|• Regarde moi mon fils, regarde maman, je me suis battu pour toi, maman à fait tellement de choses pour toi, tu es ma fierté, et je t'aimes plus que tout. •|
« Six mois aujourd'hui jours pour jours que j'ai appris que tu faisais partie de moi, que ton petit cœur battait, six mois que tu grandis pendant que je vois mon ventre évoluer, tu commence à prendre beaucoup de place tu sais mon bébé. Je me languis de t'avoir dans mes bras, de pouvoir te serrer, t'embrasser, t'es l'une de mes plus grandes fiertés dans ce monde, je t'aime tellement, le sang de ton père et moi coule dans tes veines, sache que maman sera toujours la pour toi, même si papa ne le sera pas, je serrai toujours la, je pense que tu aimes le sucré, en ce moment j'ai vraiment envie d'une glace Ben&Jerry's au cookie, c'est fou, j'ai l'impression d'être devenue une vrai vache, il me tarde de t'avoir dans mon bras mon cœur, je t'aimes. »
Emre - « Six moi déjà ? »
Sa voix me fait sursauté, je ne l'ai pas entendu entrer.
- « Ne fais plus jamais sa ! J'ai faillit mourir! »
Quand à lui il explose de rire.
Emre - « Sa fais bizarre quand même ! »
- « Qu'est-ce qui est bizarre ? »
Emre - « Dans trois mois je serais grand-père. »
- « Ah oui! Je n'y avais même pas penser-rire- Papi achète moi un jouet stp ! Papi on peux aller au macdo ? J'en rigole d'avance! »
Emre - « C'est pas ce que j'aurais voulu pour toi, mais si tu es heureuse c'est le principal. »
- « Un bébé papa, c'est la plus belle chose qui peux arriver à une femme dans sa vie, je suis plus qu'heureuse. »
Un doux baisez viens se déposer sur ma tempe, vous ne comprenez pas ? Eh biens je suis partie de chez Sonia, même si elle ne m'a pas rendu la tâche facile, j'ai finis par me tirer de cette maison.
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... - « Six mois alors ? »
- « Oui. »
... - « Sa fais quoi? »
- « Je le sens beaucoup bouger, il me donne parfois quelques coups. »
... - « Je vais être daron alors ? »
- « Oui on peux dire sa. »
... - « Comment tu vas l'appeler ? »
- « Zoheir. »
... - « Pardonne moi je n'aurais jamais du réagir comme ça. »
- « Tout est pardonné. »
... - « Si tu as besoins, tu peux m'appeler. »
- « Je saurais me débrouiller ne t'inquiète pas. »
... - « Tu lui dira comme on as dit alors ? »
- « Ne t'en fais pas pour sa. »
... - « Comprends-moi... »
- « Tu as finis ? Moi et mon fils nous avons une vie à construire. »
... - « Je.. Je veux être là à l'accouchement, après l'avoir vue je partirais. »
- « Si tu le veux. »
... - « Bien, salam aleykoum Kézhia. »
- « Salam aleykoum Imran. »
Il se lève du banc, sa main se pose sur mon épaules puis il part, les larmes coulent toutes seules, je pleure comme une folle, mon dieu, pourquoi mon fils n'a pas le droit à un paternel ? Suis-je différentes pour ne pas avoirs la même choses que les autres? Et mon fils ? Qu'à t-il fait pour ne pas avoir de père ? Ce connard me fais un bébé et il se barre, il n'assume rien, et dans le pire des cas me demande de dire a mon fils qu'il est mort, Imran mort ? J'en ai le coeur qui s'emballe, jamais je ne saurais dire un tel mensonge à mon fils.
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« Nos cœurs amoureux saignes. »
General FictionElle pensait avoir trouver l'amour, le vrai, elle était rester malgré les lourdes peines, son cœurs amoureux le cherche, mais leurs yeux ne se croisent plus..