Les matins sont toujours difficiles. Toujours.

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Le réveille sonne. 

Il est 9h.

J'appuie sur "répétitions" une fois.

Deux fois... Trois fois ...Dix fois.

Jusqu'à ce que me je dise enfin que je ne dois pas plus traîner...

Il est maintenant 10h.

Je me lève difficilement, tout en ne pensant qu'a une seule chose.

Sa présence réconfortante apaise mon esprit déprimé à l'idée de quitter mon amour de toujours : mon lit.

En fait mon lit et cette chose se font la guerre sans arrêt. Car ce sont deux opposés.

Les yeux mi-clos en une improbable expression de perplexité constante face à la lumière qui me déroute (la nuit me fait à chaque fois oublier son existence) je m'habille en ne pensant - encore et toujours - qu'à cette seule et unique chose.

Je me dirige vers la cuisine d'un pas lourd et titubant - digne de celui d'un lendemain de cuite particulièrement sévère - et commence à faire ce qu'il faut pour qu'elle vienne finalement à moi.

Je peux la voir, la sentir, la toucher...

C'est chaud.

C'est noir.

C'est bon.

L'odeur me fait défaillir.

C'est prêt.


Enfin, je peux boire mon café.


PTDR xD

Voilà comment je suis le matin *baille*


Aimez vous le café ? :3


*Psychopathe en mode plongée dans ses révisions de la littérature du XIXe siècle*


Rantbook d'une Jeune et Douce PsychopatheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant