Chapitre trois

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Je voyais deux femmes : l’une avait les cheveux couvert de sang ainsi qu’une longue robe blanche et par endroit des traces de sang et des brindilles dans sa robe. L’autre contrairement a la première était tirée à quatre épingle et avait elle aussi un robe blanche mais rien ne dépassé ou tachait celle-ci ; La première devait avoir dans la trentaine et la seconde dans la quinzaine. Toute les deux était devant un décor de film d’horreur : trois corps sans vie était étendue sur le sol baignant dans leur propre sang qui pour certain noircissais et d’autre blanchissait, à ce que je voyais nous étions dans une maison et la plupart des vitres était soit fissuré soit cassés laissant s’engouffrer un vent glacial nous fouettant le visage a chacune, dehors le vent hurler tellement que je n’entendais même pas la conversation des deux jeunes femmes. En passant au-dessus d’un corps je me rapprochais lentement jusqu'à parvenir a près de vingt mètre d’elle car je fus stoppée par une sorte de vitres-bouclier m’empêchant d’aller plus loin. Mais bizarrement j’arrivais à sentir le froids que dégageaient les fenêtres. Je collais mes mains sur la paroi invisible en écoutant les paroles des deux femmes :

Katerina emmène ta sœur et ton frère loin d'ici, hurla une femme.

- Non ? Répondis l’autre sur le même mode.

La femme ce jeta dans ses bras et lui caressa les cheveux elle me ressemblée énormément sauf les cheveux qui était châtains claire alors que les miens étaient noir. Elle lui embrassa le front et lui remit trois colliers. Mais elle ne sut reconnaitre la forme car la fille les arracha des mains de sa mère

- Tiens ma chérie garde les. Avec ceci vous pourraient nous voir. Je vous aime tous les quatre.

- Quatre ?

- Oui.

- Mais pour...

La jeune fille n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'une vitre explosa.

Je baisais ma tête et c’est alors que je vis des bouts de verre dans ma main, je les regardais avec insistance. Quelque secondes plus tard je grattais ma peau dans l'espoir de décrocher c'est dernier, et j’y réussi. Retournent le verre dans mes doigt je vis bizarrement qu’un liquide blanc et noir Les rangeant dans ma poche, je courus aussi vite que j'ai pus vers ma salle. Je lâchais un long soupir, pourquoi avais-je vue ses images et qui était c'est deux femmes. Oubliant toute c'est questions qui ce bousculait dans ma tête je poussais timidement le battant. La classe était pleine et tous le monde me dévisagée. Mon dieu que c'était horrible heureusement que le professeur vint me chercher :

- Bonjours, veuillez me montrer votre billet de retard mademoiselle.

- Euh je n'en ai pas je suis nouvelle et je me suis perdue dans les couloirs.

- Ah très bien donc c'est vous la nouvelle élève Marion Evans c'est ça ?

- Oui monsieur euh je m'assoie où ?

- Devant.

- Très bien encore pardon.

Je m'assis sur la chaise qu’il avait désigné et sortie tous mes affaires pour suivre le cour. A la fin de ce dernier le professeur me demanda de venir le voir :

- Oui, demande-ai je timidement

- Mademoiselle vu que vous n'êtes pas arrivée au début d'année vous devrez demander a un camarade de classe de bien vouloir vous prêtez ses notes car vous aurez une évaluation pour, disons vendredi ?

- Bien sur mais je ne connais personne de ma classe pour l'instant ...

- Ce n'est pas mon problème vous devrez vous débrouiller. Vous n'êtes plus au collège.

Je repartie de cette entretient plutôt furieuse il me fallait rattraper deux mois de cour en trois jour ! Décidément je n'aimais vraiment pas tout ce prof. Sans m'en rendre compte et avec un peu de chance je m'étais rendu devant ma salle de français. Ma professeur arriva et salua les élèves d’un signe de tête, elle fit pénétrer la clé dans serrure et un léger bruit se fit entendre. La porte s’ouvrit sur une salle microscopique, pour la première fois je regardais la pièce qui m’entouré : elle était blanche dépourvue de décoration sauf quelque mots écris pas les élèves distraits, les tables était toutes bien alignées et un immense tableau noir qui ne pourrait selon moi jamais être remplie entièrement. Une salle normale quoi ! Je pris place sur la chaise la plus loin du tableau et sortie mon classeur ainsi que mon livre.

-       Bonjours avant toute chose avait vous lu en entier votre livre pour aujourd’hui ?

La salle partie dans des chuchotements, tous se que je pus entendre fut « mais ce n’était pas pour la semaine prochaine ? ». Mince j’avais lu un livre des plus ennuyeux pour la semaine prochaine, mais bon l’avantage c’est que je n’aurais pas à le lire.

-       Très bien, coupa la professeur, nous feront votre dissertation la prochaine fois alors ou en étions nous...

Je ne l’écoutée déjà plus, je fouillée ma poche pour y sortir les bouts de verres : toujours se liquide blanc et noir. Je passais le doigt dessus pour y recueillir discrètement le liquide et le laisser couler sur une feuille blanche. Je remis soigneusement le bout de verre pour regarder ce que je lui avais enlevé. Je relevais la tête quelque minutes pour voir si l’on m’observée et je voyais de temps en temps mon professeure assis a son bureau me jetant des coups d’œil frénétique en griffonnant sur une feuille. Agrandissant mon champs de vision je vis inscrit au tableau deux consignes avec marqué : «  ce test sera noté sur vingt et comptera dans votre moyenne coefficient deux ». Oh, il fallait que je me mette à se devoir le plus vit possible surtout qu’il ne me rester que une heure d’après la montre de mon voisin. Je n’en revenais pas j’avais passée une demie heure a regarder ce fichus morceau de verre, et j’avais loupée toutes les explications. Attrapant une feuille et un stylo je notai la date et les consignes en priant pour réussir. Au bout de trois quart d’heure j’eus fini mon évaluation me levant pour la mettre sur le bureau de la professeure qui me regardait avec attention pour me dire :

-       Mais je ne comprends pas vous avez commencée après tous les autres et…

-       Oui je sais, mais je me suis dépêchée.

-       D’accord et bien vous pouvez ranger vos affaires et sortir comme votre précédent camarade.

-       Merci madame.

Je me rendis une seconde fois à mon bureau pour y ramasser en hâte mes affaires et me dirigeais vers mon casier. Je sortie de mon sac mes affaires d’éducation civique, juridique et social, science et français pour n’y laisser que mon prochain cour celui de math. En voyant passer derrière moi des lycéens passait grâce au petit miroir que j’avais collée je me retournais, ils me disaient quelque chose… ah oui le garçon était assis à côté de moi et m’avais aidée à suivre le cour de science. Tout d’un coup je me rappelais les paroles du professeur me disant que je devais trouver une personne pour me passait ses notes. Alors je me dirigeai vers lui pour lui demander…

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