CHAPITRE 2

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Arrivé chez moi, je me douche et descends aider Naïma à préparer le dîner.

[...]

Il doit être 1h du matin et je n'arrive pas à dormir. Je repense à cet nuit...

FLASHBACK:

- Yemma: SOFIAN ?

- Sofian: oui mama

- Elle: tu reste sage ont va rendre visite à ton oncle. Ont reviens se soir, d'accord ?

- Lui: d'accord

- Elle: Safia, si il a de la fièvre les médicaments sont dans la salle de bain. Si il y a un quelconque problème tu m'appelle.

- Tata Safia: oui t'inquiète pas.

Yemma fait un dernier bisous à Sofian et ont se dirige vers la voiture. Baba, Yemma et moi allions partir chez tonton Ramy. Mon frère était malade donc il pouvait pas nous accompagner. Tata Safia allée resté avec lui le temps.

[...]

Sur le chemin du retour il pleuvait beaucoup et je sentais baba un peu fatigué.

Quand tout à coups, il perdit tout contrôle de la voiture. Moi j'avais déjà commençais à pleurer, j'avais peur, je pleurais, criais.

Notre voiture était sortit de la circulation. Pendant qu'elle dérapé j'ai été éjectée de la voiture, parce que je n'avais pas ma ceinture. Sur le coups j'ai crue mourir, mais j'avais juste quelques égratignures.

Pendant que je tentais de reprendre mes esprits. Je vis la voiture de mes parents tomber dans le vide suivis d'une grosse explosion. Je me suis mise à courir sur l'auto route pour chercher de l'aide. Mais il n'y avait personne à cet heure ci.

Quand je vis au loin une voiture, je me mis au milieu de la route afin qu'elle s'arrête, mais celle-ci ne s'arrêta pas. Je n'ai pas eu le temps de me dégager de la route que je me suis sentis projeté au dessus de la voiture. Et puis plus rien. Je me souviens juste de m'être réveillé à l'hôpital.

_______________________

J'ai vue mes parents mourir cette nuit là. J'ai vue mon roi et ma reine partir. Tout ce que j'avais de plus précieux dans ce monde, ont me l'a pris. Cette sensation de solitude que vous avez quand vous perdez un proche, c'est à ce moment là que vous vous rendez compte à quel points vous les aimez, et à quel point ils sont emportant dans votre quotidien. Puis cette sensation de culpabilité que je ressentais au plus profond de mon être, j'avais juste envie d'aller les rejoindre. Une mère ont en a qu'une, elle est la seule qui serra toujours la pour vous, à vous écouter et vous conseiller, à vous aimez plus que qui conque. Montrez lui que vous l'aimez, que vous tenez à elle, faîtes la sourire parce que rien au monde n'est plus beau que le sourire d'une mère. C'est une fois partie que vous vous rendez compte que vous avez étais con. Con d'avoir préfèrer sortir tard la nuit avec vos amis, au lieu de veiller sur elle. Nos parents sont les seules personnes qui croiront toujours en nous, alors arrêter de vous pleindre et profiter d'eux, tant qu'il sont encore là.
Que Dieu préserve nos chers parents.

Ma tente me répété que c'était de ma faute, que j'aurais du mourir à leurs place. Oui, j'aurais peut être dû. Pendant des années je m'en suis voulu, mais aujourd'hui je suis plus une gamine. Je sais que je n'y suis pour rien. Je ressens toujours se manque au fond de moi. Parfois j'ai l'impression qu'ils sont là tout près de moi. Je rêve souvent de ma mère, je la vois rire aux éclats, c'est ce qui me fais du bien. De savoir qu'il sont heureux là où il sont. Ma mère m'avais dit un jour qu'avec baba, ils sont parties à la Mecque. Sa doit être un soulagement énorme d'y avoir était avant de mourir. Je rêve d'y aller aussi, avec mon mari et mes enfants. InshAllah.

[...]

Je finis tout de même par m'endormir... dans le lit de Naïma.

MERCREDI:

Je me réveil, Hamdoulilah. Les enseignants font grève aujourd'hui, donc ont a pas cours. Naïma non plus ne travaillée pas aujourd'hui. J'ai passer la matinée avec elle, à parler et passer du bon temps, sa faisait longtemps. Avec Soraya et Sila nous avons prévue une après midi entre fille puis dodo toute les trois chez Soraya.

Donc je me prépare. Je prends une douche, je m'habille d'un jean noir taille haute, un crop top rouge, une veste en cuire noir et mes huarache rouges. Je lâche mes cheveux. Je me maquille légèrement. Et je suis prête. D'habitude j'aurai mis un jogging et un pull mais la je sais pas, j'avais envie de me sentir belle.

[...] 17h

Après avoir fais quelques boutiques, ont se pose au mcdo.

- Soraya: oh, je vous dis un truc vous dites à personne !?

- t'inquiète

- Soraya: euh bah Younes ma demandé de sortir avec lui

- Sila: YOUYOUYOUYOUYOUUUUU SOSO ELLE A TROUVER SON HLEL SA Y EST

- Soraya: TAGEULE PUTAIN

Moi j'étais morte de rire, tout le monde nous regarder. Elle est vraiment pas discrète lol.

- et alors, tu lui a dit quoi ?

- Soraya: J'lui est dis j'vais réfléchir. J'l'aime bien Younes mais j'ai peur que mes frère l'apprennent tahu et puis j'suis jamais sortie avec un gars moi. J'sais pas comment sa marche.

- Sila: t'inquiète batata ont est là nous, ont va t'apprendre. Et t'inquiète regarde moi j'sort avec Houssem depuis 7mois mon frère là jamais su.

- Soraya: hmm oue et toi Sûria t'en pense quoi ?

- vous faites un jolie couple tout les deux. Younes je le connais pas vraiment mais il à l'air d'un homme bien, il est pas comme tout ces mec de cité. Nan franchement je suis contente pour toi.

- Soraya: oue enfait il habite pas dans la cité il a son apart en ville, mais sa mère elle habite ici donc il est là souvent. Puis il travaille dans une agence de voyage.

- Sila: MashAllah il à trouver sa voix.

- bah voilà une raison de plus d'accepter.

- Soraya: et toi Sûria ?

- quoi moi ?

- Sila: arrête de faire genre on sais que tu vois quelqu'un.

- n'importe quoi vous deux <rire>

- Elles: ont ta a l'œil

[...]
Se soir nous allons dormir chez Soraya, donc chacune repart chez elles pour préparé un sac.

[...]

- NAÏMA ?

- Elle: [...]

Elle doit sûrement être chez une amie. Je vais me changé, pour mètre un jogging et un pull. Je prends un sac de sport et j'y mets un pyjamas ainsi qu'une tenue pour demain.

Je ferme la porte d'entrée et je me retourne. Je vois deux hommes cagoulés.

J'ai instinctivement paniquée. J'ai courru le plus vite possible mais avec mes petites jambes je suis pas aller loin. Ils m'ont vite rattraper, j'essayer de me débattre mais en vin. Ils m'ont mis de force dans un vane. Mes larmes coulés de plus belle. J'arrivais plus à respirais,  j'avais des bouffés de chaleur. J'ai sentis comme une piqûre dans ma nuque, et je me suis assoupis aussitôt.

S&S- Fleur d'amour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant