2-l'élément déclancheur

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December 7, 2015 / 07:30 a.m

Comment bien commencer une journée sans s'occuper de l'ouverture général du Label. Ironie bien-sur. Vous devez vous demander se qu'est une ouverture général ?

Une ouverture général est lorsque tu es le premier employé arriver au Label, se qui veut donc dire que actuellement je suis seule dans l'immeuble jusqu'a 09 a.m, nice... Mon patron a forcement une dent contre mois pour me faire arriver si tôt un lundi matin, sachant qu'il sait très bien que les métros sont bondés le lundi matin et qu'il faut donc que je me lève à une heure pas possible pour pouvoir venir. Enfin bref, je suis devant le local, plus précisément à l'arrière, là où passe les employés. Et oui nous avions même pas le droit de passer par l'entrée principale qui est réservé aux artistes venant pour une création puis de toute façon ça ne me déplaît pas de passer par l'arrière car une fois entrée, je m'amuse souvent à joué à l'espion pour aller surprendre Fred entrain de dormir.

Fred ? C'est le garde de l'immeuble, enfin garde, c'est un bien grand mot, il passe ses nuits à dormir au mieux de faire son travail mais bon je l'apprécie se gros bêta, c'est un peut comme un second père pour moi. Je ne saurai expliquer notre relation, lorsque je suis mal et que je n'ai pas la possibilité d'appeler mes fouines* je me dirige directement vers Fred, c'est un très bonne oreille. Enfin bon se matin il n'est pas là, étant en vacance je ne pense pas le trouver ici, au label.

Stupide comme je suis, j'ai malencontreusement oublié les clés des portes principales du label, et en plus de cela quelques goutes d'eau se font ressentir dans mon dos, vous voyez dans la merde que je me suis fourrer ?

Bon bas il reste plus qu'à faire demi-tour et retourner les chercher. Aujourd'hui faut pas me faire chier au risque de se faire mordre.

Moi: Putin de journée de merde...soufflai-je

Oui je sais je suis un temps soit peut vulgaire mais ça c'est vraiment quand je suis énerver, enfin peut être pas que.

...: Besoin d'aide mademoiselle ?

Ne m'attendant pas à rencontrer quelqu'un de ci bon matin, je vous avouerai que j'ai eut un temps soit peut peur. Un tout petit peut. Bon d'accord, assez pour pousser un cris digne d'un film d'épouvante.

...: Excusez moi, je ne voulais pas vous faire peur, je voulais seulement vous prévenir que votre directeur vous attend dans votre bureau.

Il dut remarquer mon air interloqué puisqu'il continua son beau discours. D'ailleurs avec la lumière du soleil levant je pouvais distinguer que un de ses sourcils étaient entaillés dans sa largeur, était-ce fait volontairement ? "Excusez moi encore une fois, Charlie, Charlie Puth*". Me dit-il tout en tendant sa main que j'accepte sans non plus dissipé tout mes doutes. Que faisaient mon patron et un artiste aussi tôt dans l'immeuble?

Charlie: Je pense que l'on devrait rentré, Mr Duraff nous attend.

Nous nous faufilâmes dans cette immeuble habituellement vide à cette heure. Effectivement Mr Duraff, mon patron, était accoudé à mon bureau entrain de..fouiller dans mes affaires ?!

Moi: Mr Duraff je vous dérange peut être? Dis-je sans aucune once de gêne.

Mr Duraff: Pas le moins du monde Collins.

Moi: Pourquoi vouliez-vous me voir Monsieur ? Dis-je peut être un peut trop agressivement

Je vous avais prévenue se matin je ne suis pas d'humeur. La bouteille d'eau non entamer sur mon étagère me donna comme une envie subite de boire. Sans vraiment écouter se que Duraff me disait, je pris la bouteille et entreprit de la boire et peut être d'écouter Duraff. Le jeune homme de tout à l'heure, Charlie si mes souvenirs sont bon, était lui aussi accouder à mon bureau, à croire qu'il était confortable.

Fender's Label (III)Where stories live. Discover now