Le vilain petit canard

Chapitre 6

Sans savoir pourquoi, je stressais beaucoup à l'idée de revoir ce garçon qui se nommait James Starr, j'étais avec Chloé assises sur un banc dans le parc ou nous aviond joué quand nous étions petite. Elle m'avait envoyé un message dès sept heures ce matin, elle avait besoin de me parler mais ça fesait dix minutes que j'étais là, j'étais à mon deuxième joint et elle n'avait toujours pas lâché un mot, elle était encore dans la lune. J'avais repris les joints seulement que depuis hiers mais ça m'avait fait un bien fou, je crois que la drogue allait être présente dans ma nouvelle vie.

-Chloé ? L'appelais je.

-Désolé, dit elle en remarquant ma présence. Tu lui en veux pas toi ? Tu devais faire une meilleure sœur que moi et c'est bizarre, je lui en veux mais j'arrive pas à me dire que ce n'est pas de ma faute.

-Je là connaissais mieux que toi, j'étais au courant de vos relations même si elle ne s'y attardait pas. Elle menait une sorte de double vie, inventais je. Elle allait au lycée puis elle rentrait chez elle et sitôt la voix libre, elle ressortait pour se coucher au petit matin. Elle était complément sous l'enprise de la drogue, elle aurait finit par en mourir. Tu n'as pas à culpabilisé.

-J'arrive pas à reprendre une vie normal, soupira t'elle.

-Tu n'as pas encore essayé, lui souriais je. Demain tu vas allé à l'école, tu feras tes devoirs ou ce que tu fais habituellement en rentrant, vendredi et samedi tu appellera tes amies pour que vous sortiez et dimanche tu te lamentera d'avoir autant bu.

-La vie est simple avec toi, me souria t'elle.

-Je m'éloigne des difficultés ou je l'ai oublie. Lui conseillais je.

-Merci pour tout ce que tu fais pour moi et ma famille, tu devrais nous détester. Rigola t'elle.

Ma sœur qui me remercie, c'était un jour à marquer dans la pierre.

-Je dois me faire pardonner car j'ai pas essayé de la stopper, elle aurait dû m'accompagné en désintox.

Si ma famille m'aurait entraîné de force en désintox, j'aurais pas rechigné, pour moi ça aurait été une preuve qu'ils tenaient à moi, qu'ils essayelaient de m'aider. Je m'enfonçais petit à petit dans un gros mensonge, ma famille ne se croyait de moins en moins coupable de mon suicide et je ne savais pas si je devais m'en rejouir ou que je devais le regretter.

Chloé dû repartir car elle avait une interview et une séance photo pour le Teen Vogue British et moi j'avais une deuxième mission à commencer.

Je savais pas par où commencé, je fesais comme si je fesais dû shopping près de l'endroit ou je m'étais cogné à lui, j'espérais que personne ne m'avait remarqué. J'avais fais au moins cinq fois le tour, je rentrais dans un magasin par ci et un autre par, ah celui là je l'ai déjà fais ! Il fallait que j'opte pour un autre endroit, je me précipita vers une autre rue mais en me pressant je me cogna de nouveau dans quelqu'un, il me retenu avec des bras fort et je fis face à ses yeux bleu qui me fus comprendre le terme "bleu comme l'océan".

-Toujours aussi pressé, me souria le garçon au beau yeux.

-Désolé, réussi je à articuler.

-C'est pas grave, dit il en souriant. Je veux pas te retarder.

-En réalité je vais nulle part, je suis juste toujours pressé.

-Dans ce cas je t'offre une bière pour te détendre, m'ordonna t'il.

-Qui te dis que je suis stressé ? Lui souriais je.

-Parce que tu es pressé. Me souria t'il.

On s'installa au premier bar sur nôtre chemin, il me demanda ce que je préférais boire et quand je lui répondit un Coca Zéro, il s'extasia que c'était sa boisson préféré à lui aussi, on avait un point commun.