Viens m'attraper...

Chapitre 15

Lorsque j'arrive au salon, il me regarde de haut en bas puis s'exclame

- Zachary : Heureusement que je suis le seul homme ici sinon il y aurait bagarre pour t'avoir, t'es super sexy comme ça, t'es belle

- Madison : Merci c'est gentil

- Zachary : Non réel tu es magnifique mais on a qu'un envie c'est de te déshabiller

- Madison : Plus tard si t'es sage

- Zachary : Alors ta chasse qu'est-ce que cela a donné ?

- Madison : J'en ai tué une dizaine et un très rapide que j'ai blessé et je ne sais pas si ce n'était pas Hugo

- Zachary : Il y a des chances, et si malgré ça tu as réussi à le touché je suis fier de toi mais si c'était lui il risque de t'en vouloir

- Madison : Oui je m'en doute, et toi ?

- Zachary : Je ne te dirais pas combien, n'y comptes pas

- Madison : Non ! Je ne veux pas savoir ça !! Seulement si tu as comblé ta faim et que je ne risque rien

- Zachary : Tu n'as aucun risque je t'assure

- Madison : C'est bon à savoir... Sinon Hugo tu penses qu'il va faire quoi ?

- Zachary : Essayé de t'avoir avant moi, c'est son jeu préféré

- Madison : Avec ce que je lui ai fait il pense vraiment que je vais me laisser faire aussi facilement, il ne me connait pas !

- Zachary : Ça c'est clair qu'il ne t'a jamais vu te battre mais justement c'est ce qui l'excite

- Madison : Je ne comprends pas

- Zachary : Il est comme toi, il aime la traque et la chasse

- Madison : Il a vu où j'allais chasser donc je pense que je le reverrais là-bas, je sortirai demain pour voir

- Zachary : Je n'aime pas que tu sortes chasser avec lui dans les parages

- Madison : Parce que tu veux être celui qui me transmuteras et pas lui ?

- Zachary : Non cela n'a rien avoir

- Madison : Pourtant lui c'est ce qu'il veut, te passer dessus et me transmuter

- Zachary : Depuis le tout début il s'est mis à me contrer, je suis pour lui un adversaire et je ne sais pas pourquoi il réagit ainsi

- Madison : As-tu essayé de parler avec lui ?

- Zachary : Est-ce qu'il t'a donné l'impression de quelqu'un avec qui on peut parler ?

- Madison : Non c'est vrai, il est fermé et imbu de sa personne

- Zachary : Voilà tu l'as bien analysé

- Madison : Donc nous sommes dans une impasse, mais je ne peux pas ne pas réagir et lui laisser gagner du terrain, il faut qu'il voit que l'affaire ne sera pas aussi facile qu'il le croit

- Zachary : La difficulté c'est son adrénaline

- Madison : Eh merde ! Alors aide moi à le liquider comme ça toi tu auras eu ta vengeance et moi la paix

- Zachary : Tu me demande quelque chose d'impossible, nous avons des codes d'honneur, et celui-là je ne peux pas le transgresser

- Madison : Maintenant les vampires ont des codes d'honneurs alors que la vie d'un homme c'est un casse-croute !

- Zachary : Ne t'énerves pas ce n'est pas moi qui fait les lois

- Madison : Comment ne pas s'énerver franchement !!

- Zachary : Tu m'excites quand tu es énervée

- Madison : Arrête ce n'est pas le moment !!

- Zachary : Tes yeux étincellent quand tu cries, t'es trop belle

- Madison : Je vais te sortir ma dague et on va voir si tu es encore excité !

- Zachary : (rire) je t'aime belle Madison

- Madison : Moi aussi je t'aime vampire de mes deux

- Zachary : Viens ici que je t'enlève cette jupe, murmure-t-il

- Madison : Si tu arrives à m'attraper je serais toute à toi

Et je pars en courant dans les escaliers en direction de ma chambre espérant qu'il me rattrape, et quand j'arrive en haut il est déjà devant la chambre avec un grand sourire, il me porte sur son épaule et me jette sur le lit, il m'enlève tous mes vêtement sauf les bas et portes jarretelles, je suis allongée sur le dos et il se met au-dessus de moi

- Zachary : Tu as dit toute à moi, chuchote-t-il

Je fais oui de la tête, il prend mes bras et les mets au-dessus de ma tête et commence à me caresser avec ses mains et sa bouche sur mes bras, mes seins où ils s'attardent puis descend vers mon ventre, mon corps s'arque instinctivement puis ses mains caressent mes hanches et descendent le long de mes jambes puis remontent en les écartant légèrement, il me caresse l'intérieur des cuisses et les lèches, je laisse échapper de petits gémissement de plaisir, puis il remontent pour embrasser mes lèvres délicatement, je le regarde troublée par le désir, ses yeux sont d'un bleus à faire fuir mais je ne partirais pour rien au monde, il me fait subir un véritable supplice, mais quel délice, il passe sa langue sur ma bouche puis mon cou où il s'attarde puis continue sur ma poitrine, mon ventre et s'arrête sur mon intimité où il me donne du plaisir à en gémir plus fort, machinalement je tiens sa tête pour ne pas qu'il arrête, je suis au bord de la jouissance quand il s'arrête puis remonte sur moi, me tourne sur le ventre et se tenant derrière moi il me prend avec douceur, je ne l'attends pas je jouis en criant, il vient plus vite en moi et jouis à son tour, je me laisse retomber sur le lit à plat ventre, lui sur moi

- Zachary : Mon amour j'aime quand tu es toute à moi, je t'aime

- Madison : Je suis à toi, murmurais-je. J'aimerai te donner autant que tu me donnes

- Zachary : J'ai autant de plaisir que toi je t'assure

- Madison : Je t'aime mon beau vampire

- Zachary : Moi aussi je t'aime mon amour

- Madison : Depuis quand je suis ton amour ?

- Zachary : Depuis longtemps mais tu ne le savais pas

- Madison : Maintenant tu sais ce qu'il te reste à faire

- Zachary : Oui... Chasser...Manger... Je ne sais pas comment te le dire sans te choquer

- Madison : T'inquiète je me suis habituée, allez, file, je vais prendre un bain

Et il part rapidement alors que je prends le temps d'apprécier encore puis me lève et vais dans la salle de bain me faire couler un bain, je me regarde dans le miroir et me demande comment serait mes yeux si j'étais vampire, j'ai des réflexions étranges en ce moment, je ne me reconnais plus, simplement parce que je l'aime et que je ne veux pas le quitter or je sais que si je ne transmute pas il sera dans l'obligation de partir et laisser un autre me tuer. J'arrête d'avoir des pensées si négatives et rentre dans mon bain et repense au bon moment que nous venons de passer.