Je lance des avions en papier
Mais ils se crashent comme les vrais qu'on voyait tu te rappelles ?
Ils laissaient des grosses traînées blanches derrière eux
Comme pour montrer que c'était les derniers, eux
Après tout ce temps passé j'ai du mal à replacer mes idées
J'ai toujours cette même euphorie qui me gravit de part en part quand je croise ton regard
C'est quand quelque chose d'assez bizarre tu sais
Ou peut être que tu sais pas mais dans tout les cas
Je respecte tes choix et je limite pas les miens à des parois parce qu'au fond j'sais
Que même enfermée au fond d'une grotte tu trouverais la sortie
Du coup j'souris sans vraiment le vouloir mais quand j'passe devant mes miroirs je me détruit sans même le voir
Et dans ma planque tout est dérisoire
Des rideaux noirs comme des litres d'or noir tombant du plafond
Ça me cache la vue en m'aveuglant
Ça me cache la rue en m'enivrant
Ça me cache que tu te tue pour encore être aimant
Mais pionçant dans ton lit je le sens
C'est naturel et je marque des temps d'arrêts avec la haine
Ça m'as pas encore envahie parce que je te porte encore dans mon coeur
Pourtant j'suis soliste dans mon amour j'entend plus les choeurs
Comme une église vide, tu gueule mais personne t'entends
Et c'est tentant j'avoue
Mais quand t'es seule tes amis imaginaires le sont bien trop cette fois
Je te laisserais pas partir ni faire
Car même en enfer je te suivrais
J'essuirais tes larmes et je ferais taire les alarmes
Car même si y a urgence
Je laisse faire ça urge pas
Et c'est pas ma branche
Love
CÔTE OUEST
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Côte Ouest.
PoetryManège, chevaux en bois. ça tourne dans ma tête, et ça vient s'échouer dans ce texte. NOUVEAU TEXTE TOTALEMENT INDÉPENDANT DES AUTRES. peace on you. LoVe.