0)Prologue

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Je pris ma batte de base-ball à deux mains, et frappai la vitrine du magasins de bijoux. Les morceau de verres volèrent autour de moi au ralentie comme des milliers de paillettes argentées, sous le son assourdissant de l'alarme. Elsa prit à grosses poignées les bagues et colliers dorés et argenté surmontés de diamants étincelants, puis les plaça dans un vieux sac noirs en tissus chiffonné. Elle recouvrit ses les long cheveux blonds bouclés, pas brossé depuis des semaines, par la capuche de son vieux sweat-shirt noirs d'élavé. Et partit du magasin encourant, moi sur les talons. Mes long cheveux bruns volaient par la force du courant, comme s'envole un papillon par la force du vent.Nous traversâmes les rues sombres de Montpellier sous les rayon de la lune, se reflétants sur les flaques d'eau que nous piétinâmes à toute vitesse en direction de la vielle Clio rouge toute cabossé de Flavie. Il s'y trouvait Julie à la place passager, et Solenge au milieu de la banquette arrière. Nous y grimpâmes le plus vite possible. Elsa donna le sac à Solenge, qui était entrain de se mettre du rouge à lèvre pour faire ressortir ses magnifique cheveux blonds vénitiens et ses yeux verts, et en un énorme claquement,referma sa portière. Lorsque je fis la même chose, Flavie rajusta son bonnet en laine noir sur ses cheveux blancs, et démarra la voiture pour partir à vive allure dans les rues malfamées deMontpellier, se qui fit sursauter Julie qui était en plaine confection d'une queue de cheval.


La voiture s'arrêta devant une vielle maison abandonné et à moitié effondrée. Nous passâmes une porte en bois cassée pour entrer dans une immense pièce au murs de béton terne et au sol en parquet moisie recouvert de vieux journaux poussiéreux, de canette de bière, et de boite à pizza vide. Nous nous installâmes sur de vielle couverture trouées, et étalâmes notre butins au sole. Des dizaines de bijoux était placés devant nous, se qui faisait briller nos yeux emplis de joie.


Ça fait un peux prêt combien d'euro tout ça ? je demanda.


Beaucoup ! dit Elsa en en empoignant comme si c'était des pièces d'or et qu'elle était un pirate. Vraiment beaucoup !


Ah ! Ah ! Ah ! rions-nous sachant très bien qu'Elsa était très vénale.


Quoi ? demanda naïvement Elsa.


Rien du tout ! dit Solenge morte de rire.


J'ai faim... dit Elsa en se frottant le ventre et en grimaçant quelque minutes après que nous nous sommes calmées.


T'as tout le tant faim Elsa ! s'exclama Julie.


Non, mais sérieux ! J'ai la dalle !


Moi aussi, dit Flavie, je commence à avoir faim.


Ouais, la même, di-je en me tournant vers Julie. Tu peux pas aller chercher un truc à graille s'te plais ?


Pourquoi moi ? s'offusqua Julie.


Parce que c'est jamais toi qui y vas ! s'exclama Elsa. Et en plus, c'est toi qu'a le plus de tunes !


J'suis d'accord avec elle, dit Solenge.


Moi aussi, dit-je.


C'est bon ! S'écria Julie. J'vais y allé ! Mais pas toute seule ! Dit elle d'un ton défiant et en haussant un sourcil.


Hors de question que je reste seule avec elle ! Dit Elsa levant les bras et faisant les gros yeux.


Et moi, dit Solenge, hors de question que je te laisse seule avec les bijoux !


Tu peux y allé s'te plais Maddie, dit Flavie en fronçant les sourcilles, j'ai trop la flemme...


Ok...dit-je.



 Je sortis donc avec Julie à la recherche d'un vendeur de kebab ou de pizza dans les rues rafraîchie par la nuit. Nous trouvâmes enfin un camion à pizza après une bonne vingtaine de minutes, nous commandâmes donc une quatre fromage et une orientale. Nous revînmes avec nos trouvailles encore plus affamées, et les engloutîmes en quelques minutes entre les disputes de Julie et d'Elsa, et des blague pourries de Solenge. Une soirée tous ce qu'il y avait de plus normale pour mes amies et moi...




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Alors alors ??? Ça vous à plu ? J'espère que oui ! Si c'est le cas, voté et lisez la suite !

XOXO

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