La Reine Oubliée

5.Anda

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-Où la tu trouver ?

-Dans la cour du Roi d'Egypte, la mère du souverain la mis aux enchères pour un crime qu'elle qualifié digne de la peine de mort.

-Elle est merveilleuse elle ressemble aux femmes du pays de l'Empereur de Chine des cheveux sombre une peau pâle des lèvres du rose, des yeux comme des amandes.

-Vous devriez voir ses pupilles elles sont sublime, extraordinaire captivant. Dit-il en s'emportant.

-Calme toi donc quel est donc se crime si terrible ?

-Elle à privé le Harem Royale du Pharaon qui lui voué une incroyable fascination au point que le souverain à son retour d'une expédition est parti la cherché en personne au Harem pour la ramené dans ses appartements.

-Pour sure une telle merveille ne peut être que centre d'attention mais si elle vient de la cour du Roi d'Egypte elle doit être danseuse ?

-Oui mais comme vous le voyez elle est mal en point pour le moment il faut quelle se rétabli mais elle peut chanter.

-Elle, chanter, jusqu'à maintenant jamais un égyptien n'as chanté, et puis même comme la comprendre elle ne parle pas notre langue.

-Et bien si elle le parle comme nous parlons à l'instant.

-Prodigieux bien porter la dans une chambre mais la meilleure.

-Bien.

-Numerius.

-Père ?

-Elle est sous t'as garde.

-Oui père.

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-Aller la perle réveille toi tu dois manger.

-Pas la peine je n'ai pas faim.

-Aller plus que deux jours d'huile d'Argens et de repos puis tu pourras sorti à l'extérieur.

-Non je ne veux pas je préfère mourir.

-Allez, mange, de plus Maxima a une surprise pour toi.

-Sa change rien.

-D'accord je pose ton assiette sur la table ainsi que ton verre bois au moi je repasserai pour tes soins. Dit-il en sortant de la chambre.

Je patiente quelque minutes toujours coucher sur le flanc dos à la porte, sa fessais environ deux semaines que j'étais dans cet maison avec des romains dans tout les sens je ne sort jamais de la chambre, encore trop faible, je sais pas où je suis enfin pas dans un camps de colonisation, il y a une cour est j'entends des cris de marchands tout les 7 jours donc le dimanche, les seuls villes romaines que je connais son Pompéi et Rome, je me dresse sur la tête du lit vêtu d'une petite robe blanche au bretelle assez épaisse en dessous des fesses, mes cheveux on repousser depuis le temps ils retombent en cascade sur mes épaule à nu, je m'approche de la table de nuit où Numerius a poser l'assiette qui contient du raisin, du pain, du poulet et des tomates, je prends un raisin que je mâche doucement avant de l'avalé, pose l'assiette sur mes jambes qui reprennent leurs formes rondes, saisi le verre des deux mains et le porte à mes lèvres, l'eau coule dans ma gorge doucement je ressens chaque gorgé sa fait bizarre mais sa me rassure à la fois, je ne veux vraiment pas mourir surtout loin de mes parents, je le repose et commence à mange de petite bouche de poulet avec du pain et des tomates, je ne sais plus quoi penser de Tout, il dis m'aimer mais il ne me défends même pas quand sa mère décide à sa place, je soupire et termine mon assiette une fois fini je bois une dernière gorgé d'eau, pose mon assiette sur la table ainsi que mon verre me glisse de nouveau sous les draps pour me rendormir.