La Reine Oubliée

8. Tout

L'arène était -malgré moi- magnifique, les Romains avaient vraiment l'art de faire dans l'immensément grand là où tout semblait petit. Nous priment plasse dans la loge d'honneur à l'ombre des rayons agressif du soleil, un verre de bon vin frais d'un côté alors que de l'autre on nous fournissait du raison frais et succulent. Pas d'Anda au environ, ni de Méditerranéen, la journée était vraiment de tout beauté, je ne me sentais pas d'humeur à rire des tentatives de Caesar et fini même par lui en accordait une, cela semblait beaucoup lui plaire, car il laissa la vis sauve au pauvre gladiateur trop maigre pour ne seraisse que faire le poids face au Gaulois qui jusqu'ici épaté la galerie et achevé chaqu'un de ses adverses.

-Mes chers co-citoyens, le sang a assez coulé aujourd'hui, de plus aujourd'hui est un jour fameux le Pharaon Touthankamon vient de nous rejoindre sur la prospère route de la soie vers le Royaume de l'empereur.

Je ne me souviens pas avoir échanger sur un autre commanditaire sur cette affaire... je n'aime plus vraiment son petit sourire victorieux.

Dans quoi ai-je mêlé mes pauvres producteurs de lin ?

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-Caesar, n'est pas Caesar si il n'organise pas un divertissement digne de son projet le plus fou qui lui a coûté sa dignité à mainte reprise. Me dit Octavius en pianotant sur son abdomen alors qu'on lui drapé une toge au couleur de leur bannières tandis qu'il occupait ses mains à ajuster ce qui l'était déjà.

Pour l'occasion j'ai pris une de mes tuniques royale, ma grande coiffe et mon médaillon. Avachi dans un fauteuil je jouait avec mon poignard repensant encore à Caesar enlaçant MA Anda, elle murmurant son nom, me repoussant...

-Tout ?
-Hum quoi ?
-J'étais entrain de dire qu'il serait temps de s'avancer pour ne pas arriver chez Maximus trop tard.
-Hum oui oui allons-y.

Je n'ai strictement rien écouter, mais je le suis et met un temps à comprendre que nous ne prenions pas la route de la grande salle, pourquoi ?

-Maximus? C'est qui ? Demandais-je à Octavius alors que nous prenons le tournant d'un couloir.
-C'est juste le plus grand marbrier et sculpteur de Rome et de la Méditerranée. Tu sais, c'est à lui que Dame Anda est rattachée, elle est comme une quatrième membre de sa famille. Le poisson à écailles en pointes, tu t'en souviens ?
-Oui je vois quel poisson. Susurrais-je en posant le pied sur la voiture du char de Octavius qui nous mènerait jusqu'au plus haut de colline de Juste où vivaient les Betus dont le chef de famille était Maximus Betus, le marbrier.

La ville était en effervescence alors que notre char avançait avec les autres, des fleurs et mouchoirs délicats échouaient sur notre passage puis le calme totale en arrivant au pied de la grande demeure du Betus, les flammes étaient vif, assez vif pour que je puisse bavé devant cette magnifique bâtisse aux murailles hautes et au colonnes toutes de marbre.

-Ça a du bon d'être un des meilleurs commerçants de la cité. Commenta Octavius en arrêtant les chevaux pour confier les brides à un palefrenier basané qui les mena plus loin.

Les portes étaient grandes ouvertes sur l'entrée de la maison tournant autour d'un bassin dans lequel des femmes se contorsionnaient, s'ondulaient au rythme des luths et autres instruments à cordes, les fins rideaux orangés et rougeâtre reflétant à merveille un couché de soleil alors que le sol noir reflétait les torches aux murs et les chandeliers au-dessus de nous, des servantes passaient en proposant des coupes et autres rafraîchissement, j'en attrapa un au vol alors que je m'enfonçais dans la foule en compagnie de Octavius, c'était une fête pas un gala, il n'y aurait ni discours, ni longue joute verbale juste de la débauche à l'excès.

Je commence à me mettre dans l'ambiance tout en attrapant une petite demoiselle très peu vêtue qui se colla à moi en jouant de ses atouts, elle m'attira un peu plus loin du bassin, là où les ombres -accentuaient par la fumée nocive- cachaient bien les quelques débauchés déjà bien prit dans la fête et les femmes.