Be thought of as dead woman

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Il était une fois en pleins centre ville de Londres, une jeune femmes qui caressait son ventre rond, la douleur devenait de plus en plus forte et régulière alors la jeune futur maman appela son mari pour qu'il emmène à la maternité afin de mettre au monde les trois bébés qu'elle avait dans le ventre.

Trois heures plus tard, elle se réveilla de sa césarienne, elle pour enfin découvrir ses trois petits qui l'appeleront "maman" quand ils aurront un peu grandit, son mari tenait leur seul fils dans les bras, il était tellement heureux que sa relève soit assuré dans son milieu professionel, puis on lui présenta la première de ses filles, elle ne put laisser contenir des larmes de bonheur, c'était le plus beau bébé qu'elle n'ait jamais vu, la jeune maman lui destinait déjà son avenir sur ses propres trace. Puis on lui présenta la petite dernière qui n'arretait pas de pleurer, elle etait plus petite, plus ronde et plus laide que les deux autres. Les deux jeunes parents échangèrent un regard de déception. La jeune femme redonna le derniers bébé à l'infirmière en lui criant que c'était pas le sien, ils c'étaient trompés puis elle reprit sa premère fille pour calmer son angoisse, tandit que son mari venait s'assoir à coté d'elle avec leurs fils, ils représenteraient tout les quatre une famille heureuse.

La petite dernière était bien leur fille, toute son enfance elle eux le sentiment d'être différente, se fut une adolescente pénible qui voulait reporter l'intention de ses parents sur elle, c'est à son premier joint à seulement treize ans qu'elle fut surnommé par les médias "le vilain petit canard" mais contrairement au conte, elle vivait déja dans la bonne famille et hélas, elle se transfmera pas en cygne.

Dix sept ans après :

Alors que je regardais ma sœur défilé en petite tenu devant des centaines de personnes et des caméras du monde entier. Je ne pouvais cesser de me montrer admirative même si c'était aussi ma pire ennemi. Son regard n'avais pas changé, il était toujours aussi pleins d'assurance comme quand elle me jettait toute ses méchancetées. Mes parents et mon frère, là regardaient fièrement. Ma sœur était très vite devenu, le mannequin vedette, plus célèbre que Kate Moss, plus sage que Rihanna et aussi excentrique que sa meilleure amie Cara Delevingne. Ma sœur avait tout pour réussir, ce qui m'énervait particulièrement, c'était une vrai garce, elle passait son temps à me reprocher d'être grosse, d'être laide, de ne pas être comme elle.

J'étais le vilain petit canard de ma famille, alors que tout les quatre mesuraient plus d'un mètre soixante quinze, je mesurais un mètre cinquante huit. Je n'étais pas destiné à être célèbre contrairement au reste de ma famille, mon père étant le célèbre ancien joueur de foot, Daniel Stonem et ma mère le célèbre mannequin Elizabeth Chastain, elle à mit fin à sa carrière en accouchant de triplés. Mon frère allait devenir un joueur de foot célèbre, ma sœur excellait déjà dans le mannequinat et tout les deux étaient inséparables et ils étaient très proche de mes parent, ils étaient plutôt sage et obéissant et était aussi bon à l'école que dans leurs passions.

Moi, le vilain petit canard, j'avais jamais pris l'école au sérieux, j'étais la plus intelligente de la famille et je réussissais à avoir des aussi bonnes notes que mes triplés, sans me donner la peine d'apprendre. J'avais une passion bizarre pour les armes à feu, personne de mon entourage n'arrivait à comprendre ma passion surprenante, peut être parce que c'était aussi celle de mon papi, il m'avait apprit à tirer dès l'age de cinq ans. Mon papi était un modèle pour moi, il était courageux, dur à la douleur, des traits de caractère dont j'avais hérité mais il était franc contrairement à moi. Hélas, mon papi nous a quitté il y à plus d'un an et je m'étais jamais vraiment remise de son départ pour le paradis. Je trainais avec des jeunes délinquants, ce qui fesait honte à mes triplés au collège, ils avaient tout les deux une image à préserver. J'avais un style féminin-masculin, j'aimais ce qui était simple, les vêtements avec des clous, je traînais qu'avec des garçons mais malgré cette carapace de jeune fille rebelle, j'étais très sensible. Ma mémoire ne cessait de me repasser toute les remarques de ma famille, ma sœur avait finit par me persuader que j'étais grosse. Qui pouvait imaginer que je pleurais tout les soir avant de dormir en pensant à ma soirée avec ma famille ? Quand ma sœur sortit des loges, j'étais déjà partis, mes parents n'avaient sûrement pas remarqué mon absence, ils étaient trop excité par le succès de leur fille préférée. J'emprunta leur voiture et partit m'enfoncer dans la campagne anglaise, je trouva des toilettes dans une station public puis je sortis le dernier cadeau de mon papi, je caressa son présent avec sa teinture argenté, un revolvers édition 1929. Je le pointa sur ma tête et je repensa à tout ce qui me fesais souffrir, l'odeur des toilettes me fient prendre ma décision finale plus rapidement et puis fallait mieux que je sois morte après avoir pris la voiture de mes parents.

Soudain quelqu'un arriva par dessus les toilettes, je ne vis pas son visage caché par une grande capuche noire, elle sortit une main parfaitement manucuré de rouge et me pris le révolver. Trop surprise par cette fille qui déboulait de nulle part, je ne disais plus rien.

-Une voiture t'attend, on va tout t'expliquer, me dit elle.

Elle retira sa capuche, malgré ses vêtement trop grand et son culot, son visage angélique effaça mon premier préjugé que j'avais d'elle. Ses long cheveux blond, ses grand yeux bleu et sa petite taille, me fesait dire qu'elle ne pouvait pas me faire de mal. C'est naïvement que je monta dans un grand 4/4 noir.

Le vilain petit canardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant