Mysterious School

Chapitre 5 : Révélation quelques peu...

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Point de vue Paris :

"This right here is my type of party"

La musique à fond. Les corps bougeaient. La musique nous enveloppait tous. Les corps collés serrés dansaient sur la piste à se déboiter des os. Je buvais une bière tranquillement en regardant toutes les personnes qui étaient à cette fête tant attendue. Ma Corona en main, je détaillais la soirée.

"Five more hours we're just getting started"

Des intellos coincées étaient dans le fond, des personnes étaient seules au bars, avec comme compagnie, un shot ou de la vodka. Les plus fous étaient au milieu en train de se déhancher. Mes yeux tombèrent sur un dos bien dessiné et une carrière importante. La musique changea et laissa passé une chanson que j'adorais. Wicked Games de The Weeknd. On voyait déjà les couples se formés, pour laisser place à un moment de détente et de plaisir commune. La maison était redevenu calme pour quelques instants. J'en profitais, je veux dire, depuis combien de temps je n'avais pas eu de temps pour moi ? Longtemps. Même chez moi, je n'en avais pas. Mes parents étaient le genre à ne jamais être à la maison, donc, je devais bien l'entretenir. On avait une femme de ménage, bien sûr, mais je voulais toujours l'aider, et je l'aimais beaucoup. Les études aussi m'ont pris du temps. Je révisais 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Je voulais surtout m'en aller de cette maison. La musique se prolongeait, et je fermai les yeux. Je voulais vraiment profiter de cette fête. Certes, je ne connaissais personne, mais ce n'étais pas une raison de rester dans ma chambre, devant un bon film d'action. La musique changea à mon grand désarroi. Je soufflais étant déçue. Mais heureusement pour moi, la chanson qui passait était un rap que j'aimais beaucoup étant ma chanson du moment. Je bus une énième gorgée de ma bière et allais danser.

Point de vue extérieur :

Pendant qu'elle s'amusait, dansait et buvait, Brooklyn étudiait. L'histoire de cette fameuse et si convoitée école. Ses lunettes pour lire sur son nez, une bière, et son téléphone sur la table de la bibliothèque, il était plongé dans un livre retraçant les héritiers de cette école. Ce n'était pas un livre de science fiction ou d'action comme il les aimait, mais celui ci lui convenait très bien. Il n'avait pas choisit ce livre pour passer le temps ou encore se moquer des vieilles photos, ou encore plus pour s'étouffer toutes les deux secondes à cause de la vieillesse du livre. Il cherchait quelque chose d'important, qui pourrait l'aider. Il cherchait maintenant depuis des heures, mais il s'en fichait. Si pour trouver ses informations, il devait tirer un trait sur des années, cela ne le dérangeait pas. Il espérait quand même la trouver le plus vite possible pour réussir sa quête rapidement. Il entendait la musique, et imaginait Paris danser sur la musique qui passait. Une bière à la main peut être. Il ne savait pas si elle était du genre à fumée ou boire pour s'amuser. Ou peut être n'était elle pas aller à cette immense fête organisée par un de ses amis, un quaterback. La musique était tellement entrainante que ses pieds commencèrent à tapoter le sol sur le rythme endiablée de cette chanson. Alors qu'il commençait à chanter les paroles, Paris s'éclatait. Elle adorait tellement cette chanson qui lui rappelait de très bons souvenirs. Elle dansait seule sur une piste ou plus d'une cinquantaine d'étudiants ivres dansaient en couples. Elles ne les regardaient pas, étant tellement absorbée par la musique endiablée. Brooklyn, lui, était toujours dans la bibliothèque, cherchait toujours des réponses. Il repensait à ce qui s'était passé il y a trois jours déjà. Quand Paris s'était faite agressée.

Point de vue de Brooklyn :

Pour être franc, je n'arrêtais pas pas de penser à ça. Cette événement était le tout début de nos problèmes. Après l'avoir "sauvé" même si j'avoue que je n'avais rien fait de spécial, j'étais partis sans vraiment avoir d'explications sérieuses avec elle. Et je le regrettais. Nous nous croisions dans les couloirs comme des inconnus, ce que nous étions en fait. J'étais triste de ne pas avoir un peu de temps pour lui parler, s'expliquer. Mais mon père me l'a dit avant de partir, "laisse lui le temps de digérer tout ce qu'elle aura vécu, quand elle aura des questions, elle viendra te voir". Mais j'avais l'impression que plus je laissais du temps, plus je ne saurais comment m'expliquer. La musique me dérangeait fortement. J'étais le genre de gars a y aller, à ce genre de soirée, à m'éclater et à boire, mais depuis que Paris était arrivé, je devais me calmer direct. L'avenir de beaucoup de monde était en jeu, et cela me faisait peur. Si j'échouais, je mourrais. Aussi simple que savoir dire bonjour. Même si quelque chose ne lui plaisait pas, je serai vraiment dans la merde. Je suis né pour accomplir cette mission. Mes yeux se perdaient sur les feuilles vieilles et les écritures en latin. Je comprenais le latin, j'en faisais depuis tout petit, mais je ne comprenais pas le sens des phrases, ayant l'impression qu'elles étaient écrites pour que personnes ne les comprennent. Ça me frustrait beaucoup. Je bus une énième gorgée d'alcool.

- Putain mais ça veut rien dire ça ! criais je hors de moi.

Mes poings t'appairent sur la table et je le regrettais immédiatement. Tout était contre moi ces temps ci. Mes jointures étaient légèrement rouges tout comme mes yeux. J'étais tellement fatigué, cela faisait des heures que je cherchaient la moindre information et je ne trouvai rien du tout ! Mes yeux se fermaient mais s'accrochèrent à quelques lignes écrites en minuscule en bas de la page. Je rapprochais mes yeux du livre, si près de celui ci que mon nez touchait la page. Mes yeux regardaient les quelques lignes et ceux ci s'agrandissent tant la surprise fut forte :

"In via youll reperire centena provocet canis ne forte ingenio tuo et valde sollicitus vobis adulescentes mortalis deleret vos frangeretur.

Ut eruaris delebit enlacera, sed numquam amare. Sed intentio non diligit et multo perniciosius officium. Manusque vestras servate affectus. Si autem sentit se occidere"

Je traduis avec difficulté, mais dès que je pus voir ses lignes, mon sang se glaça :

"Dans ton chemin, tu découvriras des centaines de difficultés, que tu arrivera à éviter grâce à ton intelligence, mais fait très attention à toi, jeune mortel, elle pourrait te détruire en un claquement de doigt.

Elle te sauvera, te détruira, t'enlacera, mais jamais elle ne t'aimeras. Elle a été conçue pour des choses beaucoup plus meurtrières et aimer ne fait pas partit de sa mission. Garde tes sentiments. Si elle le ressent, elle te tueras"

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Désolé pour l'attente ! J'ai été très occupé, et j'avoue, j'ai laissé ce chapitre. Je n'avais pas d'inspiration, mais je suis plutôt fière de ce que j'ai fait !

En espérant que cette lecture vous plaira !

Bisous ! xoxo

Manon12Er !