Chapitre 8 : Joffrey

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Dix jours, dix jours que nous étions mariés et que j'avais découvert les plaisirs sexuels qu'on pouvait avoir avec une femme, je la chevauchais la nuit, et systématiquement déversait ma semence en elle, je la prenais par derrière, par devant, jouait avec ses seins et provoquait l'apparition quelques bleus sur son corps. Ce que c'était bon, je ne pouvais m'en lasser, des soirs, elle me suppliait de ne rien faire, mais je la prenais quand même, envers et contre tout, une impression de puissance et de domination me saisissait, lorsque à cheval sur elle, je rentrais ma virilité dans son con à maintes reprises, même ses petits gémissements et ses pleurs m'excitaient et je comprenais pourquoi mon père avait tant aimé ça. Ce matin, pris d'une envie subite, je l'avais réveillée pour exercer mes droits de mari, mais en pleurant, elle avait soulevé la couette et montré le sang qui la maculait, je devrais attendre quatre ou cinq jours avant de reprendre nos ébats et je m'énervais, la giflant, particulièrement fort, la joue. Mortifiée, elle resta toute la journée dans nos appartements.

Le premier jour, je partit à la chasse, le second et le troisième je donnais audience, le quatrième jour j'assistais au conseil restreint, d'un ennui total, ma mère, mon grand-père, Mace Tyrell, et les différents conseillers discutaient d'affaires inintéressantes, et cela durait des heures. Au bout d'un instant j'en eu marre et je me levais, d'un bond, sans un mot et je quittais la pièce. Je sentis les regards me suivre, dans un silence complet, puis une fois que je fus sortis les discussions recommencèrent. Désœuvrés, j'errais quelques instants dans le palais,suivit de deux de mes Gardes Blancs je ne pouvais pas chasser, car un ours, probablement un zoman, avait été repérés dans les bois et je devais attendre que l'escouade de soldats envoyée par ma mère le retrouve et le tue, je ne voulais pas accorder audience, je n'en pouvait plus d'écouter les simagrée de ces petites gens, je ne pouvais pas...voir ma femme , car elle était en peine floraison. J'ai envie de quoi, bon sang, soudain la réponse me vint, baiser, j'ai envie de baiser.

- Gardes faites-moi apprêtez un palanquin, et...emmenez moi au meilleur bordel de la ville. le premier qui dit quoi que ce soit de cela à ma mère ou à n'importe quelle personne, recevra 300 coups de fouets sur la place publique et perdra son manteau. Est-ce bien clair ? 

- Limpide, votre majesté, fit ser Merin avec un demi-sourire. 

Quelques minutes plus tard, l'escorte s'arrêta, devant l'établissement "Chez Chataya ". Et la tête caché, je pénétrais à l'intérieur. De nombreuses femmes, et jeunes filles, se promenaient à demi-nue dans toute la salle, étalant leur formes, se lovant sur des canapés et laissant voir leur poitrine. Quelques hommes, assis en avaient une sur les genoux qu'ils trituraient, un escaliers montait à l'étage, jusqu'à des chambres, d'où émergeaient des petits cris. Ser Merin, glissa quelques mots à Chataya, la maîtresse de maison, et tandis que je m'asseyais sur un canapé, tout les clients furent évacués, je vis passé des hommes, jeunes et vieux, minces et gros, en tenue d'Adam, jeté dehors. a la moindre protestation, mes gardes sortaient les épées et les mécontents sortaient en toute hâte.

Une fois le bordel évacué, Chataya s'approcha de moi et d'une profonde révérence, elle s'inclina et fit d'une voix douce :

- Bienvenue chez nous votre majesté. 

Elle me guida jusqu'à l'étage supérieur, où après être passés devant de nombreuses chambres, désormais vides, nous nous arrêtâmes, dans une grande salle luxueuse, toutes les putains s'étaient rassemblées là. Il y en avait des belles, des moins, belles, des jeunes, des vieilles, des blondes, des brunes, des noiraudes et des blanches, j'avais l'embarras du choix. Dans un coin s'étaient rassemblée toutes les pucelles, qui, rougissantes, me regardaient avec des signes de la main. Toutes étaient nues. Je désignais une jeune vierge, aux seins, pleins et aux belles hanches, ses cheveux étaient blonds clairs, ainsi que sa toison pubienne , et son ventre plat. Elle s'approcha doucement de moi, me prit par la main et m'emmena vers une des chambres vides.

Une fois arrivées, elle referma la porte à clé, et posa,félines, les mains sur mon torse, elle m'ôta mon pourpoint tandis que je me tenais immobile devant elle, ébahis, puis elle descendis tout doucement et arrivée à mon entrejambe, elle enleva le pantalon, pour sortir ma virilité. Dès que je fus nus, elle me poussa doucement et je tombas couché sur le lit. Elle s'agenouilla devant moi et pris mon membre en bouche, en faisant de doux vas et vient, je frissonnais de plaisir, et au bout de quelques minutes seulement, j'éjaculais dans sa bouche. Je gémis, me promettant de faire cela avec Sansa le soir même. Puis elle me monta dessus et s'apprêta à me prendre lorsque roulant sur le côté, je me retrouvais au dessus d'elle et la pénétrais avec force et brutalité, mes mouvements, démultipliés par l'envie que j'avais d'elle. Je laissais des marques rouges sur son corps là où je la touchais et elle criaillait doucement. Enfin, je la retournais et de quelques coups de hanches, je la repris par derrière. Puis je me laissais tombé sur le côté épuisé. 

Je rentrais au château à la nuit tombante, et après avoir assisté au repas, je pris Sansa par la main et la menait rapidement à notre lit communs. Je nous déshabillais et profitais d'elle de toutes les manières possibles et inimaginables. 

La vie de JoffreyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant