Chapitre 6 : Joffrey

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Le banquet tirait à sa fin, nous avions mangé d'innombrables plats, vus d'innombrables chanteur et hué tout les artistes de Westeros. Je n'en pouvais plus, Sansa sanglotait à côté de moi et ne disait rien, tandis que je bouillais intérieurement. Soudain, ma mère me fit un signe de la main, et mon grand-père se leva pour déclarer d'une voix forte :

- Il est temps qu'ils aillent au lit. Il n'y aura pas de coucher ce soir. 

Je le remerciais d'un signe de tête et saisissant mon épouse par la main, je la redressais, puis l'emmenais avec moi. toute la salle applaudit et les hurlements retentissaient encore quand je sortis par la porte de derrière, accompagnée de mon épouse et de deux de mes gardes blancs. Je la traînais derrière moi, impatient d'échapper aux regards et à ses sanglots. Une fois que nous eûmes atteint ma chambre, j'arrêtais les deux soldats d'un signe de la main, ouvrit la porte et la fit entrer. J'avais peur, je ne savais pas quoi faire, ni comment, mais il fallait que j'exécute mon devoir. Je savais que je ne devrais faire montre d'aucunes faiblesses, et diriger l'acte. Avec un sourire cruel,  et une assurance que je ne ressentais pas j'ordonnais :

- Déshabille-toi et couche-toi sur le lit, devant son air effaré, je rigolais Quoi ? Tu es une femme maintenant, tu as besoin que je te donne un fils. 

Elle se recula et commença à défaire les fils retenant sa robe, je me retournais et ôtais successivement, mon armure, ma chemise, mon pourpoint et mon haut de toile, bientôt, je fus torse nus, frissonnant dans l'air glacé. Je la regardais avec inquiétude et en constatant que ses habits n'étaient toujours pas à terre, je m'avançais vers elle en sortant mon poignard. En deux enjambées, je fus dans son dos et je tranchais le tout, y compris ses petits vêtements. Elle tressaillit et se tint, nue, dos à moi , je posais mes mains sur son dos et la poussais vers le lit, elle s'y coucha doucement en cachant son con de ses mains. Je poussais celles-ci du bout de mon poignard et découvrit une toison noire, rousse, cachant sa fente. Elle sanglota et leva les bras abandonnant toute résistance, avec hésitation je délaçais mon haut de chausse et livrais ma queue à l'air froid de nuit. Elle ferma les yeux et commença à pleurer, je me couchais avec elle et fis, d'une voix agacée :

- Ferme ta gueule. 

Elle obéit, et prit d'une inspiration subite, je me plaçais au dessus d'elle, mon membre, se dressant entre nous. 

- Ouvre les yeux maintenant, et observe. Je veux que tu te souvienne de tout les instants passés avec moi. Ne pleure pas, pense à ton père, tu l'aimais n'est ce pas ? 

- Mon père était un traître, chuchota t-elle.

- Tu ne pense pas ça, répondis-je en m'asseyant sur elle, tu l'admirais et tu l'aimais. Il a voulu cette union Sansa, alors cesse de geindre. 

Je faisais passé le temps en discutant, mais ça ne pouvait plus durer, il fallait que je le fasse. Soudain, je sus quoi faire et je l'attrapais par les hanches, au bout de deux ou trois essais je pénétrais en elle, elle hurla et je l'agrippais encore plus fort, laissant des marques rouges sur ses cuisses. Le plaisir s'empara de moi. D'un coup, ma queue se durcit et je déversais un liquide en elle, elle pleurais doucement, et me détachant je retombais sur le côté. J'eus envie de ressentir de nouveau la même chose et je la retournais en grognant avant de la prendre par derrière, elle gémit, mais je n'y prêtais aucune attention. Quand j'en eus finis, je me couchais à côté d'elle haletant et la serrais contre moi, les mains sur ses seins avant de m'endormir. 


La vie de JoffreyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant