17- Âme-sœur ?

779 51 4
                                    

Pdv de Léna


Moi: Tu savais ?
Papa: Oui...
Moi: Et tu n'aurais pas put me le dire ?
Papa: Je ne t'ai rien dit car je veux te protéger !
Moi: Me protéger de quoi ?

Je ne comprend plus rien, pourquoi mon père ne m'avait rien dit ? Si ça ce trouve il est au courant pour les loup-garou et les vampires et tous le reste. Un silence de mort plane au dessus de nous, plus personne n'ose parler, je me pose pleins de question mais personne ne veux y répondre, je regarde Gabriel pour tenter d'avoir des réponse mais il fuit mon regard.

Gabriel: Ton père a raison, et je comprend sa décision.
Moi: Mais expliquer moi !
Papa: Tu veux savoir ? Bien alors écoute moi bien. J'ai rencontrer ta mère très jeune, j'ai eu un coup de foudre pour ses yeux mais tu connais ta mère, elle n'étais amoureuse de moi mais plutôt de mon argent, au fond de moi je pensais pouvoir la changer et qu'elle finirait par tomber amoureuse de moi mais je me suis lourdement tromper. Quelque année plus tard elle me confiant son secret, ta mère étais elle aussi une descendante d'Assa. C'est un lourd fardeau qu'elle a du mal à porter seul, alors je l'ai aider du mieux que je pouvais.
Moi: Mais pourquoi elle est parti alors que tu essayer de l'aider ?
Papa: J'a perdu mon travail, on a changer de maison et ça ne lui à pas plus, quand j'ai apprit que tu avais le même dons j'ai voulus te protéger.
Moi: Me protéger de quoi ? De qui ?
Gabriel: Tu n'as jamais penser que ton don pouvais être convoité, tu peut dégoter les points les plus sensible chez les gens et avec du travail tu faire bien plus.
Moi: Tu as des exemples ?
Papa: Avec du travail, tu peut réussir à arrêter un cœur, le faire revivre, tu peut lui infliger des douleurs inexplicables ou un bonheur au bord de l'hystérie.
Moi: Oh mon dieu, c'est horrible.
Papa: Les personnes qui sont au courant vous appelle les faucheuses, vous pouvez hotté une vie si facilement que des agents de police ont été formé pour exterminer la ligner, ces de sa que nous voulons te protéger.

Des agents spécial veulent me tuer alors qu'ils ne savent même pas qui je suis en réalité, jamais je ne pourrais faire de mal à quelqu'un même les mouches - qui pourtant m'énerve plus qu'autre chose - je ne pourrais pas les tuer. Et pourtant une part de moi veut absolument maitriser ce don, suis-je normal, je pense que, quel être humain ne rêverais pas d'avoir des dons ce qui le rendrait "spécial", je veut apprendre mais je les utiliserais seulement quand il faudra.

Je me retourne et pas à l'encontre de mon père et sans attendre 1 seconde de plus, je passe mes bras autour de son cou et je le sert très fort dans mes bras. Il ne s'emble pas surpris par mon geste car il passe immédiatement ses bars autour de ma taille et il me sert fort contre lui. Je respire son odeur qui m'a manqué et je me hisse sur la pointe des pieds pour lui chuchoter quelque chose.

Moi: Tu m'as manqué, mon papouné d'amour.

Il rigole et j'entend quelqu'un d'autre ce mettre à rigoler, surement Gabriel car ces le seul dans cette pièce avec nous. Oui j'a 20 ans et oui je dit des mots digne d'une fillette de 4 ans mis je n'y peut rien, c'est mon père, le première homme de ma vie, mon premier amour et tant que lui ne me dira pas d'arrêter je continuerais à lui donné des surnom débile mais qui exprime beaucoup d'amour à mon sens.

Papa: Toi aussi mon bébé tu m'as manqué.

Ah vous voyez je ne si pas la seule à utiliser ce genre de surnom, mon père m'appelle encore "bébé" alors que j'ai 22 ans mais moi j'aime bien. Je me défait de étreinte et repars dans la chambre de Gabriel. Je fais le lit et je ramasse mes affaires, je cherche un sac dans lequel je pourrais mettre mes vêtement, je trouve finalement un sac de taille moyenne ce qui me suffit amplement pour mes affaires - il faudra que je pense à lui redonner la prochaine fois que je le verrais -. Un fois tous ceci accomplie je descend en bas et pars dehors rejoindre mon père, comment je le sais qu'il est dehors et bien j'en sais rien, juste un pressentiment. Il est adossé contre notre 4×4 et je monte directement dans la voiture, je claque la porte et j'attend que mon père monte lui aussi dans la voiture. Je regarde un peut autour de moi et je remarque 2 yeux et je connais bien ces yeux, ce sont ceux de Gabriel. Son regard est de braise et il réussi à abraser mes joue, je détourne vite le regard et ces le moment que choisi mon père pour remonter dans la voiture .

Loup où es-tu ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant