Chapitre 18

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J'étais toujours aussi surprise de ce qu'il venait de se produire, j'étais sous le corps de Teddy, je ne voyais que ses cheveux brun qui baignait dans le sang, son sang commençait à dégouliné sur mon visage et sur mes seins et mes épaules nu. Non, mais j'arrivais pas à le croire, c'était bien James que je venais de voir, j'étais pas folle, c'est imposible qu'il est fait ça, pourquoi aurrait il fait ça ? J'étais en train de le trompé mais même la jalousie ne pouvait pas expliqué cette acte qui était d'une cruauté que j'aurais jamais pu imaginer jusqu'à la. Je me décida enfin de pousser le corp sans vie de Teddy pour reprendre ma cullotte et me réhabiller, je releva la tête et James était bien la ou son jumeaux diabolique, il avait l'apparence de James mais il semblait complétement différent, il avait baissé son arme mais il me regardait d'un regard haineux.

-James, qu'est ce qui t'arrive ? Réussi je à articulé.

-Je suis partis seulement quatre jours et tu n'à même pas attendu une semain avant de sauté sur le premier venu. Gueula t'il. Tu va le payé très cher.

-Tu viens déjà de me le faire payer, me mis je à crier. Tu as descendu quelqu'un pendant qu'on baisait, je suis trempé de sang. Putin James tu l'as tué, il avait rien fait.

Il sortit un dossier et me le plaça devant mes yeux, il y avait inscrit le nom de Teddy.

-Je devais le tuer de toute façon, rigola t'il nerveusement. ça aurrait une prostitué j'aurais attendu mais vu que c'était toi et que tu te fou de moi.

-Qu'est ce qu'ils t'ont fait James, murmurais je. C'est juste du sexe, je ne l'aime pas.

-ça je sais que tu ne l'aime pa, ça se voit vu que tu es plus attristé par le faite que tu asdu sang partout que par le faite qu"il soit mort mais dit moi de qu'elle droit tu te permets de coucher avec lui alors que tu es censé m'appartenir.

-Je t"aime James, murmurais je. J'étais vraiment inquiète, j'ai su qu'elle mission on t'avais donné et j'ai cru que tu allais jamais revenir, tu étais partis si froidement, j'avais peur de jamais plus pouvoir aller de l'avant alors j'ai couché avec lui, je sais pas vraiment pourquoi d'ailleurs mais j'ai vraiment besoins que tu me pardonne.

-Pourquoi ? Tu as besoins de moi pour que je t'empeche de foutre ta vie en l'air, pour te garantir que tu as toujours quelqu'un à baiser mais qu'est ce que tu m'apporte à moi ?

-Qu'est ce que tu fou avec moi si je ne t'apporte rien,criais je. Mais putin qu'est ce qui t'arrive James?

-Laisse tombé et casse toi d'ici, tu n'as plus rien as faire. Grommela t'il.

Je continua à le fixer à cause de son comportement si brutal, ilcontinua lui aussi de me fixer avec un regard haineux puis je baissa les yeux pour m"en allé et comme à chaque fois que je voulais pleurer je voulais à tout prix m'en empecher,je m'enfonça dans le quartier le plus malfamé de Londres pour y trouver mon bonheur, car c'était ça la vie, c'était un malheur continu avec des petites touches de bonheur.

 A précieuse poudre qu'est ce que tu m'avais manqué, l'avantage c'est que maintenant je peux faire ce que je veux, plus personnes ne se soucie de moi, n'empêche que ça me fait chier, plus personnes ne pense à moi. Mais qu'est ce qui clochait chez moi ? Pourquoi j'arrivais toujours à tout casser ? Pourquoi les personne que j'aime ne m'aime pas ?  Est ce qu'on pouvait vraiment vivre sans les autres ? En réfléchissant trop, je ne maitraisais plus mes gestes, je ne maitrisais pas la quantité de coke que je prenais, il n'y avait plus de trop ou de pas assez, tout le monde se foutait de moi alors je me foutais de moi même qui m'en voudrait de toute façon ?

Je crois que je m'étais évanoui un bon moment, j'avais éliminé ma drogue dans le sang qui me fesait apparaitre de nombreuse douleur presque insuportable, je voulais de la morphine mais j'avais du mal à bouger, je ne sentais plus rien, d'ailleurs j'avais mêmede la peine à ouvrir les yeux. Pourquoi j'étais pas morte, le sachet était pourtant vide, comment je pouvais être en vie ? Il me restait plus que les larmes pour pleurer et c'est tout ce que je pouvais faire pour le moment, verser des larmes, j'arrivais même pas à bouger le petit doigt. Je crois que quelqu'un ou quelque chose se trouvait près de moi, j'entendis une voix flou crier, ce qui renforça mon mal de crâne.

Le vilain petit canardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant