7-Un doux réveil

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PDV de Gabriel


Je vois Léna s'écrouler sur son père, elle pleure et mon cœur se déchire, voir la femme que je chéri le plus au monde pleurer devant moi est une sensation bien horrible. Je suis sans défense, la seule chose que je peut faire est de retrouver l'agresseur de son père, cela lui soulagera peut-être la conscience. Je ne la vois toujours pas ce relever, elle a déposer sa petit veste sur son père pour le réchauffer, je part vers elle pour savoir si tous va bien et je découvre avec effroi qu'elle c'est évanoui. J'enlève vite ma veste et la dépose sur ses frêle épaules, j'ai légèrement touché sa peau, elle est froide si je ne vais pas la réchauffer maintenant elle risque l'hypothermie. Je la prend délicatement dans mes bras et la serre contre moi pour augmenter sa température.

Mon frère prend sa place et s'accroupi devant le corps inanimé de son père, il dégage son cou et ce que je vois me glace le sang, il a des entailles tellement profonde que même moi ça ma donne envie de vomir, pourtant je suis un loup et des horreurs j'en ai vue dans ma vie mais la c'est un massacre, je vois Elliot qui tourne de l'œil lui aussi; il place devant sa bouge un mouchoir pour pouvoir continuer son examinassions; j'entend des pas arriver, je me retourne et vois mon père, il m'observe puis regarde Léna.


Papa: C'est donc cette jeune femme qui te fais tourner la tête ??
Moi: Oui père, je vous en supplie ne...
Papa: Je n'en ferais rien, qui est-ce ??
Moi: C'est son père.
Papa: Et qui lui est-il arrivé ??
Moi: Si je le savait, je serais surement à la poursuite de l'auteur de cet acte.
Papa: Est-il encore vivant ??
Elliot: Oui, il vit, cet homme a  beaucoup de chance de n'être pas mort d'une hémorragie.


Mon père s'approche de mon frère, il a exactement le même reflexe que moi et Elliot, il recule d'un pas mais continu son observation, quelque garde arrive et essaye de chuchoter quelque chose à l'oreille de mon père.

"Monsieur, vos invités sont affolés, il sente l'odeur du sang d'un humain; que devons nous faire ??"

Papa: Rien, dite juste que des humains rodait sur notre territoire et qu'ils ce sont blessé en voulant s'échapper.
Garde: Bien monsieur, désoler de vous avoir déranger.


Le garde repart aussi vite que quand il est arrivé, je baisse mon regard pour savoir si Léna va bien, même en dormant elle est magnifique, il y a quelque larme qui vienne gâcher sa beauté, sa petite main tien fermement ma chemise et elle fronce les sourcils, comme si elle faisait un cauchemar, je relève la tête et découvre mon père avec ses yeux voilé d'une sombre tristesse mais ce voile disparaît vite quand il me vois l'observer.


Papa: La personne qui a fait ceci savait ce qu'il faisait, l'œsophage n'a pas été rompu, pareil pour la jugulaire, juste les muscles on été tou...déchiqueté; cela risque d'être un dur réveil, enfin espérons qu'il ouvre les yeux; amener le à l'hôpital, rassemblé des troupes pour trouver le loup qui a osé commettre cet acte sur mon territoire et quand à toi mon fil, amène cette jeune femme ce reposer.
Moi: Merci, père.


Je ne perd pas une seconde et monte en direction ma chambre; quand j'attend ma destination je dépose Léna sur mon lit et appelle Hélène pour qu'elle puisse la changer dans une tenue plus confortable que sa robe. Hélène termine sa tache et sort de ma chambre et referme la porte, je me redresse et elle m'adresse un sourire amusé.

Loup où es-tu ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant