Juste un regards {1}

15

" Honte de la famille..."

J'étais pas prête à le voir maintenant et pas comme ça . En faite je m'y attendais pas.

Lui : C'EST MOI

Il m'a pris dans ces bras. J'étais choquée. Je les pris dans mes bras. Il s'est détachée de moi.

Lui : Tu me laisse pas rentrer ?
Moi : Euh si

Il est rentrer et il est partie dans le salon. Je les suivie. Il regardais Badr puis moi.

Lui : C'est qui lui ? C'est quoi le délire ?
Moi : Je....
Lui : FERME TA GEULE ON TE LAISSE PARTIR ON TE FAIT CONFIANCE ET TOI TU RAMÉNE DES GARS CHEZ TOI

Badr c'est réveillée . Et à regardais Samir.

Badr : Pourquoi tu cris ?
Samir : T'es qui toi ?
Bade : Toi t'es qui ? D'où tu lui gueule dessus ?

Il s'est approcher de prés a lui frapper. Je me suis mise aux milieu .

Moi : Badr rentre chez toi
Lui : Tu te fous de ma gueule
Samir : T'a pas entendue ce qu'elle a dit barre toi
Badr : Parle bien avec ta bouche je rigole pas
Samir : Tu va faire quoi ? Elle t'a baisé une nuit tu peut te barrer maintenant

Badr m'a poussés sur le côtés et il a sautés sur mon frère.

Badr : D'OÙ T'INSULTE MA FEMME DE PUTE JE SUIS UN PD TU L'INSULTE DEVANT MOI

C'est partie en bagarre dans mon salon. À chaque fois que Badr donnait un coups Samir le lui rendait c'était difficile pour moi de les séparer. À côtés d'eux je suis une spaghettis .

Je suis partie toquer chez le voisins. Et heureusement pour moi y avais son frère avec lui. Ils sont venus séparée Bade et Samir. Samir m'a regardés de travers puis m'a envoyer une gifle. Je les sentie passés. Je tenais ma joue mes larmes coulait.

Samir : T'es la plus grosse honte de la famille. Salle pute . VA FAIRE TES AFFAIRES TU RENTRE AVEC MOI

J'ai pas réagis j'ai courue dans ma chambre en pleure . Je me suis enfermer. Je m'attendais à tout sauf à ça. Qu'il me sorte cette phrase. J'avais tout fait pour ma famille. J'avais de bonne note à l'école j'evitais de rester avec les mauvaises personnes . Je ne sortais pas avec les garçons c'était pas mon délire a vrai dire .

Jamais je n'avais fait un pas de travers .

Je me suis allonger sur mon lit et je me suis mise à pleurer. J'entendais des cris dans le salon. Je suis rester dans ma chambre tout la journée.

Le soir quelqu'un a toqués à ma porte.

.... : Dayena c'est la voisine

Je me suis levée et je les ouvert. Je suis retourner sur mon lit .Elle est venus prés de moi. Et elle a séchés mes larmes .

Moi : Mon frère est partis ?
Elle : Oui il a dit qu'il allait revenir
Moi : Je veut pas le voir
Elle : C'est ton frère Dayena

J'ai haussé les épaules.

Moi : Je peut dormir chez toi . Je ferais pas de bruit . C'est juste pour ce soir.

Elle a soufflés.

Elle : D'accord

J'ai pris des affaires avec moi. Et je suis partie chez elle. J'ai dormis 1 nuit . Puis je suis rentrée le lendemain. Mon appartement ne ressemblais plus à rien. J'ai tout rangés. J'ai fait ma valise parce que mon frère quand il dit quelque chose c'est que c'est vrai et il est sérieux . On peut pas lui faire changer d'avis.
J'ai appelée l'hôpital et j'ai dit que je démissionner . J'ai mis mes affaires devant la porte et je les attendue.

Samir a toujours était protecteur avec moi. Il n'aimait pas que je sois triste. Il voulait toujours me rendre heureuse. J'étais sa petite soeur à lui. Quand j'avais des problèmes à l'école je me defendais toujours mais Samir venait toujours les menacer. Il ne m'avait jamais frapper . J'étais sa petite princesses qu'il aimait tant. C'était Samir.

La porte c'est ouverte . Samir est arrivée dans le salon. Il m'a regardais. Je me suis lever je le regardais à peine.

Moi : J'ai pris tout mes affaires on peut y aller
Samir : Dayena

Il a essayés de me toucher le bras. Mais j'ai reculer.

Moi : On y va on a de la route à faire .

Je suis passés devant et j'ai pris mon sac. Il a pris le reste de mes affaires. Puis on ai partis .

On ai arrivés chez nous dans la nuit. Je suis montais sans lui.
J'ai toqués et c'est ma mère qui a ouvert. J'ai directement pris dans mes bras et je me suis mise à pleurer.

Elle : Pourquoi tu pleure ?
Moi : Tu m'a manqués

Je le suis détachés d'elle et elle a enlever mes larmes.

Elle : Il est ou Samir ?
.... : Je suis là

Je suis rentrée et je les laisser passer. On ai partis dans le salon et j'ai rattrapés le temps perdue avec ma mère.

Samir : Il est où papa ?
Ma mère : Il est chez le voisin

Je suis partie prendre une douche. Je pensais à Badr il me manquais beaucoup . Je ne l'avais pas appelée depuis la dernière fois.

J'ai finie ma douche et mis mon pyjama. J'allais aller dans ma chambre.

.... : DAYENA VIENS ICI

C'était mon père. J'ai pris une grande bouffée d'air. Et je suis partie dans le salon tout ma famille était là mes frères avec leur femme et mes soeurs avec leurs maris.

Je les ai même pas entendue arrivée. Normal ils habitent pas loin de la maison .

Il était énervée . Ma mère lui tenait la main .

Mon père : Ça va ?
Moi : Oui et toi ?
Mon père : Non tu veut savoir pourquoi ?
Moi : .....
Mon père : TU VEUT SAVOIR POURQUOI ?
Ma mère : Calme toi
Mon père : QUE JE ME CALME JE LAISSE PARTIR MA FILLE . ET ELLE DERRIÈRE MON DOS ELLE SORT AVEC TOUT CE QUI TRAINE EN BAS DE ÇA PORTE.

Il m'a envoyés une gifle .

Mon père : Tu me fais honte c'est comme ça que je t'ai élevée moi HEIN
Moi : MAIS J'AI RIEN FAIT

Il m'a envoyer une autre gifle .

Mon père : TU ME CRIE DESSUS MAINTENANT REGARDE CE QU'IL A FAIT DE TOI et moi je les laisser partir .

Mes frères et soeur ne disait rien. A vrai dire ils peuvent rien faire face à mon père on ne peut pas le contredire.

Je n'oublierai jamais cette dispute avec mon père. Il m'avait frapper pour la première fois. Il m'avait insulter sans le dire. Mais je prenais ça comme une insulte.

Mes larmes coulait j'en voulais à mon frère de lui avoir dit. À mon père d'avoir lever la main sur moi et de sous-entendre que j'étais comme c'est fille . Pour moi c'était comme si il me mettait dans la même catégorie quels .

Je me suis lever en tenant ma joue et en pleurant.

Moi : J'AI RIEN FAIT DE MAL. JE VOUS DÉTESTE. JE VOUS DÉTESTE TOUS.

Et je suis partie m'enfermer dans ma chambre.

Pour moi je n'avais rien fait de mal. J'aimais juste un homme qui m'aimais en retour .