Chapitre 1

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Les rayons du soleil qui traversent ma fenêtre me réveil brutalement.Mon portable sur ma commode indique 6h10. Mon alarme est prévu pour dans une heure mais tant pis, je n'arriverais plus a dormir. Autant être productrice en me levant.

Surtout que mon programme de la journée est assez rempli. Je décide de me diriger sous la douche.

La douche, c'est mon moment personnel, mon moment de réflexion.Aujourd'hui est censé être mon dernier jour de cours, mais c'est aussi le jour ou je pars direction la France alors pas d'école pour moi.

L'eau chaude coule sur ma peau tandis que je fais ma liste des affaires à ne pas oublier.

Maximilien a eu la gentillesse d'accepté de m'amène en voiture  jusque Eze. On prend la route pour quatorze heure, mais il a prévu de venir plus tôt pour m'aider à finir mes valises que je n'ai d'ailleurs toujours pas commencés.

Je sors de la douche et enfile un short court noir ainsi qu'un débardeur rouge bordeaux. Pour ce qu'il en est du maquillage, je m'applique un simple trait d'eye-liner et un petit coup de mascara puisque mes cils sont extrêmement long naturellement.

Je sors ensuite mon petit papier avec mon programme d'inscrit. Il est l'heure de prendre mon petit déjeuner. Je me dirige alors vers ma cuisine afin de m'emparer de deux tartines au nutella, un bol de céréales et un jus d'orange. Il ne faut pas penser que le tous les allemands mangent du salé le matin. C'est n'est que pur mensonge. Je m'installe devant la télé, c'est Inaller Freundschaft qui passe sur la plupart des chaines. C'est d'ailleurs devant celle-ci que je m'empresse d'engloutir mes céréales afin de commencer au plus tôt mes valises.


4h plus tard :


Le plus important de mes affaires est dans les valises, les vêtements,c'est fait, les chaussures... c'est presque terminé et les déco pour ma chambre, c'est fait aussi.

Un cri se fait entendre :


-La grosse, je suis la !


Je ferme la valise qui contient mes sous-vêtements et descend les escaliers en courant et en évitant de justesse de louper une – outrois – marches.

Lorsquej'arrive au niveau de la cuisine, je retrouve Maximilien qui se tient au bar et affichant un sourire large lorsqu'il me découvre.

Je suis pleine de sueurs lorsqu'il me sert dans ses bras tout en lâchant un petit « beurk ».





*****





Max est entouré des tonnes de cartons dont je n'ai pas encore eu le courage de jeter. Il les compte à voix haute tout en rigolant entre chaque chiffre.


Max :Me dis pas que je vais devoir foutre tous ces cartons dans ma polo ?

Moi :Haha très drôle... Non, j'ai juste pas encore la force de les jeter.


Il faut que je vous avoue quelque faits sur ma mère, c'était une vraie conne, toujours de mauvaise humeur et se plaignant à longueur dejournée que j'étais la faute de la séparation de mes parents.

Cependant,elle reste ma mère. Max s'approche de moi et me pose un baiser sur l'une de mes tempes, me faisant comprendre qu'il avait lu dans mes pensées. Cet homme a toujours eu le dons de deviner mes maux ainsi que mes faits caché. Il s'empare de trois cartons empiler tout en lâchant un petit bruit de sa bouche lorsqu'il découvre le poids des cartons.


Max :Je vais les déposer dans mon garage, on les jettera quand tu voudra,mais on peut pas les laisser ici. Tu sais que les nouveaux propriétaires débarque jeudi.

Lyndia: Le destin n'existe pas! Où les histoires vivent. Découvrez maintenant