« Nos cœurs amoureux saignes. »

« 0 4. »

|• J'aimerais tout quitter, te serrer contre moi, oublier tout ces aléas, ne plus marcher dos contre toi. •|

Oui, c'est vrais que mon cœur se meurt, que sans toi, tout est amère, et que ma vie sur cette terre n'est plus qu'éphémère.

Adel - « C'est qui ? »

Mes yeux se bloque sur la photo qu'il tient entre ces mains.

- « Où as tu trouvé sa ?! »

Adel - « La n'est pas la question ! Qui est ce.. ce gars qui t'embrasse ?! »

- « Rend la moi ! »

Adel - « REPOND MOI !! »

- « C'est pas tes affaires !! »

Ma joue chauffe, rougie, par sa main qui vient stopper sa lancée sur ma joue.

- « Tu viens de me gifler ? Je ne rêve pas ? »

Adel - « Je.. Excuse moi. »

De ces mains je lui arraches la photo, et je le vire de ma chambre.

Allongée sur ce matelas froid, les yeux rivé sur le plafond, je détourne le regard sur cette photo, sa me brise, et les larmes surgissent sur mes joues.

Bz bz bz, sans même ne prendre le temps de voir qui m'appelle, je décroche.

- « Allo ? »

... - « Al... Kézia tu pleure ? »

- « Qu'est ce que tu me veux toi ? »

Sa voix à l'autre bout de l'appareil rajoute une couche, mes pleures redouble.

Imran - « Qu'est ce qui t'arrive ? Qui t'a touchée ? Je vais le buter ! »

- « J'en ai marre ! Pourquoi je suis tombé sur toi ? Pourquoi tu me fait sa Imran ? J'ai mal putain.. J'ai tellement mal.. »

Imran - « Je suis désolé.. Si tu savais.. »

- « Un désolé ne changera rien à ma vie, tu ma détruite, alors lâche moi, laisse moi me reconstruire, me marier, fonder une famille, j'y ai le droit moi aussi ! »

Imran - « Non. Non t'a pas le droit. »

- « Ne m'appelle plus... »

Imran - « Tu me manque au quotidien, le téléphone et la dernière choses qui nous relie. »

- « Alors je vais couper ce lien, et changer de puce, tu va sortir de ma vie, sache que c'est la dernière fois que tu entendras ma voix. »

Imran - « Ta pas le droit de me faire sa.  »

- « Et toi, tu n'avais pas le droit de me détruire comme ça, oublie moi, bonne continuation, mais sache que mon cœur reste meurtrie, et que plus jamais je ne serais la même, et que sans toi ma vie ne sera plus pareil. »

Après cette fin de phrase je raccroche, et me laisse tomber par terre.

Adel - « Kézia ? Kézia ? Qu'est ce qui t'arrive ? »

Mes larmes s'étouffe dans l'oreiller que je maintiens sur le dessus de ma tête, je ne veux pas lui adresser la parole.

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... - « Je pensais ne jamais te revoir. »

- « Moi de même. »

Sedim - « Comment vas-tu depuis ? »