Chapitre 7 (Lydia): Encore une fois

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Tôtle matin, Annabeth avait emmené la fille mauve à la chasse pour luichanger les idées. Cela faisait bizarre de se l'avouer, mais laBanshee commençait à bien aimer ses deux filles. Lydia elle,s'avait proposée à fabriquer des lits de feuilles pour une secondenuit probablement pénible à nouveaux. Puisque la rouquine savaitbien reconnaître les aliments de la nature, elle partie enexploration forestière. Non loin de leur nouveau camp, elle avaitconstaté que de belles feuilles pouvaient servir de nids, à elle etses coéquipières. Elle fit quelques allés-retour pour avoir dequoi bon être plus confortable. Elle installa trois lots de feuillesverte et y posa, sur le dessus de chacun, une petite douillette que chacune des adolescentes avaient reçus. Au moins 60 minutes plustard, la Banshee vue apparaître deux silhouettes aux mains chargées.Kira et Annabeth n'étaient pas rentré bredouilles, elles avaient unlapin ainsi que deux perdrix bien garnies, de quoi faire deux repaspour le reste de la journée. Un feux fit allumé après quelquesefforts de roches frottées. Les filles mouraient tous de faim. À lasuite de leur repas, Lydia et la demie-déesse partirent à larecherche d'eau potable et Kira pris un second chemin pour alléexplorer leur nouvel endroit. Après tout, personne avait besoin desurveiller le grand chêne car de toute façon, rien ne pouvaitarriver de grave dans un endroit où ciel et horizons blancs, entouréde nature généreuse, pas vrai?

***

Lestrois jeunes adolescentes étaient revenues au camps principal pourdéguster le reste de nourriture. Le crépuscule se pointait déjàalors Annabeth et Lydia décidèrent d'aller dormir quand Kira seproposa pour un tour de garde nocturne.


- Quoi? Tu es sérieuse? Demanda la rouquine.

- Bah ouais. Qui sait, il y a peut-être des ours ici. Répondit la fille violette sans crainte

- Laissa-là faire, chuchota la fille aux cheveux blonds à l'oreille de Lydia. Si quelqu'un peut battre un ours, s'est bien elle, finit par articuler la demie-déesse.

Larousse haussa les épaules et fit signe à Kira que tout était OKAY et finit par suivre l'autre fille au pied du chêne. Une bonnedemis-heure s'était écoulée sans que la Banshee puisse fermél'œil, mais à force d'écouter le silence nocturne, elles'assoupit. Après plusieurs rêves sans souvenirs, ses paupièress'ouvrirent. Elle était encore accroupit sur son lit de verdurescontrairement aux deux filles qu'on entendait jacasser plus loin. Lafille aux yeux rougis par la fatigue dit salut aux autreadolescentes, qui ne lui échangèrent rien. Même pas un regard.Bon, peut-être qu'elles étaient trop préoccupées par leurconversation. Un coup d'œil vers l'avant sût attirer l'attentionde Lydia. Aucuns arbres longeait le sol blanc du monde inconnu. Etmême que le ciel n'était plus blanc, mais gris. Un gris foncé oùil s'y mélangeait plusieurs nuages et éclaires. Et puissoudainement, un homme apparut. Il avait une carrure musclée etsurprenante et c'est quand l'adulte releva la tête que Lydia risquade s'effondrer de panique Avec un sourire maléfique, il détala àgrandes enjambés vers l'adolescente. Pourquoi fallait-il qu'il soitici? C'est horrible homme était un loups-garou, anciennement toutpuissant, qui effrayait ainsi la jeune Banshee. Lui, cet être humainà l'allure si compréhensible, avait presque tuer la rouquineautrefois. Celle-si se mise à courir du sens opposé en poussant descris de détresse vers ses nouvelles amies. Rien. Elles ne risquaientpas un mouvement pour aider l'apeurée.


- J'y suis presque Lydia, résonnait la voix derrière l'affolée. C'est l'heure, tu n'as plus de change! Termina-t-il.

- Non, non! Peinait-elle à articuler.

Ellene cessait plus de crier mais de courir, si la peur la faisait perdreles moyens, c'était son point faible. À ce moment, elle sût quepour elle, tout s'arrêtait là. Une main froide s'agrippa à sanuque en la serrant fort. Peter, c'était le nom de cet hommedangereux, lui que Lydia n'approchait jamais. Il colla son visage àcelui de la fille effrayée. Cette dernière hurlait de toutes sesforces et à travers ses cris, on entendait la voix de l'homme:

- Ne t'inquiète pas Lydia, cette mort t'étais déjà réservé alors il n'y a aucun moyen de t'en sortir. Dit-il avec un ton diabolique.

L'adolescenterousse ne pouvait s'empêcher de crier plusieurs son de détressequand Peter sortit ses griffes effilées de ses longs doigts. Tout autravers des hurlements sonores, c'était les voix puissantes de deuxjeunes filles qu'on entendait.


- Lydia, Lydia! Debout, ce n'est qu'un rêve, tout va bien, réveille-toi!

Dansl'atmosphère de la fille tremblante d'horreur, tout s'écroula saufelle, qui réapparue dans le monde blanc où ses deux compagnes luicriait à la tête. Lydia se releva prise de panique.


- C'est finit Lydia, c'est terminé. Dit la fille d'Athéna avec des yeux remplis de compassion.




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