Chapitre 2

22 3 0
                                    




Les songes de Kyle

Chapitre 2 :

Cela devenait dramatique, ma raison d'affronter la vie était utopique à un tel degré imaginaire que mon idéal paraissait si proche de moi, cette lueur qui me donnait l'espoir qu'un jour ma déplorable vie allait m'offrir ce que je mérite, ce moment où je pourrai affirmer sans mensonges que je me sente heureux,que mon sourire devienne mon essentiel . La vie était censé être une péripétie d'événement merveilleux partagé entre la joie et la gaieté . Mais cette indéniable vie m'a épargné toute cette folie .Mes journées sont constamment liées avec l'ennuie, la recherche d'un abri ou alors d'une miette de bouffe rassi .Cette adrénaline qui me fait vivre éternellement par la peur de mourir à chaque instant . Le froid, la faim, mes pensée emmêler , toute c'est chose qui me donne l'impression d'avoir jamais réellement existé .

Étant gamin j'avais une vie stable aux allures d'une vie banale malgré l'indifférence des gens à mon égard, il me regardait toujours avec ce regard avide surement dû à mon visage particulier celui qui était moqué en longueur de journée, ils n'aimaient pas les différences, ils jugent les gens en un clin d'œil furtif, les mettant dans des catégories sociales établies parles vermines de la ville .

Catégorie A (ou la catégorie des incompétents): finance très élevés,beauté sensationnelle, le 6 e sens de la bourgeoisie, je trouvai ça tellement pathétique même si mes parents en faisaient partie je l'ai considéré comme différent, j'ai toujours su qu'ils avaient quelque chose en eux d'anodin, de magique. Contrairement à La catégorie B qui correspond à la classe moyenne ayant un niveau de vie potable effleurant la classe des pauvres . Catégorie C : SDF, sans aucun intérêt pour leur propre besoin .
Ils'amusait à humilier les personnes avec leur sourire narcissique,c'est pour cela que j'étais tant détesté, je défendais les causes des autres je ne pensai pas qu'a mon propre bien, mais parent approuvé cela quoiqu'il avez un rôle pour notre propre bien. Ils étaient fortunés, je me souviens encore de ce drap doux dans lequel je m'emmitouflais la nuit en songeant à un monde meilleur, reniflant l'odeur que ma mère laissée pour que mes rêves puisse être comme je l'espérais . L'amour qui unissez mes parents , cette force inouïe m'a toujours inspiré, cette force qui découlais en eux, cette joie qu'il laissait déborder pour qu'enfant je grandisse harmonieusement . En dépit de tous leurs efforts il ne sait jamais passer un seul instant de ma vie sans que la peur me ronge .

Ces sentiments d'insécurité , de danger constant . Ma mère me répétait sans cesse qu'ils seront toujours là pour me protégeait quoi qu'il arrive dans ce monde, qu'importe la force de la tempête qui surviendrait certainement un jour, j'ai toujours conclu qu'elle avait une arrière-pensée quand elle me parlait comme si elle savait qu'ils allaient disparaître, elle n'a jamais exprimé de peur malgré ça . Elle était miraculeuse , dans sont regard quelque chose de merveilleux l'illuminait , cette chose extraordinaire paraissait vivre en elle .Comme une âme dansante dans la lueur de ses yeux.

Néanmoins la vie à certainement blâmer leurs charités et leurs extases face à la vie, car elle me l'est à prit sans aucune honte ni mépris . Ils ont disparu du jour au lendemain en me laissant sans rien, sans repère ni amour . Les problèmes au commencé aux moments même où ils ne sont donné plus aucun signe de vie , malgré mes violentes recherches j'ai trouvé qu'un seul endroit qui m'a accepté : la rue . Ce n'est pas réconfortant non ; mais je vis la vie pure, tel un oiseau libre . C'est les seules choses positives que j'ai trouvées pendant c'est deux années .





                                   ____________________________________________________


Il fait froid et humide mais la chaleur humaine et bien plus pure, parfois on ne se rend pas compte que le bonheur n'est pas l'argent, ni le confort .
La nuit fut longue mais il est temps pour moi de combattre mes craintes, de devenir éblouissant et amer . Mon cœur a tendance à s'enflammer quand l'anxiété commence à monter en moi . Il fallait que je commence à prendre ma vie en main. Je marchais entre plusieurs sortes d'arbres dans la grande forêt d'Antler il faisait encore sombre au petit matin , à un tel point que l'endroit devenait de plus en plus lugubre en avançant plus profondément dans l'antre de la nature . Il fallait que je me construise un abri, une sorte de petite cabane, dans laquelle je travaillerai à me munir de la force aussi puissante que le vent souffle tous les matins . J'aborde une arcade de rocher dans laquel une voûte est creusée à la hauteur d'un corps humain , adossé au ruisseau rouge connu de tous dans cette ville . Cet endroit est merveilleux, comme féerique malgré le brouillard de la rosé du matin . C'était l'endroit parfait, pour pouvoir rêver paisiblement..

Le silence pesait dans cet endroit malgré les chutes d'eau claquant contre la surface et les craquement qui se faisait entendre dans la grotte de rocher grisâtre .
Avançant délicatement pour jeter un coup d'œil dans le fond noir obscur,j'aperçois un feu virevoltant au cœur de la cavité menaçante proche d'un lit fait d'herbe et de brindille, je n'étais donc pas seule à admirer ce lieu .Je n'avais plus qu'à continuer à errer encore dans la forêt pour trouver un autre endroit en espérant que cela n'allait pas durer toute la sainte journée .
-Bonjour
Effrayer par cette voix rauque, je me retourne sur mes gardes et articule doucement
-Bonjour, pardonnez-moi je m'appel Kyle , j'ai trouvé cet endroit par hasard , je recherche un coin pour dormir sans me faire tué , je ne savais pas que ce lieu était habité . Je continue de ce pas mes recherches .
-Respire jeune homme, assied toi .

Les songes de Kyle .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant