6.Tout

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20 années de solitude et 2 mois de bonheur et 2 semaines de douleur.

Elle est parti, elle m'a laissé, ici, elle m'a abandonné.

Ma mère me l'a prit et ce romain me l'a arraché. Ma Anda.

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Boum boum boum

-Ouvre moi Tout !

-Il n'y a que elle qui a le droit de m'appeler ainsi pour vous se sera votre altesse ! Sorcière !

-TOUTHANKAMON JE SUIS T'AS MÈRE TU ME DOIT LE RESPECT SORS IMMÉDIATEMENT !!!

Je me lève de mon lit que je n'avais pas quitter depuis qu'elle c'était faite arrêté par ma mère. Ma Anda. J'ouvre la porte après avoir enfilé un pégnoir qui trenné là.

-Raison de plus pour vous provoquez saleté comment avait vous put, vous vous êtes mit entre elle et moi par peur d'être remplacé voilà tout mais une chose

-TAIT TOI !

-VOUS taisez vous et écoutez bien chaque mot que je vais dire, Vous N'êtes RIEN, juste une vielle femme sans racine et vie vous avait voulu contrarié Pharaon et bien vous avait réussi fille de Seth.

Elle me fixe et tremble comme jamais, sous la colère et le choque que mes paroles on fait naître chez elle.

-Préparé vous Pharaon vos sujets vous attends dans la grande salle et votre catin avec. Déclara-t-elle avant de parti de mes appartements.

Je claque la porte de ma chambre et part me changé en lançant des jurons dans tout les sens. Une fois prêt je pose ma coiffe sur ma tête et passe mon lourd médaillon autour de mon cou, prend une grande inspiration et sort de ma chambre, quatre soldats m'encarde alors que je me dirige vers les portes de la grande salle qui s'ouvre sur une assemblée de politicien des pays alentour mais un seul attire mon attends vêtue d'une amure en cuir rouge un casque sous le bras une peau basané des trait fins, un romain était dans ma cour et parle avec la chose qui me serre de mère. Quand ils finissent leur conversation le bleu transparent des yeux du méditerranéen croise le gris orageux emplie de haine des miennes. Je rejoins mon trône fixe la porte en attendant que ma Anda vient nous enivrer de ses charmes et faire fuir la pression que je ressens sur mon cœur. Après une attente sans fin les portes de la salle s'ouvre de nouveau je me redresse et jete le moindre mouvement de la part de la masse assise au sol la tête. Par Amon c'est elle je retombe sur mon trône choqué par l'image qu'elle renvoyer, fatiguer, perdu, la lueur qu'elle avait habituellement au fond de ses pupilles dorée était faible presque éteint quand nos regards se croise je me saisi des bout des accoudoirs de mon siège tellement l'envie de courir vers elle et de la prendre tout contre moi est forte je regarde ma mère qui affiché un sourire satisfait elle avait tout prévu.

-Lève toi sale chienne. Crit un soldat.

Je repose mon regard sur la porte ou je vois Anda mal mené par un lourdot de garde si mon regard pouvait tuer cet homme serait déjà en sang étaler, tel le déchet qu'il est, au sol.

-Si tu avais un peu de tête tu verrais que je ne tiens pas debout je ne sens plus mes jambes idiot traîné moi si ça vous chante.

Un sourire fier naquit sur mes lèvres, même humilier elle reste fier et sure d'elle.

-Traîné la ! Ordonne ma mère.

-Toi...Lui souffler entre les dents essayant de garder la face alors qu'elle souriré de plus belle et que je resseré ma prit sur mes accoudoirs.

-Anda, reprit-elle en m'ignorant, tu es accusé d'avoir privé un Harem de son souverain qu'avait vous à dire ?

Je reste sans voix elle n'avait aucun motif pour la condamné et elle trouvé quand même un moyen d'arrivée à ses fin quel monstre.

La Reine OubliéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant