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Tu finis enfin par sortir de la pièce qui te semblait bien trop blanche. Une fois rendu à l'extérieur, tu remarque que tu as passé plus de temps que tu le pensais dans le bureau de ton psychologue. Le soleil commence doucement à disparaitre à l'horizon, laissant une couleurs rougeâtre au ciel. Quelques nuages parsemant le ciel donnent une un teinte de mauve au paysage. Un petit vent s'est levé depuis cette après-midi, ce qui te fait frissonner. Tu attache la petite veste qui te sert de coupe-vent et te met à avancer dans les rues de Montréal. Heureusement que ton frère à réussi à te trouver un bureau de psychologue pas trop loin de chez toi, car personne ne pouvait te faire le lift. Ce n'est pas que tu n'aime pas marcher, mais vue la température, tu nécessiterait bien plus qu'une simple veste. Au fur et mesure que tu avance, les grandes bâtisses se font progressivement remplacé par la banlieue. Se paysage t'es bien plus familier, en grande partie parce que c'est ton quartier, mais aussi que tu peux passer des heures à marcher dans cette endroit après avoir fait un épeurante hallucination. Alors que tu traine un peu des pieds, tu crois entendre une voix. Mais pas une simple voix: celle d'un petit enfant. Tu regarde autour de toi: personne. Tu met se bruit sur la faute de ton imagination.
-Tu veux... Jouer avec moi?
Cette fois, la voix était plus forte t'ayant ainsi permit d'en comprendre les paroles. Comme si l'enfant s'était approché depuis. Tu regarde une fois de plus les alentours: toujours personne. La peur t'envahi, les battement de ton coeur accélèrent et ta respiration se fait de plus en plus forte. Tu regarde encore une fois derrière toi, mais c'est en te retournant, que tu aperçois le fruit du diable. Il est bien réel, devant toi. Son regard rieur qu'il t'accorde te cloue sur place. Sa bouche creusé dans sa mâchoire de bois et ses énormes yeux d'un vert persans: tout pour bien te glacer le sang...

-Ressaisis-toi, ce n'est sûrement qu'une simple hallucination. (Chapitre 35)
-Cours! Il n'a pas l'aire des plus sympathique! (Chapitre 28)

La mort à vos trousses- l'histoire dont VOUS êtes l'héros (en correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant