les chaînes de ton image IV

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Toi, tu hantes mes pensées, tu ne cesses de m'obsèder.
Pourquoi donc faut il que tu me fasses tant de mal, ne crois tu pas que tu as déjà fais assez de bêtises pour gâcher mes rêves.
Tu me laisses dans un monde de brutes,  un monde animal,  morbide et violent où je dois seule me défendre contre tes démons qui me manquent et m'envoutent pour ne jamais cesser de t'aimer,  pour ne plus jamais t'oublier.
La torpeur de te croiser pour continuer à ne jamais finir de t'aimer m'oblige à m'enfermer dans mon coeur devenu l'enfer de l'amour.
Je suis enchaînée à la démence d'un amour mortel,  c'est la folie qui m'enlise à rêver de toi chaque soir jusqu'à mon réveil en sursaut où je crois sortir de ma propre tombe car j'ai souffert physiquement de t'aimer trop intensément.
Dirige moi sur le chemin à prendre pour t'oublier et je crois bien que je me retournerais encore pour ne surtout pas m'y embarquer.
Car même si je n'avais pas connue cette histoire,  cette souffrance au fond de mon coeur, je n'aurais pas été en plénitude et en paix avec mon être car en même temps,  je ne suis moi que pour toi.
Je me donnerais corps et âme pour t'idolatrer pendant toute une éternité et plus encore tant que tu peux au moins me regarder avec tendresse,  douceur,  amour,  et désir...
Des mots que tu ne connais apparemment pas quand il s'agit de moi.
Pourquoi t'eloigner encore, pourquoi t'eloigner toujours ?
Je me suis déjà moi-même assez enterrée sous de fausses excuses, je me mens avec entrain et conviction pour avouer seulement que la lueur de mon coeur est une météorite qui ne s'éteindra qu'en s'ecrasant avec moi.
C'est la fin ou rien, c'est toi ou c'est moi!
Et toi tu ne t'y interesse pas,  de savoir le poids que je traîne chaque instant d'une vie trop longue à supporter dans de telles conditions.
Je sais très bien que je me plains de broutilles, de petits problèmes puérils et immatures, mais l'amour est une valeur des plus mâture,  elle te fait évoluer,  avancer, te connaître, en t'apportant plus d'obstacles que de bonheurs, plus de malheurs que de surprises.
Si un jour l'amour venait à me surprendre alors c'est la vie qui me bluffera et je serais reconnaissante éternellement à tout ce qui a fait d'une vie ce qu'elle est, quelque soit les épreuves à endurer.
Ma délivrance est ton accoutumance et quand tu es loin de moi, je suis en manque d'une drogue qui est aussi pure que ton sourire d'ange manipulateur....

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- Textes par Morgane mimi -

Réflexion quand tu surviensOù les histoires vivent. Découvrez maintenant