8-Mais qui est-ce ??

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PDV de Léna

Je suis assise au côté de Gabriel dans sa voiture de luxe, cela fais 15 minutes que nous roulons et pourtant j'ai l'horrible impression que nous tournons en rond. Pourtant à chaque fois que je regarde Gabriel il semble parfaitement savoir où il va, je lui accorde donc ma confiance aveuglément - et son cœur bat normalement -.

Finalement au bout d'une heure de voyage - enfin 20 min avant que je dorme le reste du temps - je vois enfin un grand bâtiment blanc avec des ambulances et pleins de panneaux pour indiquer les différent service que propose un hôpital; je sort de cette voiture et m'étire avec joie, plus d'une heure que mes membres ne bouge pas et je doit avouer que cela fais un bien fou quand on peut les étirer.

Je suit docilement Gabriel qui ce dirige vers l'entrée - je suppose -. Arriver devant un guichet une secrétaire nous reçois, Gabriel demande le numéro de chambre de mon père, la secrétaire nous demande si nous somme de la famille. C'est à ce moment que je réalise l'état de mon père, j'ai surement trop regardé de film étant petite, mais en général quand la personne nous demande si nous somme de la famille sans nous donner le numéro de chambre c'est souvent à cause de la gravité de santé du patient, plus c'est grave et plus les places son limiter.

Gabriel: Oui, c'est sa fille et je suis son beau-fils, n'est pas mon amour ??

Ne réalisant pas de suite ce que dit Gabriel, je sens son regard persistant sur moi ainsi que la secrétaire, je secoue ma tête et revient à la réalité. Je m'approche de Gabriel et me colle à lui, je glisse aussi ma main dans la sienne et un bras se pose sur ma taille, je rougis par ce geste et par le faite que nous soyons aussi proche dans un lieux remplis de gens.

Moi: Oui c'est exacte.
Secrétaire: Bien, il est au 5ème étage chambre B141.
Gabriel: Merci, passer une bonne journée.

Toujours main dans la main nous nous dirigeons vers l'ascenseur. Gabriel appuie sur le bouton du 5ème étage et les portes se referment lentement, une fois enfermé dans cet espace je lâches sa main avec regret. J'ai comme un manque, la chaleur que me provoquais sa main étais agréable, lui aussi semble déçu car sa main cherche encore à toucher la mienne. Nous restons silencieux jusqu'au 3ème étage, les portes s'ouvrent et un grand nombre de personnes font leur apparition ainsi qu'un fauteuil roulant, bien que les ascenseurs d'un hôpital soit très grand - de quoi contenir un lit d'hôpital - nous devons nous serer, pour éviter de me faire piétiner, Gabriel me prend par la taille et me colle fort contre son corps.

Gabriel: J'ai beaucoup de chance aujourd'hui.
Moi: Que voulez-vous dire ?
Gabriel: Et bien, j'ai la chance de me réveiller à vos côté, ensuite je suis votre "mari" et j'ai votre magnifique corps contre le mien, que demande le peuple ?
Moi: defgbhz, vous êtes un pervers !
Gabriel: Je ne crois pas avoir prononcé des mots déplacé à votre égard ma chère.

Je préfère rester silencieuse car au fond de moi je sais très bien qu'il a raison, mais il faut me comprendre aussi, aucun homme ne m'a fait ce genre de compliment au cour de ma vie ! L'ascenseur monte doucement jusqu'à ce qu'il s'arrêt au 5ème étage, nous sortons de la cabine, des yeux je cherche le numéro de chambre de mon père; quand nous le trouvons enfin je suis stresser, j'ai peur de découvrir son visage, les derniers souvenir qu'il m'a laisser ne son pas magnifique alors mon appréhension est à son comble; Gabriel à surement remarqué mon hésitation car il passe devant moi et ouvre la porte.

BIP BIP BIP, ce son les seul bruits incessant qui résonne dans cette chambre, mon père est là, allongé sur un lit blanc, des tonnes de machine autour de lui, des tuyaux des fils qui son relié à mon père. Mon père lui est aussi blanc que les draps qui le couvre, un énorme bandage lui couvre le cou et une parti de son épaule aussi, ses yeux son clos et sa respiration semble stable grâce à un masque - mais ce qui m'inquiète c'est que son cœur bat un peut trop lentement - je m'approche de lui et lui prend la main, sa main qui elle aussi est relier à un fil, qui est relier à deux poche, une rouge qui contient de sang... enfin je crois et une autre transparente; une question me brûle les lèvres mais en même temps elle me terrifie.

Loup où es-tu ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant