Chapitre 11: La planque.

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En photo Stéphane.

Attention il y a un peu de violence pour les âmes très sensibles.

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Pdv Ethan:

Après 1 heure et plusieurs détours nous arrivons enfin à la planque. Nous mettons Bryan dans une chambre complètement blanche avec seulement un petit matelas parterre.

Bryan: Pauvres cons relâchez moi maintenant!

Moi: Pourquoi?

Bryan: Ils vont venir me chercher et vous allez regrettez!

Moi: Tu es nouveau, donc ils vont te chercher mais pas avec tous les moyens possible et vont donc mettre longtemps mon pauvre Lord.

Bryan: C'est ce que vous croyez, je suis important.

Moi: Mais bien sûr, tu n'aurais pas été seul si c'était vraiment le cas.

Bryan: C'est moi qui ai demandé d'être seul.

Moi: Quelqu'un t'aurait tout de même suivi.

Bryan: Argh c'est bon casse-toi.

Je sors donc de la pièce mais avant je lui donne un coup de pied dans le ventre et il se tord de mal.

Moi: Petite nature va, ça m'étonnerai qu'ils t'ont bien évalué pour que tu rentre dans leur gang.

Bryan: Connard. Murmura-t-il.

Je souris et pars.

Ellipse de 2h je retourne le voir pour avoir des informations.

Je pousse la porte d'un grand coup de pied et trouve Bryan adossé au mur en souriant.

Bryan: J'étais sur que tu reviendrais, dit-il en se plantant net devant moi avec un regard de défi.

Je referme la porte et me met à marcher le long de la salle.

Moi: Ecoutes Bryan, j'ai un marché à te proposer.

Bryan: Ton marché tu peux te le mettre où je pense! Répliqua-t-il en s'asseyant par terre.

Moi: Laisse moi parler au moins!

Bryan: Arrête de me prendre pour un bouffon! Je sais très bien que ton sois-disant marché ne sera bénéfique qu'à toi et tout la bande de couillons!

Je m'arrête soudain et serre les poings.

Moi: Très bien, alors on va faire ça à ma manière.

Bryan n'a pas eu le temps de réagir que je lui avais déjà attrapé par le t-shirt et soulevé brutalement.

Moi: Où se trouve ta base à toi et à ton gang ?!

Il ne bouge pas d'un cil.

Moi: Réponds crétin!! Criais-je en le secouant avec violence.

Il me regarde, souris, et me crache à la figure.

Bryan: Va crever!

Là s'en est trop, avant que je m'en rende compte, mon poing avait déjà fusé dans sa figure. Le choc fut tel qu'il la projeté violemment contre le mir. Il essuya le sang qui coulait de son nez d'un revers de main et se jeta sur moi. Je m'écarte rapidement et lui assène un coup de coude entre les omoplates. Il s'écroule alors par terre en grimaçant de douleur. Avant qu'il ne se relève, je l'assomme d'un violent coup de pied dans la nuque ce qui lui fait alors heurter son crâne contre le mur. Groggy, il essaye de se relever et crache du sang par terre. Il me fait pitié.

Lui et Moi, Le destinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant