Chapitre 4 « souffrance... »

12 0 0
                                    

Je descends, peureuse, mais je me sens obliger.

Son regard, me refroidit instantanément.

-La vaisselle, ce matin, c'est en option non. Regarde levier, les bols des jumeaux, y sont encore.
-Je ne suis pas obliger de tout faire, moi j'ai cour.

Je monte dans ma chambre, je ne sais pas ce qu'il m'a pris j'ai eu un élan de défense en moi. Mais je n'aurais peut-être pas dû prendre autant confiance..

Il me suit m'attrape par les cheveux. Ce qui me laisse échapper un petit cri de douleur.

-Depuis quand tu dois me contredire ou me répondre ? HEIN DEPUIS QUAND.

Plus il cri, plus il tire. Il tire jusqu'à tant que je tombe, puis il me latte dans le ventre, il me relève me met de claque puis me pousse, je manque de me cogner sur les barreaux de mon lit.

Encore une fois les larmes me montent aux yeux, à chaque coup la douleur est encore plus présente.

J'ai la haine contre lui, il me dégoûte, qu'es que j'ai fait pour que tout déraille d'un coup en une fraction de seconde ?

Il veut m'en remettre, mais, le téléphone sonne.

Dieu merci, de me protéger du mieux que tu peux.

- Crois, moi tu vas changer, conasse, que tu es, tu n'es même pas capable de faire ce que je te demande. Bonne à rien.

Il claque la porte de ma chambre, je m'en presse, de fermer à clefs, je m'assoie dans mon lit.
Mes joues sont inondées de larmes...

Mon téléphone sonne à mon tour. C'est Lorenzo. Qu'es que je fais ?

- Allô Océ ?
-Oui. J'essaye de rester le plus crédible possible, je ne veux pas qu'il voit que j'ai pleuré..
- Tu pleur qu'es qui se passe ?
-Lorenzo, recommence, pas stp déjà toute à l'heure, tu ma énerver avec ton Ok de merde.
-Dit moi ce que tu as merde.
-Rien tu fais chier.

Je raccroche, il croit que je suis sa meilleur pote ,où quoi il m'énerve, c'est pas possible.


Je m'endors, il est 19h mon père vient de rentrer avec les jumeaux.
La table est prête.
Le repas, ce passe dans le calme, silencieux. Merci aux jumeaux, de nous raconter, leurs journée, ça fait un peu de discutions.

j'ai un pincement au cœur, quand je regarde mon père, poser des questions, sur leurs sports, quand je le vois les félicité etc..
Il était comme ça avant.

Je débarrasse la table. la nettoie, puis je monte pendre ma douche.
Je vais directement, dans ma chambre, j'allume la tv, mon téléphone re sonne c'est encore Lorenzo.

-Trop de fierté toi..
-Bref.
-Bon désolé, si tu ne veux pas parler je comprends ne t'inquiète.
-Pardonné.

On n'a parlé rigolé toute la soirée puis j'ai fini par m'endormir, je ne sais même pas si il à raccroché. Je pense que oui.

Le Lendemain.

Mon réveil me donne mal au crane, j'ai dormi l'oreille sur le téléphone.
Un autre bruit perçant me dérange.
Quand je regarde mon téléphone je vois que je suis encore au tel avec Lorenzo.

-Allô, dis-je hésitante.
-Oui, tu à entendu mon réveil ?
-Ah bah celui qui l'entend pas je ne comprendrais pas.
-aha. Bon j'ai passé une bonne soirée avec toi je te laisse à toute au lycée.
-Merci moi aussi.

Je raccroche.
Je me lève comme d'habitude je réveil et prépare le déjeuner des jumeaux, puis je me prépare.
Le temps est gris aujourd'hui.



J'arrive devant le lycée, personne ne vient m'en merder ça fait bizarre mais ça fait du bien.
Au moment où je pénètre dans le couloir, on m'attrape violement les cheveux. Et on me tire dans le sous-sol.

Deux filles. Deux brunes.

-Ecoute moi bien pétasse, ne t'avise pas à te donner en spectacle une nouvelle fois, évite encore plus de parler de cette manière à Lola.
-O-Ok..

Elle me mis un poing là où j'avais un petit bleu au coin de l'œil maintenant c'est un cocard..
Je tombe à terre, et j'attends qu'elles partent. La deuxième sonnerie passe et je décide, de remonter.
J'arrive dans la classe tout le monde est déjà là. Tous les regards sont posée sur moi. Lola, rit et dit à une fille de la classe :
-Je pense que la leçon à bien été reçue.
Puis elle ricane toute les deux.

Je m'installe au fond.

Lorenzo m'envoie un message.

-Qu'es que tu as eu.
-Rien ne t'inquiète pas.

Lola se retourne et demande à Lorenzo à qui il parle par message.
Il lui répond méchamment de s'occuper de son cul.

Le midi arrive à grand pas.
Je m'installe encore au fond.
Je trouvais encore bizarre que je ne recevais rien des autres.

Jusqu'à tant que Lorenzo m'envoie un message.
-Va voir sur Facebook.

Il me laisse un lien. Je clique et je vois une page sur moi.

Je ne savais rien de cette page. Je défile, pleins de statut sur moi, des commentaires des photo trafiqué. Je suis anéantie. Plus de 1000 personne aimes cette page, je suis fiché de partout. Qu'elle honte.

J'avance vers la table de Lorenzo.
- Vous êtes tous fière. Aller bande de gamins.
Je jette mon plateau et je pars.

Je pars du lycée je ne vais pas en cour cette après-midi, je n'ai pas la force, ni l'envie.
Je marche, sans savoir vraiment où je veux aller.

Je me retrouve dans un quartier, où je ne vais presque jamais parce que les rumeurs. Je m'assoie sur un banc dans un parc, complètement taguer, et casser.

Un gars, un musulman vu d'œil, s'assoie sur le banc à mes côté. Je pense qu'il m'a remarquée, mais il ne me prête aucune attention, comme si je n'étais pas là. Je fais de même.

Et là je vois qu'il sort quelque chose de sa poche.

« Je tiens à préciser, en tant que dans le rôle d'océane, le personnage est censée être rejeté etc., et quand d je vous met les tenu vous devez vous dire pour une fille humilier et qui s'habille sans intérêt, les tenu ne sont juste de l'imagination, ces certes en rapport avec ce qu'elle met, sur Polyvore, ce sont que des vêtements de marque et forcément, beau il n'y a pas de style au personnage de l'histoire. Voilà »

Au prochain chapitre..<3

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Feb 13, 2016 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Océane. &quot;Un Vie comme des millions gens que personne soupçonne...&quot;Où les histoires vivent. Découvrez maintenant