La Reine Oubliée

4.Anda

-Harem Royal-

-Anda, ma Anda, M'appelle-t-il en me décollant de lui, je t'appartiens comme tu m'appartiens, je ne te laisserai à aucun homme, souris Anda, je ne veux pas de larmes sur tes joues par ma faute ou celle d'un autre aller viens. Me dis-t-il en m'enlaçant de nouveau contre lui.

Je me calme quand il se décolle de moi, m'embrasse le front et passe à côté de moi, je le laisse parti sans une parole, j'entends la grille s'ouvrir, je me pince le bras pour me retenir de pleurer au mieux mais à peine la grille claque je craque et m'effondre à même le sol pleurant sans cesse, Jahoniti accours me prends dans ces bras me dis de respiré que j'allai m'en remettre, je ne me calme pourtant pas elle décide de m'emmener dans ma tente, je mis couche toujours ivre de douleur, je me fatigue et m'endors exténué.

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Couché dans ma tente je me tourne et retourne dans mes draps, je n'arrive pas à dormir je cherche le sommeil mais ne le trouve pas, la grille s'ouvre puis se refermer, aucuns sons, quand la porte de ma tente s'ouvre je me redresse et reconnais Tout, je me lève du lit et cours vers lui, il me prends dans ces bras et sors du Harem en me tenant la main, nous nous dirigeons vers sa chambre, une fois dans la pièce il m'entraîne dans le lit où il commence à retire ma robe de nuit tout en m'embrassant, j'hésite puis le repousse.

-Qu'es qu'il je t'ai mordu cet fois ? Me demande-t-il et passant sa main dans mes cheveux.

-Non c'est le fait de me retrouver à nu devant toi. Dis-je en me mordant la lèvre inférieure.

-Je veux ressentir ta peau contre la mienne pour la première fois j'ai un désir tellement intense que je ne t'ai même pas demandé ton avis.

-Pas besoin j'aurai était pour puisque se désir et plus que partager.

Il me sourit avec douceur et défait le dernier nœud qui retenait la totalité de ma robe, il fait glissé le tissu au sol, retire sa jupe de taille, me prends au creux de ses bras passant sa main de mon épaule à ma cuisse qu'il saisi et passe sur lui, je sursaute surprise par son geste mais ne bouge pas, je me colle volontairement côte son torse et sens nos deux cœurs cogné contre nos cages thoracique.

-Dis tu m'aimes ? Demandai-je en posant ma main sur la sienne.

-Oui plus que tout et toi m'aimes tu ? Me demande t-il à son tour.

-Oui plus que tout. Répondis-je avant de l'embrasse moi-même pour la première fois.

Il prolonge le baiser, passe une main sur ma cuisse, poser sur lui et tiens mon menton de l'autre une fois notre baiser fini je passe ma tête dans son cou hume son odeur et m'endors cette fois-ci aussi paisible que le Nil.

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-Tout !

Je me réveille en sursaut, me redresse tenant le drap sur ma poitrine, une femme se tiens devant nous l'air en colère, elle crie à nouveau le nom de Tout qui se réveille tranquillement se redresse et se raidi à la vu de la femme au grande accoutrement.

-Toutankhamon, comment ose tu me faire un affront pareille, tu as un Harem à occuper et depuis que cet étrangère et arrivée tu prête plus d'attention à son confort qu'au penser de tes courtisanes à qui tu n'a jamais dis un seul bonjour ou accordé un petit peu de temps mais j'ai compris elle est un obstacle à ton ascension je vais y remédié gardes arrêté la ! Crie la femme.

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Assise dans les bas fond du palais de puis trois jours et quatre nuits je regarde mon destin se tisser comme la toile d'une araignée, je ne retrouverai jamais ma famille, ma mère, mon père, les seuls personne qui me connaissais vraiment que je ne reverrai plus jamais, ni eau, ni nourriture, la chaleur m'épuise, j'enfuis ma tête dans mes bras et me laisse porter pas la fatigue mais le garde en décide autrement, il ouvre la grille et m'appelle.