chronique de Maïssa: Quand deux univers se rencontre..

partie 1

salam aleykoum,

Moi: allo

...: oui, mademoiselle ******* Maïssa, hôpital ****** ****** on vous appel pour vous dire que votre frere Idrissa ****** vient d'etre admis au urgence...

Moi: QUOI!!!! ATTENDEZ C'EST GRAVE? J"ARRIVE DANS 10 MIN BOUGEZ PAS!!!

...: ......

bip bip bip 

je lui ai pas laissez le temps de parler que j'ai de suite racroché, je suis descendu en vitesse jai faillit tomber dans les escaliers, en bas du bloc comme d'habitude, les TDM qui te regarde comme si tu étais du poulet je lai ai meme pas calculer un peu beaucoup d'habitude je lai aurais tchipé mais la cas d'extremme urgence jai pas bataillé. Arriver a la voiture jai demarer en bombe, sur la route je roulé comme une niamato (une folle)

 PUTAIN si il lui ai arrivé un truc grave on va se faire allumé, c'est aller simple a Dakar pour nous deux, sans echapatoire, jsuis encore trop jeune pour me marier moi en plus avec un bledard, nannnn j'espere pour lui quil a rien de grave, nan sérieusement si il lui est arrivé quelque choses de grave je m'en remettrais pas, on parle d'Idrissa la, mon petit bébé, ya Allah faite qu'il ai rien de grave  

J'arrive donc à l'hôpital je cours directe à l'acceuil, comme une folle je depasse tout le monde mais on s'en fou mon bebe et a l'hopital

moi: la chambre d'idrissa ******* svp

Elle: *elle me regarde choqué facon la*  madame faut vous calmez et patienté comme tout le monde

moi: patientez en quoi je vous demande le numero de chambre de mon frère qui est sans doute dans un états plus que grave et vous me dit patientez?? donne au lieu de m'enerver plus que je le suis la

Elle: nan mais ca marche pas comme ca ici, attendez comme tout le monde

Moi: hé mais vous vous avez du mal a comprendre je demande juste le numéro de CHAMBRE je vous ai pas demander de me raconter votre vie

elle: vraiment on a de tout ici, calmer vous si vous voulez pas que j'appel la sécurité, chambre 221

je pars en courant vers celle ci, elle l'a je lai meme pas calculer elle a de la chance je suis presser sinon e lui aurais taper scandale a cette veille meuf la tchiip, breff une fois arriver a la porte je rentre comme une sauvage, depuis tout a l'heure jsuis en mode sauvage la mdrr,

 quand je le voit j'ai bloqué sur lui, le cœur lourd remplit de peine et de tristesse, sa me fait mal de le voir dans cette état,  tout amoché, tout faible, j'ai mal j'ai mal pour lui, ce que je vois n'est pas réel, c'est pas mon petit frère que je vois amoché sur ce lit d'hôpital, sa petite tête d'ange au visage balafré, c'est avec des perles salé qui menace de tombé que je m'approche de lui, je le prend dans mes bras, et la toute mes crainte s'envole petite a petit et je le serre de plus en plus fort, c'est avec un énorme soulagement que j'affronte se regard remplit de peur, et de tristesse

moi: il t'es arriver quoi *en touchant son vissage*

Lui: rien une petite bagare avec la cité ***** mais tqt c'est pas fini, ils ont trop fait les chaud a mal regarder tout ca tqt

Moi: humm tqt tqt de rien du tout enfant bête que t'es tu sais pas te défendre regarde l'état dans lequel ils ton mit, Idrissa je rigole pas vraiment j'espere pour toi que ta rien fait de grave parce que ton histoire la c'est pas trop ca

Lui: Mais tqt fait moi confiance nan je sais ce que je fais *il essaye de se relever un peu mais je vois qu'il fait une tete chelou,il se tient le ventre comme si il avait mal à cette endroit*