Prologue

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Les hurlements de douleur. Les pleurs incessants retentissaient dans la salle d'accouchement. Plusieurs médecins été présent. Depuis presque 24h la jeune femme refusait de donner naissance. Ils n'essayaient pas de la forcer mais ils commençaient à perdre patience. La jeune femme devait avoir dans les 20 ans peut être moins. Le gynécologue restait le plus patient de tous. Il expliquait calmement à ses collaborateurs qu'il ne pouvait rien faire pour accélérer le processus.

Autrefois, c'était un très bon médecin. Le docteur Jordan a connus des centaines d'accouchement dans sa carrière. De ce qu'il pouvait montrer de lui, c'était un homme qui aimait son métier mais aussi venir en aide. Aujourd'hui il préfère laisser mourir les jeunes femmes comme celle qu'il a en fasse de lui. La dernière qu'il a aider est morte d'une balle dans la tête après avoir tenus son enfant à peine 10 minutes. Quand à l'enfant, il a été envoyé chez une nourrice. Il sait très bien ce qui est arrivé à cet enfant. Il suivra sûrement la voie des Sang Noir.

Un crie de douleur le ramenait à la dure réalité. Cette femme savait très bien ce qui aller arrivé à son bébé. Elle ne le rêverait jamais. Le docteur Jordan ne voulait rien faire et cette femme le remerciait du regard. Malheureusement cela aurait pus durer des heures mais déjà elle faisait preuve de fatigue. Une de ses assistantes pris le docteur à part.
- Si vous ne faite rien, elle va mourir. Lui dit elle
- Elle est déjà morte. Lui répondit il.
- Je sais qu'une fois que l'enfant sera née, on devra se débarrasser d'elle mais cet enfant à le droit de vivre comme nous tous. Vous ne pouvez pas le condamner.
- Cet enfant devra vivre dans un monde dévasté par la guerre et l'occupation des Sang Noir. De toute autre façon, cet enfant est condamné.

L'assistante tentait par tout les moyens de faire raisonner le docteur. C'est au bout d'un certains moment que tout deux remarquais que la femme ne criait plus mais demandé pitié. Quand le docteur réalisa ce qui été entrain de ce passer sous ses yeux, il était déjà trop tard. Un autre médecin était rentré dans la salle pour sortir l'enfant de cette femme. Il n'y avait pas été par quatre chemin. Il avait pris un scalpel et tentait d'enlever l'enfant du ventre de la mère trop fatigué. Il n'avait utilisé aucun anesthésiant ce qui donnait une boule au cœur au docteur Jordan. Ce qui le touchait le plus, c'est le désespoir de cette mère qui implorait sa pitié non pas pour la douleur qu'elle devait ressentir mais parce qu'elle savait ce qui allé ce passer après tout ça. Le corps bleu du bébé fut très vite sorti. Un crie étouffer remplissait la salle d'accouchement. Le médecin qui tenait l'enfant le donnât à une assistante qui partait avec.
- Laisser moi voir mon enfant. Disait la femme. Laisser moi voir mon bébé je vous en prie.
Les larmes de tristesse coulaient sur son visage.
- On ne donne pas cet enfant si précieux à une mauvaise mère comme vous.
Il ordonna à tout les médecins y compris le docteur Jordan de la laisser mourrir. Tous partait, sauf le docteur Jordan. À la vue de ce manque d'humanité il sentait son cœur lâcher. La jeune femme pleurait en continue. Il s'avança vers elle comme un mari protecteur.
- Je suis désolé. Je n'ai rien pus faire. Lui dit il.
À la vue de la découpe du bas du ventre de la femme il eu un haut de cœur. Il se demandait comment elle faisait pour ne pas avoir mal.
- Amanda. Lui dit elle.
- Pardon ?
- Amanda si c'est une fille. Enzo si c'est un garçon.
- Je n'ai aucun droit sur...
- Je vous en prie. Pitié!
Elle lui attrapait le bras avec une telle force qu'il en était lui même surpris.
- Soyez tranquille s'il vous plaît.
- Je vais mourrir de toute façon. Je vais mourrir sans jamais savoir si mon enfant sera heureux.
La culpabilité grandissait chez le docteur Jordan. Il voulait partir de cette salle mais une voie lui demandait de rester avec elle. Petit à petit sa respiration devenait de plus en plus lente et sa chaleur corporelle diminuait.
- Je vous en pris Monsieur. C'est tout ce que je vous demande. Donner au moins le nom de mon mari ou le miens. Je vous en prie.
Un bruit intense envahit la pièce BIP!!! BBBBBBIIIIIIIIPPPPPPP.....
C'était fini. Ça seule pensée été juste " et une de plus".

Merci à vous, la suite arrivé très bientôt elle est en cour d'écriture. Merci de laisser un commentaire pour savoir si je continue ou pas.

Le temps des ombresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant