Cassidy : De la misère à la richesse

Chapitre 2

Le lendemain je me réveille comme d'habitude a 5h30 je commence les corvées habituelles

À 12h40 je finis de cuisiner mais les pleures d'Imani m'interpelle alors je cours au salon et vois Iman toute nue entrain de se faire frappée avec des fils de courant par Tante Jeanne

Moi : Seigneur Jésus ( en tirant ma fille )
- Y a quoi Tante Jeanne !
Tante Jeanne : Imbécile !
- Dépose moi l'enfant la au sol !
- Je dois la frapper une impolie comme sa mère comme ça !

Je calme juste Imani et l'emmène chez Ornella et retourne parler avec cette vipère elle est allée trop loin !
Je sens que cette journée ne se finira pas tant que je ne brise pas un os a cette vielle salope !

Tante Jeanne : Elle est ou !?
- Elle est ou !?
Moi : C'est pas ma fille que tu vas frapper Tante Jeanne !
- C'est un bébé tu comprends !
- Elle a encore fait quoi qui ne t'a pas plus !?
Tante Jeanne : Ooh déjà tu baisses d'un temps tu comprends !?
- Tu es qui pour me parler sur ce temps pauvre prostituée !
- Retournes a tes corvées  !

Jésus préservez moi svp !
Parce que je vais commettre un meurtre si ça continu ainsi !
Comme elle pense que je l'appartient !
Je suis aussi une humaine et elle n'a pas le droit de me faire subir toutes tes souffrances la !
Juste parce qu'elle ne m'aime pas
Hum
Je laisse tomber et je vais débrousser les herbes devant notre porte puis je sens quelqu'un qui me pousse violemment par les fesses je trébuche mais ne tombe pas je regarde derrière moi et c'était Tante Jeanne

Tante Jeanne : Mon argent !!
- Tu te débrouilles a me trouver mon argent maintenant !! 
Moi : Je ne donne rien !
Tante Jeanne : Pardon ??
Moi : J'ai dis que je ne donnais rien !

Directement mon visage pivoter en vitesse vers la droite, elle venait de me mettre une grosse gifle du travers de la main

Tante Jeanne : Petite impolie !
- Tu parles comme ça a qui !?
- Hum a qui ???
- Moi Jeanne !

Je regarde ma main droite et je vois la machette que je commence a attraper avec rage j'ai juste envie de lui frapper ça en plein visage !

Tante Jeanne : DONNES MOI MON ARGENT !!!
( en faisant en sorte d'hurler pour que tout le quartier entendeI )
Moi : Je ne donne pas !
- Je ne donne rien !!!
Tante Jeanne : TU NE VEUX PAS ME DONNER MON ARGENT HAN !?
- TU VAS SORTIR DE CHEZ MOI TOUT DE SUITE.
- TU VAS VIVRE DANS LA RUE AVEC TA MAUDITE FILLE LA.
- VOUS NE MÉRITEZ PAS LE PEU QUE JE VOUS DONNEZ.
- ORPHELINE.

J'rentre dans la maison et vais directement dans ma chambre je commence a faire mes affaires tellement dépasser. Je vais habiter dans la rue si il le faut mais je ne reste pas dans ce endroit encore une nuit.

Je réussie à réunir le peu d'affaires que nous avons et je les déposent chez Ornella.

Je retourne chez cette vampireuse qui criait dans tout le quartier pour alarmer les voisins.
La cour était pleines tellement ces curieux la regardait notre dispute.
Je ne peux partir sans lui casser un membre à cette vielle folle.

Tante Jeanne : D'ABORD TU N'AS QU'À DÉGAGER DE CHEZ MOI !
- ESPACE D'INGRATE.
- PETITE SALOPE.
- PROSTITUÉE COMME TA PUTAIN DE MÈRE.
Moi : N'oses pas parler de la Mère Jeanne.
- Ne parle pas de ma Mère.
Tante Jeanne : JE SUIS TA COPINE POUR QUE TU M'APPELES PAR MON PRÉNOM HAN !?
- SALE ORPHELINE.
- TOUTE TA VIE TU AURAS DES MALHEURS COMME TES PARENTS.

Je ne pouvais plus supporter sa voix de vielle femme insultée m es pauvres parents j'étais obliger de bondir sur elle et commence à lui rouer de coups de poings
Toute ma colère toute ma souffrance toute ma tristesse étaient réunis j'en peux plus.
4 ans de souffrance avec cette femme.
Elle ne mérite pas la vie.
Elle m'a fait souffrir elle m'a humilié à plusieurs reprises elle m'a battue insulter maltraité elle m'a même poussé à la prostitution j'ai vendue mon corps à plusieurs inconnus à cause d'elle.
Toute cette rage en monter en Moi je ne sais quelle force j'avais à ce moment mais je pouvais la tuer.

Je la frappais de toutes les forces avec des objets avec mes mains tout.
J'ai même commencer à l'étrangler.
Je voulais juste qu'elle crève et je voulais la tuer de mes propres mains.
Les voisins sont venus nous séparer elle était bien amoché et n'arrivait plus du tout à parler.
Je me suis mise devant elle

Moi : J'espère que tu payeras chers toutes les souffrances que j'ai endurer chez Toi et que tu as fais à mes parents j'espère que tu mourras mal mais très mal Jeanne.
- Ton heure approche.
- Et toutes les personnes à qui tu as fais du mal tu payeras tout Ca.
- Dieu te vois.
- Il ne m'a pas oublier.
- Mais ce qu'il te réserve la.
- Tu es bonne pour l'enfer.

Après ces paroles je pars chez Ornella sans même me retourner.