Chapitre 3

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Moi :Encore toi ? C'est bon je sens bon maintenant ?


Ils'approche de moi et me renifle comme le ferrais un chien. Meparcourt la même sensation que celle qui glissait sur mon corpslorsque Alec avait son souffle sur ma peau.

Perturbée,je m'éloigne de lui tout en essayant de de paraître normale.


Erick :Voilà, maintenant oui.

Jele pousse contre le mur ou du moins j'essaye car il ne bouge pas d'unpoil suite à sa force musculaire et sa position.

Ilcommence à rigoler, à se cambrer, je décide de profiter de safaiblesse pour tenter de le repousser, cette fois-ci il tombe ausol, mais m'emporte avec lui dans sa chute en agrippant le bras.

Unedouleur se fait ressentir bien qu'il ni soit pas allé fort, bien aucontraire.


Moi :Aïe


Jem'effondre sur lui puis m'empresse de me retirer pour ne pas rendrece moment plus gênant qu'il ne l'est déjà tandis qu'il s'emparede mon bras pour regarder s'il y a une cause à mon cri aigu.


Erick :C'est moi qui t'ai fais ca ?


Jeregarde mon bras et découvre l'arrivé d'un bleu, bien que petit, ladouleur semble maintenant prendre tous l'avant de mon bras. Je relèvela tête vers Erick en haussant les épaules.


Moi :Non je pense que ça vient de Maximilien.


Ilpose sa main au niveau de mon cou, avant de la glisser derrière mondos, bien trop prêt de mes hanches tout en me forçant à descendreles escaliers à ses côtés.

Moi :Encore merci pour tout à l'heure, je le connais depuis toujours,mais il à jamais été comme ca je ne comprend pas...

Erick :Il ne sait pas ce qu'il perd...


J'accélèrele pas afin de rejoindre le plus rapidement possible au niveau desgarçons. Peut-être pour éviter une situation dont je n'ai pasenvie de faire face.

Unefois arrivé dans le salon il y a un grand canapé ou les gars sonttous couchés, il est aussi large qu'un lit et aussi long que le murauquel il est adossé. C'est un canapé en cuir sur lequel se trouveplusieurs couvertures plier les unes sur les autres et déposé surun tapis d'un style marocain. Collé à celui-ci se trouve, déposéà même le sol, un matelas pouvant accueillir deux personnes. Nonloin de la, il se trouve une table à manger de couleur blanche,c'est d'ailleurs la couleur prédominante dans cette maison,accompagné du beige et du noir. Au fond de la salle se trouve unimmense aquarium contenant un nombre incertain de poissons chacund'un type différent.


Juliense lève afin de récupérer une télécommande placé sur la tablebasse en verre qui à été décalé afin de laisser de l'espace aumatelas mit pour l'occasion. Une fois Julien levé, je me dépêcheà prendre sa place sur le canapé. Il se retourne immédiatement, meregarde avec des yeux pleins de colère, me pointe du doigt lematelas et affiche un sourire de vainqueur.


Julien :Dégage le canapé c'est à nous toi t'as le lit avec Erick.

Moi :Ca te dérange pas Erick ? Sinon je me pose à même le sol.

Lyndia: Le destin n'existe pas! Où les histoires vivent. Découvrez maintenant