Voilà le fruit de mon inspiration d'hier soir - le texte ne veut pas dire grand chose, et je ne sais même pas dessiner, j'ignore totalement ce qu'il m'est passé par la tête, mais voilà :)
(comme j'écris vraiment mal, voilà le " texte ") :
Aux autres.
Ceux que j'ai rencontré, ceux que j'ai changés.
Ceux qui m'ont brisée, et ils sont nombreux.
Et puis, du noir sur mes yeux au carmin de mes lèvres ; l'infini.
Un infini qu'on me refuse, un intellect qu'on estime inutile, des pensées que je me dois de cacher. Parce que je suis une fille, trop sensible, plutôt jolie. Que ce que je vois dans le miroir ne me fais pas reculer, que je sais chanter. Je ne pourrais pas, en plus, savoir réfléchir, ou être drôle, ce serait indécent. J'aurais pu être tout ce que je veux, dans un autre monde. Ce n'est pas la cas, aussi suis-je pressée de me cacher, un peu, un peu plus, toujours plus.
Y a toi, y a moi, et une infinité de possibles, sur laquelle je n'ai pas de contrôle. On me pense introvertie, vous me mettez mal à l'aise. Vous, vos conventions, vos normes, votre obstination à me couper la parole. Vous ne savez pas, plus, écouter. Votre société d'hommes, forgée par vous, à votre image. Votre société à la con, qui veut éliminer toute sensiblerie, place à la virilité.
Et moi, qui prie. Moi, qui prie pour que vous me laissiez de la place, que vous me laissiez exister.
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Tempêtes.
Random« Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là Et tu marchais souriante Épanouie ravie ruisselante » - Prévert. (Pour être totalement honnête, je n'ai aucune idée de ce que je vais mettre ici. Il est possible que ce ne soit qu'un...
