Les Denali

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Pov Bella

-On est bientôt arrivés, me dit Carlisle caressant distraitement le dos de main avec son pouce.

-Pas de problème, répondis-je en fermant les yeux.

Après notre petite " chasse " à Carlisle et à moi, nous avions rejoins les autres, qui étaient, bien sûr grâce à Jasper, calme et silencieux chacun vacant à son activité habituel.

Les derniers cartons étaient désormais bien rangés dans le coffre des quatre voitures. La Mercedes de Carlisle, la Volvo d'Edward, la jeep d'Emmett et la Porsche d'Alice. Bien sûr Jasper avait finalement prit sa moto et était déjà arrivé, tout comme Alice, Emmett, Esmé, Edward et Rose.

Un certain loup avait eu du mal avec les adieux et m'avait prit dans ses bras comme si c'était la dernière fois qu'il me verrait.

Jacob avait dit et je cite " je veux faire un gros câlin à ma petite vampire chérie avant que vous ne la preniez dans vos grottes de chauve-souris ".

À cause de Jake, j'avais du retourner prendre une douche pour que l'odeur du chien mouillé disparaisse.

Le chemin s'était fait silencieusement et je me sentais un peu fatigué, mais rien de grave qui demande à ce que tout le monde soit au courant.

Carlisle m'avait parlé un peu des Denali. Il y avait Eleazar, sa femme Carmen, Tanya, Katrina et Irina. Tanya était en quelque sorte la leader du clan, très possessive et gentille sauf avec les étrangers qu'elle considère comme une menace pour sa famille.

Si j'écoutais Emmett, c'était avec Tanya que j'aurai des problèmes étant donné que j'avais un caractère de cochon.

Mais je lui avais dis que je serai sur mon meilleur comportement.
Bon j'essaierai mais il était hors de question que je me laisse faire si elle me cherche.

J'ouvris les yeux et profita du paysage. De belles montagnes à pertes de vue. Si j'aurai été humaine, je pense que j'aurai été emmitouflé dans une grosse doudoune. Je pus apercevoir une maison, certes moins grande que celle des Cullen mais tout de même imposante.

-Est-ce que tous les vampires ont autant d'argent ? Demandai-je à Carlisle qui rigola.

-Étant donné que l'on vit des siècles et des siècles on accumule au fur et mesure certaines richesses.

Il essaya de prendre un visage impassible et de retenir son rire mais il échoua lamentablement et rigola encore plus fort.

-Bon grâce au don d'Alice on a pu aussi accumulé une grande fortune, dit-il en souriant.

Je vis Emmett en train d'agiter ses bras comme une personne coincé dans une île et qui demande de l'aide.

Carlisle se gara à côté de la moto de Jazz et vint m'ouvrir la porte.

-Merci beaucoup monsieur, dis-je en sortant.

-Mais de rien Miss Swan, répondit-il en s'inclinant légèrement.

-Carlisle nous sommes plus au dix-huitième siècle, m'ecriai-je.

Pour seul réponse il arqua un sourcil et me fit un sourire en coin.

-Bon allez les adolescents c'est bientôt fini ? Demanda Emmett en arrivant vers nous.

Il me prit dans ses bras un long moment jusqu'à ce que Carlisle se racle la gorge.

-Tu m'as manqué bells.

Je levais les yeux au ciel face à ce comportement digne du loup que j'appelle aussi mon meilleur ami.

BriséeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant