chapitre 2

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Je suis née un certain 15 Aout, famille paternelle nombreuse, douloureuse, arnaqueuse, je vous laisse deviner le reste des euse lol, en suite ma sœur est née, des tensions, des hauts des cœurs, des bas des humains, divorce, enfance déchirée entre un amour paternel perdu ou presque, et un changement radical de vie, une année après l'autre je grandissais, avec des douleurs, avec des joies en couleurs, l'essentiel, je voyais encore la vie en rose ( velvet en plus Bourjois attitude lol ), pour ne pas mentir, ma vie 3ibaratoune 3an une multitude de problèmes et de douleurs, je vous raconterais le côté dramatique dans une autre chronique, je vais zapper les malheurs de sophie et passer directement aux histoires d'amour sans avenir à l'algérienne que j'ai vécu et ce que j'ai vécu après.......

parararaaaammmmm lol alors alors, j'avais à peine 16 ans quand mon cœur a su ce que c'est l'amour, un bel homme, pas musclé, pas de physique de rêve, mais une éducation de paradis, un sourire à tomber, et une douceur à dormir debout, on était très pote, on se voyait de temps à autre, je lui faisais rire, il me faisait sortir, sortir du chagrin que je vivais loin de papa, sortir ce que j'avais en moi, cet émoi caché, ce brun de déboires a gout amère à ce moment, je ne savais pas que la vie me faisait juste un hymne de départ très tumultueux, moi Selma j'ai vécu à présent 27 automnes, 27 hivers, 26 printemps et 26 été émoticône grin (je te vois de la bas me dire : tu fais ta crâneuse ou quoi lool ), ingénieur d'état en informatique, Je ne suis peut-être pas la femme dont tous les hommes rêvent, ni celle qui est aimé de tout le monde. J'ai mon caractère, mes douleurs tout comme mon bonheur.

J'ai des envies et des regrets, des sentiments qui se transforment parfois en rage. Mes limites mais aussi ma liberté. J'ai ni le corps d'un mannequin ni le mental d'une femme de mon âge. Je ne suis peut-être pas habillée comme les meufs graves stylées. Je m'énerve rapidement et change d'humeur en 2 secondes. Autant curieuse que timide, je reste mystérieuse et anxieuse. J'ai plus de focus que de potes. Avec tous les coups de vache que l'on m'a faite, j'ai du mal à savoir ce que veut dire réellement le mot « confiance ».

Je ne suis pas une princesse, mon miroir ne me dit pas que je suis la plus belle; mais savez-vous? Tout cela fait de moi ce que je suis, mal droite que je suis-je me présente hta ldarwek émoticône grin , revenant à nos chats, je me suis attachée à lui, je voyais la vie à travers ces paroles, je précise on était juste amis, les jours passaient de 16 à 17 ans, tout le monde me voulait d'une façon ou d'une autre, et moi je ne voyais pas uniquement lui, mais aussi, j'avais déjà enlevé toute autre tentation ou relation de ma tête, malgré. ça, il s'est éloigné de moi sans avertir, j'étais limite bouleversée, les jours passaient lentement, je me posais mille et une questions, jusqu'à le jour où Mohamed lm'appelle : Moi : Allo, wesh ça va, tu te fais rare Lui : ça va, je voulais juste m'éloigner un peu Moi : Et pourquoi dis donc, pourquoi moi ? Je t'ai blessé, ou je t'ai fait quelque chose de mal ? Pourquoi tu fais comme les autres ? Et les pourquoi ne voulaient guère s'arrêté.....

Lui : Selma, Selma, SELMMMMMMMMA ? BON SANG, écoute moi, laisse-moi t'expliquer Moi : pourquoi tu veux t'expliquer, j'ai passé des jours à me demander ce qui n'allait pas, à me faire du mal, tu sais quoi je ne veux pas entendre tes explications je ne suis rien pour toi au final ni ta copine, ni ta femme ni rien donc prend ce que tu allais me dire et pars stp (17ans attitude ah si seulement je savais, si seulement je savais..... !) Lui : Ok, ok, merci c'est tout ce que je mérite, d'accord, tu n'es pas ma femme mais sache que .............. Je raccroche :'( ........................

Sans que je me rends compte, je me suis lancé au défi, celui d'essayer de rester sans lui, celui de tenter de surpasser ma douleur sans qu'il soit l'essence de ma volonté, et pourtant c'est lui qui m'a inculqué un jour que el ghayab andou 100 houdja, je ne lui ai pas laissé le temps de s'expliquer, ma conscience me rongea, tantôt je pleure, tantôt je ris, mais entre les deux, c'est à lui que mon cœur souris, les jours passaient encore sans sa présence aussi affective, attentive qu'elle soit, au beau milieu de tout ça j'ai eu mon bac, j'ai enfin fait ce que je voulais faire depuis petite, mon cœur se serrer chaque jour, je ne savais même plus pourquoi, je ne voyais plus Mohamed, un certain dimanche, je revenais de l'université pleine de tristesse inexplicable, de loin je vois mon voisin et notre ami en commun (entre moi et Momo) devant ma maison, je ne comprenais rien, j'avais les sourcils de grand-mère tout à coup froissé, le cœur qui dansé sur ( et siiiiiiiiiiii quelqu'un va le voirrr w ha dellaaaalii mdr) je m'approche de lui et là c'était le début d'un enfer sans fin...................

Et J'ai Décidé De Me MarierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant