Lydiaaccourut rapidement vers les personnages, suivie de près de ses deuxautres compagnes. Il y avait à peine quelques secondes,l'adolescente aux cheveux roux avait aperçu au loin trois hommes oùle facial d'un d'eux l'avait fait sursauté de joie. En s'approchantde plus en plus, sa gaieté devenait plus intense. Entourée d'unpetit bleu clair, Lydia avait bel et bien aperçut Stiles perché dubout des pieds sur une plaque métallique. Elle ouvrit grand les braspour entourer le nouveau venu, mais sa congénère aux cheveux blondsla stoppa d'un signe de main.
- C'est un hologramme. Si tu le touches il risque de disparaître.
- Un quoi? Rouspéta la fille mauve.
- Un hologramme, fit Lydia. C'est le reflet de la personne comme une image, simplement, elle est en trois dimension comme le corps d'une vraie personne. Termina-t-elle d'un air déçu.
- Lydia! Mais où es-tu? C'était la voix de Stiles qui qui résonnait de l'hologramme.
- Quoi il peut parler! S'exclama la medium.
- On dirait bien. Bon je vais parler à Percy. D'après moi, quand nous parlons à l'hologramme qui nous est assigné, nous nous entendons pas car Kira parles à quelques depuis tout à l'heure et on ne l'entend pas.
Lafille d'Athéna avait un large sourire sur son visage. Elle jeta unregard à Kira puis au garçon quelle avait dit s'appeler Percy.
- Oui et bien tant mieux. Moi je vais parler à mon petit ami, lui répondit Lydia.
- Oui, moi aussi! Finit Annabeth souriante en se tournant vers son copain.
Larouquine en fit autant de son côté et dit à son amoureux:
- Bon, je suis toute à toi! Mais attends... comment fais-tu pour me parler comme ça? Tu es impliqué là dedans ou quoi? Ah ouais, je sais maintenant. C'est toi qui m'a envoyé dans ce monde avec ce filles sans queues n'y tête, c'est ça! Hurla l'adolescente sans douceur. Stiles avait l'air perdu. Il plissa les yeux et finit par s'expliquer.
- Mais non Lydia! C'est quelqu'un qui m'a expliqué ce truc et qui m'a fait apparaître sur cette plaque disant je j'allais pouvoir te parler. Je ne le croyait pas, mais tu es finalement apparue sous mes yeux! Je suis seulement là pour t'expliquer la situation, mais nous n'avons pas beaucoup de temps.
- Très bien... Mais dépêche-toi de me sortir d'ici, je n'en peux plus. Lança la fille aux yeux bleus.
- Quoi, parce que je suis censé te sortir de là?
- Eh... tu viens pour quoi alors? Lui demanda Lydia pas sûr d'avoir bien suivit.
- Pour t'expliquer j'imagine. Écoute moi attentivement. Ce que je dois te dire c'est que tu as été envoyé par «Dieu» et que tu dois relever des épreuves pour sortir de cet affreux endroit. Par contre, je ne sais pas combien de temps cela va durer. Lui expliqua Stiles rapidement pour être sûr d'avoir assez de temps pour tout lui expliquer.
Lajeune fille rousse avait l'air apeurée à l'idée qu'elle ne puissepas rentrer chez elle. Du moins, pas tout de suite. Pourquoi c'étaitelle qu'on avait imposée à cette épreuve? Elle le méritait tant?Peu importe ce qui l'attendait, Lydia était prête à tout pourretrouver sa vie normal.
- Alors, tu pourras y arriver? Lui demanda son copain. C'était la question qu'elle se posait elle même
- Je l'espère... Après tout, je n'ai sûrement pas été envoyé ici pour rien. Lui répondit-elle le regard perdu dans le lointain.
- Oui, j'imagine. Mais c'est qui «Dieu»? Tu le connais? Lui demanda Stiles.
- Non. Je n'en n'ai pas la moindre idée. Annabeth, une fille prise ici avec moi, crois que c'est les dieux ou déesse de nos mondes qui nous ont envoyés ici, mais c'est insensé.
- En effet, mais toutes les histoires racontées sur «Dieu» et «Jésus» dans notre monde, il fallait peut-être y trouver un sens. Dit son petit ami.
- Ouais, mais pour l'instant j'aime mieux ne pas y croire. Bon parlons d'autres choses, lui proposa la medium.
- Oui pour le temps qu'il nous reste, lui dit joyeusement Stiles.
- T'as raison. Bref, merci de ton aide.
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Imposées: Le Test
Fantasía«- Pour certains, nous n'avons rien d'important à faire. Au contraire, nous les dieux, devons faire des choix très importants et aussi des sacrifices et ce n'est pas toujours facile. Mais, au moins, nous faisons toujours les bons choix. Moi, Paranda...
