Chapitre quatre

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 - Excuse moi, l'astrophe ai-je en baissant ma tête, tu as bien eu cour de science aujourd'hui ?

- Oui vers huit heure trente pourquoi ?

- Et bien j'étais celle qui était a côté de toi en cour et le professeur ma dit que je devais me faire prêter les cours pour une évaluation. Je te les rendrais vendredi promis.

Après avoir réfléchis deux petites secondes il me dit :

- Alors tout d'abord tu peux me regarder dans les yeux, je vais pas te manger et, ouais je veux bien te les prêter.

A la mention de ce détaille je levis la tête vers lui et rencontras sont regard: ses yeux était aussi bleu que les miens, lui aussi avait une frange cachant une partie de ses yeux et son nez qui ressemblait plus au mien que à celui d'un homme. Et j'eus le reflexe idiot de passer ma main dessus en le regardant ce qui me valut un regard interloqué de sa part. Cela dit nous n'avions pas que des points commun, il avait les cheveux châtains virant au brun, contrairement au mien qui était noir, notre taille et même grâce à mes talons de cinq centimètre, je ne lui arriver qu'au menton. Soudainement je me souvenus la raison pour laquelle je l’avais abordé lorsqu'il finit sa phrase par :

- ... gothique

- Pardon ?

 - Je disais, répétât-il d'une voix mal assurée, que tu étais plutôt jolie pour une gothique

- Ah merci mais je ne suis pas une gothique, d'une voix plus autoritaire que je ne l'aurais voulus.

Son visage se décomposait il c'était pris une honte abominable ses yeux trahissait néanmoins un sentiment d'amusement. Il fit donc passer son sac qui reposé négligemment sur son épaule gauche pour le faire passer au niveau de son abdomen et y sortir un cahier orange il me le donnait en disant seulement " redonne le moi en cour vendredi " et partie vers son nouveau cour. 

Je restais la telle une idiote en le regardent partir jusqu'au moment ou une furieuse envie de noter une question me vint, alors je sortie mon carnet pur la noter: 

Les autres me trouvaient-ils réellement gothique ? 

Je remis mon calepin et partie vers ma salle de classe des panneaux ornaient les murs blancs du lycée "salle de physique", " salle de latin" je les regardais tous ou au moment ou je commençais a perdre espoir le panneau indiquant l'endroit des salles de math se présenta a moi.

- Enfin criais-je intérieurement

Je courus presque pour atteindre la deuxième salle et avec un soupir je m'accroupis par terre dos au mur. Je sortie et regarda mon téléphone il me restait cinq minutes avant le début du cour. En contrebas je m'aperçus que Julia m'avait envoyée un message :

De: Julia 

A : Marion 

" Ma chérie j’espère que tous se passe bien et que cette fois tu ne te baltera pas avec Roxane. Si tu sens que cela va dégénérer éloigne toi mieux vaut que tu essaye de rattraper tes erreur d'hier. 

Bisous vous aimes " ;)

Elle savait que à chaque fois que je recevait un message comme ceci j'étais de bonne humeur pour le restant de la journée. Ramassant mon sac à côté j'entrepris de recopiais sur mon propre cahier toute les leçons de science que je n'avais pas fait. Alors que j'étais très concentrée sur mes leçons une voix que je reconnaissais particulièrement bien m'interpella :

- Eh la tocarde, comment ça va ? Pas trop seul ?

- Roxanne, dis-je en rangeant les cahiers pour me redresser, non ça va j'aime bien être seul. Mais toi à ce que je vois tu n’aimerais pas avoir de l'air, Hein Miss pot de colle.

Je la regardais droit dans les yeux pour voir que sous ses tonnes de maquillage elle rougissait. Légèrement. Elle me prit le devant de la chemise pour me murmurer :

- Joue pas a ce jeu, Evans on ne vient pas de la même catégorie alors arrête tu ne vas faire que t'enfoncer ma pauvre.

Je me dégager de sa petite poigne en lui disant qu'elle pouvait aller se faire voir et que ses commentaires pouraves elle pouvait ce le garder. Maintenant elle avait le visage rouge en entier et malheureusement pour moi je ne vis pas la gifle magistrale quelle me mit. Et la, la je vis rouge j'avais envie de prendre son jolie coup poudré et de le serrer si fort qu'elle aura des marques de toutes le couleur de l'arc en ciel. 

Soudain je glisse mais pas physiquement non je glisse mentalement. Mon âme quitte mon corps pour partir plus loin. Très loin. 

                                                                                    ***

Je voyais la scène de loin : un groupe d'élèves se formait autour de nous, les filles couvres leur bouche de leur mains alors que les garçons nous encourageaient à nous battre. Alors que je pensais pouvoir lui refiler un bon coup dans le nez, je fus bien déçu car mon corps ne me répondait plus. Roxanne me balance un coup de poings dans le ventre ce qui me fit me tordre de douleur mais mon corps lui - dans lequel je n'étais vraisemblablement plus - restait droit comme un I je serrais les poings tellement j'eux mal. Derrière elle les garçons lui criait : " UNE GIFLE, UNE GIFLE" mas malheureusement je savais qu’en tant que nouvelle si je me faisais frapper aucune personne ne me défendrait. J'encaissée les coups : coups poing, gifles ... Soudain je ne sens plus mon tibia et pousse un crie déchirant les larmes aux yeux en me prenant le tibia mais personne ne m'entendis. Des larmes de rage coulaient sur mes joues, je me dirigeais vers elle pour l'agrippais par le cou et serrait. J'avais tellement mal que plus je serrée plus je sentais son âme venir entre mes mains. Elle par contre suffoquée, se débattait par moment hurlée je la lâche et regarde mes doigts du noir a quelque endroits. Et la je fus contente j'avais eux ma vengeance alors je sentis en moi ma température remonter de plusieurs degrés je retournée dans mon corps avec une chaleur de 37°C. En réentrant dedans je vis une forme blanche ou des trait humain se dessiner elle me fit un sourire et je Qui avait était bleuit par les violent coups qu’elle m’avait infligé dans mon ventre pale. Je soulevais mon chemisier et vit avec effroi que les contusions s’élevait jusqu’au niveau de mes cotes ou un petit peu de sang s’écouler. Mon regard ce posa sur mes doigts qui quelque secondes auparavant étaient tachée ne comportés plus aucune traces Je respirée mal comme Roxane qui elle était soutenue par ses amie pour reprendre sa respiration moi j’enfoui ma tête dans mes genoux pour essayer de reprendre mon souffle et me rappeler de se qui c’était passé mais j’avais un trou noir à chaque fois que j’y pensais. Alors je m’endormie ou plutôt je m’évanouie.

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