Tu finis enfin par sortir de la pièce qui te semblait bien trop blanche. Une fois rendu à l'extérieur, tu remarque que tu as passé plus de temps que tu le pensais dans le bureau de ton psychologue. Le soleil commence doucement à disparaitre à l'horizon, laissant une couleurs rougeâtre au ciel. Quelques nuages parsemants le ciel donnent une teinte mauve au paysage. Un petit vent s'est levé depuis cette après-midi, ce qui te fait frissonner. Tu attache la petite veste qui te sert de coupe-vent et te met à avancer dans les rues de Montréal. Heureusement que ton frère à réussi à te trouver un bureau de psychologue pas trop loin de chez toi, car personne ne pouvait te faire le lift. Ce n'est pas que tu n'aime pas marcher, mais vue la température, tu nécessiterait bien plus qu'une simple veste. Au fur et mesure que tu avance, les grandes bâtisses se font progressivement remplacé par des maisons de banlieue. Ce paysage t'es bien plus familier, en grande partie parce que c'est ton quartier, mais aussi que tu as l'habitude d'y passer des heures à marcher après avoir fait une épeurante hallucination. Alors que tu avances lentement dans la rue, quelques chose attire ton regard: le cimetière. Il y a longtemps que tu y as mis les pieds, c'est à dire des années. Tu avais simplement oublié cette partie du quartier, comme si elle avait pendant longtemps cessé d'exister. Sans t'en rendre compte, tu t'es arrêté devant l'entrée du mystérieux endroit. Tes yeux se promènent sur les pierre tombale de toute sorte. Des foncées, des pales. Des grandes, des petites. Des dispendieuses, des peu couteuses. Ornée de fleurs, déserte de présents.
Sans vraiment te contrôler, tu fais un pas vers l'avant, puis un autre, et un autre encore, et un de nouveau. Tu te retrouve bien vite loin de l'entrée, où ta conscience t'as quitter. Puis, un peu plus loin, tu aperçois une ombre, semblable à celle d'un vieil homme. Ta conscience te dis de le rejoindre, mais ton instinct te dit de courir vers la sortie.-Vas rejoindre l'ombre pour découvrir son identité (Chapitre 34)
-Fuis et tente de retrouver la sortie (Chapitre 24)
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La mort à vos trousses- l'histoire dont VOUS êtes l'héros (en correction)
TerrorEst-ce la réalité ou encore l'une de ces fameuses hallucinations? Tu fermes les paupières, espérant cette fois échapper à l'horreur qui se trouve devant toi. "Les hommes sans visages n'existent pas." C'est ce que tu te répète, espérant que la réalit...