Il la regarda dans les yeux, approcha le couteau de son cou, les millimètres qui séparaient le couteau du cou de Coraline rétrécissaient petit à petit. Au moment où il allait la toucher, il s'arrêta. Il l'attrapa par le menton et lui dit.
… : Hm, tout compte fait, j'ai une meilleure idée !
Coraline, apeurée : Tu vas ... me violer ?!
… : Mieux, je vais te tuer. Devant ton amie. Pour ce que tu viens de faire, je t'ai que t'allais payer, voila le prix.
Coraline se pétrifia face à ses mots. Moi j'étais toujours assise, paralysée par la peur, mes genoux coller contre ma poitrine, mes bras entourant mes genoux. Je n'osai pas regarder ce qu'il allait lui faire pourtant mes yeux restaient ouvert à regarder la scène qui se dérouler sous mes yeux.
Il la tint fermement par les poignets et sortit une arme de sa poche. Coraline avait peur, elle me regarda avec un regard remplir de peur, de pitié. Je lui rendis un regard complice, qui lui expliquait que j'allais venir l'aider, malgré que j'ai toujours peur, très peur. Elle était toujours tenue par cet individu. Il la lâcha quelques secondes le temps de charger son arme.
… : S'en est finit pour toi. Tes dernières volontés babe ?
Coraline avala difficilement sa salive, elle le regardée toujours sans dire un mot.. Quelques secondes après qu'il ait posé sa question et repris la parole.
… : Tu n'en as pas ? Tant mieux je gagne du temps.
Il se tourna vers moi et me dit, un sourire au coin de la bouche, comme s'il était fier de ce qu'il allait faire.
… : Tu es prête à voir ta meilleure amie mourir ? Manquerait plus que le pop corn pour ce fabuleux spectacle que je t'offre.
Il se retourna à nouveau vers Coraline, approchant l'arme au niveau de son crâne. Il compta lentement.
… : 3 … 2 … 1 … bon voyage en enfer Salo…
Moi : Bon voyage dans le coma ! Espèce de connard !
Je m'étais lever, avec le peu de force qu'il me restait. Mais le choc fut inexplicable tellement il était fort lorsque je vis qu'en tombant, il appuya sur la gâchette. Il était inconscient mais toucha Coraline, au coeur.Elle tomba raide, sur le sol. J'étais là, regardant ma meilleure amie, au moment où je réalisais ce qui venait de se passer, je commencer à pleurer, je pleurai sans pouvoir m'arrêter, les larmes coulant sur mon visage, le mouillant rapidement, ainsi que mon coup, avant d'atterrir par terre, je la bousculée tentant de la réveiller, mais rien. Ma meilleure amie était morte, ou plutôt entre la vie et la mort.
Moi, pleurant à chaudes larmes : Coraline, j-je suis désolée ! Je n'ai même pas pu te sauver, te sauver de l'emprise de ce monstre. Je suis une idiote, à cause de moi tu vas mourir …
Coraline me coupant : En-Enfuie t-toi ... i-il va reprendre co-conaissance… N-Ne t'inquiète p-pas pour m-moi.
Et sur ces mots elle passa l'arme à gauche. Voyant cet homme se réveiller je commençais à courir faisant ce que Coraline venait de me demander, mais il se leva et parti a ma poursuite. La maison était déserte, au moment où j'ouvris la porte d'entrée, je ressentis une douleur atroce, insupportable, au niveau de l'épaule droite. Je mis avec difficulté ma main à l'endroit où je ressentais cette horrible douleur, tout en continuant à courir, le plus vite possible. Je respirai un grand coup face à la vue du sang. Cette enfoirée venait de me tirer dessus. J'étais dehors, on était dans une petite maison au beau milieu de la forêt, ça ne me disait rien, absolument rien, je continuai de courir, évitant les arbres et les obstacles se trouvant face à moi. Un moment je vis un pont, je commençais à courir le plus vite possible malgré le fait qu'il était en mauvais état. Arriver à l'autre bout du pont, je me retournais rapidement. Je voyais cet homme arriver vers moi. Ni une ni deux je pris le couteau avec lequel il allait tuer Coraline, je l'avais pris au moment où Coraline mourra, elle le pointa du doigt, je l'avais attrapé avant de m'être enfuie. Avec ce couteau je commençais à couper les liens qui retenait le pond en apesanteur. L'homme s'approchait dangereusement de moi. Je coupais donc les liens plus vite.Quel fut mon soulagement lorsque le pont fit briser. On pouvait voir cet homme s'agripper tenant de remonter le pont.
Moi, rigolant : Bonne chance, il a pas l'air très solide ce pont … Woops dommage pour toi mon vieux … Hasta la Vista babe !
Le pont venait de céder face à son poids. Enfin pas qu'a son poids parce qu'on va pas se le cacher, le pont n'était pas très solide non plus. Je l'entendis hurler une dernière fois puis plus rien. Malgré qu'il soit mort, après la hauteur de la chute qu'il venait de faire c'était sûr qu'il était mort, il avait dû atterrir sur des roches et de l'eau, même si je savais qu'il était mort, je continuais de courir, sans même savoir ou j'allais, comme si courir allait évacuer ma peine … la peine, la tristesse et la rage que j'avais. Au bout d'un moment j'éclatais en sanglots en repensant au fait que Coraline était morte, et les larmes brouillèrent instantanément ma vue. Après avoir couru une bonne dizaine de minutes, je réaliser où je me trouvais. Pas très loin de chez Harry … Comme par hasard... J'étais quand même persuader que je devais me rendre chez lui. Arriver devant sa porte d'entrée je frapper de toutes mes forces. Sauf que c'est un homme habiller de bleu et de noir qui m'ouvrit la porte, pas le style d'Harry ces vêtements … Je parlais quand même en séchant mes larmes.
Moi, les larmes aux yeux : H-Harry ?
L'homme se décala et j'aperçus Harry quelques mètres derrière lui. Il était avec trois policiers. Je reniflai un coup et oubliée la présence des policiers et courais les bras tendu avant de me lancer, éclatant en sanglots, dans les bras d'Harry.
Moi, pleurant : E-Elle est m-morte Harry …
Harry, choque : De qui ?!
Moi, pleurant de plus en plus : l'Il la tué, sans pitié, sans aucune h-hésitation ... Harry … Je m'en v-veux tellement …
Harry : Qui à tuer qui, Rosalya ?! Parle s'il te plaît …
Moi : C-Coraline, par m-ma faute … c'est e-elle qui est m-morte …