Chapitre sept

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Une fois sortie a l'extérieure du centre commerciale, nous nous sommes rendu devant un snack ou les garçons assis à une table nous attendaient. Ils parlaient avec animation pendant que nous nous rapprochions. Une fois toutes à leurs hauteurs ils se tournèrent vers nous un sourire aux lèvres.
- Quoi ? Demandons nous toute en cœur.

Max se retourna vers sa sœur et dit:

- Alors frangine, ta flipper de pas pouvoir participée à ton concours.

- Ha,ha,ha très marrant idiot, dit-elle an s'asseyant a côté de luiù, mais toi tu n'aurais pas put faire ton match.

Alors que Max topait avec Mathis il s'arrêta et ne rigola plus. Il secoua la tête l'air grave et déclara:

- Non, maman a dit que TU serais punie. Moi elle a rien dit.

- Si, si Max, soupira telle, elle a dit alors que toi, tu repartes dans ta chambre.

- Mon Dieu ! En se plaquant les mains sur la tête, t'aurais pu le dire avant Lila.

- Faut voir, gloussa telle en prenant la carte de mains de son frère qui lui croisa les bras sur son torse en détournant la tête.

Entre temps Céleste et moi nous sommes assises : moi à coté de Mathis donc en face de Lila et Célie en bout de table entre moi et Lilou. Cette dernière ayant choisie son repas, passa la carte à sa voisine qui après avoir opté pour une salade, il me semble, me la passa. En la prenant, une feuille m'ouvrit le doigt et quelque gouttes de sang coulèrent, ou plutôt le machin visqueux de la dernière fois. Mais en y regardant de plus près cette fois il était gris mais il avait la même consistance que le sang, comme si il c'était fluidifié. Sans prévenir, Mathis me prit la main. Je devais avoir lâché bruyamment la carte car tout le monde c'étaient retournées vers nous. Sur mon visage se dessina alors un pauvre sourire puis je regardai ma main. Après quelque seconde c'est ma tête que je relève et je vois Lila, Mathis et Maxence qui se regarder durement et d'un coup tous les trois se levèrent. Sans un mot ils prirent la direction de la sortie. Sans aucune raison ils s'en vont, mais ils sont horribles. Les larmes aux yeux et la gorge noué je me tournis vers la seul personne qui n'avais pas désertée sa place : Céleste. Le regard vide elle regardait devant elle en se balançant doucement sur sa chaise. J'approchais ma main égratigner de son bras, qu'elle me regarda droit dans les yeux. Ma main ce figea à quelque centimètres de son bras, elle ouvrit doucement la bouche et dit:

- Je suis désolé mais ce n'est pas toi.

Sur c'est mots elle aussi sortie du snack, je restée seul sur ma chaise devant toute ses personne qui s'amusées. C'est quelque mot qui trottaient dans ma tête, en seize ans d'existence sur cette fichue planète m'avait appris que ses trois premier mots étaient les plus dur à entendre dans ses moments là. Je me levai et, d'un pas lent, me dirigea vers la sortie à quelque mètres. Une fois dehors l'air frais me gifla le visage comme si il était empli de toute la tristesse de ses derniers jours. Comme si il avait put se réfugier quelque part et qu'il n'avait trouvé meilleur endroit, que cette air saturé du soir. J'arrivai vite à la maison. Pourtant il n'était que vingt heure trente. Je fis glisser ma clé dans la serrure et ouvris je m'attendais à voir Julia, Nathan et Matthew devant la télévision mais non, ce qui tomba bien car sinon elle m'aurait demandé pourquoi je renterais si tôt. Je montai doucement et en m'appuyant sur la rambarde car mon tibia m'élançait de nouveau. Arrivée devant la porte de ma chambre je m'arrêtai et repris mon souffle, me baissa, leva mon jean et enleva l'atèle que je portais. Le membre était légèrement rouge et enflé comme si je lui avais mis un autre coup dessus. Je la refermé, la serra avec plus de délicatesse et rentra dans ma chambre: elle était impeccablement rangeait, et la plupart de mes meubles était blanc comme mes murs. Je me tournis vers la droite et pris place sur mon bureau. Je sortie mes cahiers de mon sac qui n'avait toujours pas était défait et me mis avec le peu d'énergie qui me rester à faire mes devoirs.

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