau et l'embrassais et alla vers son oreille. Je mordillai son lobe et lui chuchota:

- Alors? Toujours pas d'effet?

- Si... dit-il d'une voix rauque avant de m'embrasser passionnément.


je te le promets [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant