Loup où es-tu ?

12- Une balade très chère ?

Pdv de Gabriel

Après avoir souhaiter une bonne nuit à Léna je me retourne pour aller dans le sous sol du château, je compose le code secret qu'il y à l'entrer de la porte qui conduit au sous sol, personne ne connaît le code sauf Hélène, mon père, Elliot et moi. Quand j'arrive en bah mon frère m'attend mais je ne vois pas mon père, d'habitude c'est lui qui a toujours 1 heure d'avance sur nous, je ne pose aucune question et entre dans la cellule avec mon frère; Elliot la ferme à l'aide d'un cadenas avec un supplément de chaine pour être sur qu'aucun de nous deux fasse sauter la porte blindé.

Nous nous plaçons ensuite près du mur pour qu'on puisse s'enchainer, un collier, des menotte sur chaque poignet et aussi au cheville; je m'accroupie et attend la douleur qui me terrifie.

Elliot: Tu es inconscient mon frère.
Moi: De quoi me parles-tu ??
Elliot: De Léna voyons, pourquoi lui avoir révéler notre espèce ainsi que notre malédiction ??
Moi: J'aurais voulus retarder ces révélation mais j'ai été pris dans mon propre piège.
Elliot: Et puis-je savoir quel étais ce piège ??
Moi: J'ai senti sa présence bien avant qu'elle entre dans le domaine, j'ai aussitôt demander à Hélène de la renvoyer chez elle mais elle n'a pas réussi alors j'ai voulus le faire moi même mais j'ai été pris au dépourvue.
Elliot: Est-ce que tu pourrais développer ??
Moi: Elle ma dit qu'elle voulais des renseigne sur le surnaturel, j'ai tous de suite penser qu'elle parlait de vampire ou autre sauf qu'elle ma eu.
Elliot: Je pense avoir deviner la situation, cette humaine est assez rusé.
Moi: En effet, et mon frère.
Elliot: Oui ??
Moi: Quand tu décide de ramener une de tes putes, évite de t'endormir ou alors attache les pour ne pas qu'elles viennent m'importuner.
Elliot: Désoler, il est vrai que Sonia est quelque peut instable.... AHHHHH.
Moi: Mon frère qu'es ce qu'il t'arrive ??
Elliot: Tu ne le sens pas....AHHH.
Moi: Non, de quoi parles-tu ??
Elliot: AHHHHH...tu...tu devrais te sentir comme moi....AHHHH
Moi: La métamorphose a commencé ??
Elliot: OUIIIII...AHH.
Moi: Je ne sens rien, comment est-ce possible ??
Elliot: Je n'en ai aucune IDEEEEEEEE.

Je suis désarmé face à la douleur de mon frère, pourtant je sens que mon corps ce transforme mais je ne ressent aucune douleur, je me transforme très vite en loup alors que mon frère lui n'a même pas ses yeux de loup; je me débat pour aller l'aider et le soutenir dans cette épreuve mais les chaines m'en empêche, argh pour une fois que j'ai de bonne intention en voulant brisée ces foutus chaine je n'y arrive pas. Elliot tombe à terre et ce cambre de douleur, je sais très bien ce qu'il ressent en ce moment même, il a l'impression que tous ses os se brisent lentement, que ses muscles sont entrain de brûler au lance flamme, qu'il a l'impression qu'on lui arrache les yeux à la petite cuillère et que ses dents se font tirer vers le bas.

Mais soudainement il se transforme, il se relève et semble aussi surpris que moi. Il n'avais même pas ses yeux quand il est devenu loup; je m'en fiche un peut l'importance maintenant c'est qu'il ne souffre plus, il s'allonge et s'endort aussitôt, j'en fais de même sauf que je ne trouve pas immédiatement le sommeille; je pense, oui je pense au beau visage de Léna sous les rayons du soleil, à son rire, à son élégance, sa silhouette et c'est sur ces magnifique image que je m'endors pour un sommeille bien profond.

***

Je me réveille ce matin avec douceur, sans aucune douleur musculaire et sans avoir l'impression d'avoir été torturer pendant des heures la nuit dernière; j'ouvre doucement mes yeux et commence à me lever quand soudain j'entends un cri aigus, je relève la tête et je vois Léna qui a ses mains sur son visage, je me rend compte que je ne porte plus mes vêtement, j'avais oublié ce petit détail, quand nous nous transformons en loup en règles général ont déchirent nos vêtement même si en ce concentrant bien on peut éviter ceci mais comme je suis chez moi et que personne ne peut entrer au sous sol sauf Hélène qui ne rentre que très rarement par peur, je ne préoccupait plus de ce petit problème.