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Chapitre 1 : Le début de la fin

Il était 10h55 et on était un samedi, je venais tout juste de me reveiller de mon bon vouloir, alors qu'a mon habitude je me forcais à me reveiller assez tôt le week end pour en profiter comme il se doit, car sa n'aurait tenu qu'a moi je resterai dans mon lit pendant plusieurs décennies avant que je ne me reveille.

le pire dans tout ça est le fait que ma chambre était complètement plongé dans le noir, ce qui aurait dut me donner un sommeil encore plus profond, je n'en ai pas réelement tenu compte et je me suis juste contenter d'allumer la lumière et de m'habillé, la logique voudrait que j'ouvre les volets de ma chambre mais il y avait deux problèmes, le premier s'appellait cadenas et attachait les deux volets entre eux pour ne pas que je puisse les ouvrir, quant au deuxième il se nommais "flemmardise" qui m'empéchais d'aller cherchez une clé ou un marteau pour enlever le cadenas.

je me suis donc contenter de retirer mon débardeur gris ainsi que mon jogging troué faisant office de pyjama pour porter quelque chose de plus sophistiqué et de plus classe. je m'affubla donc d'un T-shirt noir et d'un jean, pour rajouter une touche de style assez personnel j'enfila également une petite chemise de vacances blanche qui allais étrangement bien avec mon T-shirt. je me suis décidé à sortir de ma chambre mais je constata que le reste de la maison était dans le même état que ma chambre, dans l'obscurité la plus totale, et comme si cela ne suffisait pas je venais juste de marcher dans un liquide visqueux.

J'ai donc décidé de prendre ma lampe torche sous mon Lit superposé (quand les amis viennent à la maison) afin de savoir ce qui se passait dans cette maison pour que tout soit plongé dans les ténèbres, j'alluma ma lampe avant de sortir pour constater que le liquide visqueux sur lequel je venais de marcher était du sang... du sang frais avec ça ça m'a plus ou moins inquiété, j'ai cependant pensé que ce n'était pas trop méchant étant donné que le sang n'éait pas dispersé partout dans la maison.

je suis donc parti en direction de la cuisine, en chemin je pouvais voir que l'ensemble de la maison était dans une pagaille incroyable, ça m'étonnait presque de la part de ma mère qui était une véritable maniaque de la propreté, par ailleurs je croisa ma mère dans la cuisine, débout, dans sa robe à fleur qu'elle portait la veille. elle ne semblait pas réagir à ma présence malgré le fait que je l'illuminait avec ma lampre torche, j'ai décidé de m'approcher lentement d'elle, peut être bien qu'elle était paniqué ou quelque chose du genre, je ne me méfiait en aucun cas étant donné qu'il s'agissait de ma mère, j'avais tord d'être si peu méfiant...

C'est au moment ou j'allais lui taper sur l'épaule qu'elle se retourna sauvagement et qu'elle m'attrapa par la gorge et le bras gauche, elle avait dévelloper une force que je ne soupçonnait en aucun cas. mais la chose qui me troublait le plus était son visage totalement défiguré, il y avait quelques morceaux de peaux arraché, du sang, et des boutons explosés, vrament dégueulasse, surtout qu'ils suintaient encore. j'ai décidé de la repousser avec un coup de pied bien placé avant de m'enfuir à nouveau dans ma chambre et de la fermer à double tour.

Ma mère m'avait suivi, et avait bien l'intention de me faire du mal d'une façon que j'ignorais encore, je n'ai donc pas perdu de temps, au fil que la porte de ma chambre s'éffritait je savais que je pouvais mourir de la folie meurtrière de ma propre mère, je chercha une arme capable d'arréter ma mère dans l'armoire et les seules choses que j'avais trouver était un stylo bic Bleu, une paire de chaussettes, quelques pièces de monnaies et une paire de ciseaux à bout pointues. Je n'ai pas plus réfléchis que ça et j'ai pris la paire de ciseaux en me préparant à l'assaut de ma mère.

Elle avait finalement réussi à casser la porte, je me suis doncmis en joue au cas ou elle viendrai à m'attaquer, elle me fonça dessus avant de se planter la tête dans la paire de ciseaux et de tomber raide, aprés avoir vomi suite à ces évenements j'ai finalement pris la décision de laisser entré la lumière dans la maison, je me suis donc dirigée dans la chambre des parents et ait examiné la caisse à outils de mon père pour trouver un marteau, j'ai commencé par casser le cadenas de ma chambre, pour avoir une vision apocalyptique de l'extérieur.

le quartier dans lequel j'habitait était totalement envahi par les flammes, le chaos était bien présent, je décida de prendre mon marteau et mon ciseaux avant de sortir dans la rue, une voiture allait passer par là, cependant plusieurs individus à l'opposé de la voiture me regardait fixement et il se sont tous mis à courir vers moi, je me suis finalement dirigée vers la voiture, il s'agissait d'une jeep, la conductrice de la jeep s'adressa à moi :

Conductrice : Monte ! vite !!!

je ne réflechis pas plus que ça et je monta à bord et je décampa d'ici en compagnie de la personne qui m'avait sauver, elle s'adressa à nouveau à moi :

Ophélie : je m'appelle ophélie, et toi tu t'appelle comment ?

Will : je m'appelle Will, Will ferguson.

Ophélie : je vois...

Will : il se passe quoi au juste ?

Ophélie : ce qui ce passe ? rien, mis à part que le monde n'est plus comme tu l'a connu, et qu'il ne le sera certainement plus jamais.