Anaïs (L'orphelinat)

Hôpital

~PDV DE LEILA~

Il était presque midi, je n'avais rien manger depuis longtemps. J'étais dans le couloir de l'hôpital, en face de la chambre d'Anaïs. Les médecins nous avaient sortie de la chambre pour lui laisser de l'espace. Marie et Alexandre étaient partis pour avertir le village que la cérémonie du mariage sera annulé et reporté au bon moment. Il ne restait plus que moi Sarah et Laurent, tout les autres devaient rentrer chez eux.

-Bon, je pense que je vais aller chercher quelque chose à la cafétéria... Dit Sarah en se levant.
-Je viens avec toi, j'ai faim. Di-je en la suivant.
-Je reste ici, je n'ai pas très faim. Dit Laurent.

-Alors comme ça tu connais Anaïs? Demande-ai-je.
-Ouais...
-Pourquoi tu est ici? En fait ce que je veut dire c'est plutôt, comment tu la retrouver?
-C'est compliqué en faite...
-J'aime les histoires compliquées, aller explique.
-En fait, à l'orphelinat où nous étions toutes les deux, je me suis faite adopter par des gens. A première vue ils avaient l'aire super gentil même que j'aurai souhaiter qu'ils soient mes vraies parents, puis, ils ont été très méchant avec moi, puis brusque, puis violent... Ils m'ont envoyé dans un pensionnat près de cette ville. La fin de semaine je me fessait battre, la semaine gueuler dessus, une merveilleuse professeure le remarqua et me pris sous son aile en devenant en quelque sorte ma nouvelle maman, j'habitais chez elle lors de mes fugue, je venais me réfugiés chez elle. Puis elle m'inscrivit dans une association pour les enfants comme moi qui vivait une relation difficile avec leur parents. Dans l'association, Cédric fessait partie de ces enfants. Lui et moi avions le même problème face à nos parents, alors nous avons rapidement sympathiser tout les deux... Puis un jour il est arrivé en retard, je lui ai demander pourquoi et il a répondu qu'il regardait ou espionnait été quelque sorte quelqu'un, au départ il ne voulait pas me dire qui, puis il m'as dit que c'était Anaïs...
-Cédric espionnait Anaïs?!
-Ouais... Comme j'en connaissais une, je voulait savoir si c'était la même... J'ai me suis aperçu que oui. Quand j'ai sue qu'elle était un détresse je me suis dépêché pour la retrouver, je ne voulait pas qu'elle parte de ce monde sans lui dire un vrai au revoir...
-Hô... Di-je en payant mon dîner, un peu nostalgique.
-Mouais... Alors c'est ça... Toi t'es sa meilleure amie?
-Ouais, on ne se quitte plus depuis son arrivée au village, enfaite on est dans un groupe mais Anaïs et moi on est très proche.

-LES FILLES! VENEZ ELLE S'EST RÉVEILLER!! Dit Laurent en fonçant vers nous à pleine vitesses.

Nous partions à courir sur tout l'étage. Arriver à la chambre, Anaïs avait bouger, sa tête regardais dans une direction autre qu'au départ, les yeux river vers la fenêtre. Puis nous nous sommes approchez d'elle.

-Sarah?! Dit elle en l'apercevant arriver vers elle.
-Oui c'est moi.
-Mon dieux que tu as changer. Awh j'ai mal au cou... Ou je suis? Dit elle en observant tout les alentours.
-À l'hôpital ma chérie. Dit Laurent en s'asseyant à ses côtés et en lui donnant un bisou sur sa main qu'il tenait entre les siennes.
-Pourquoi?
-Tu ne te rappelle pas? Demande-ai-je en l'approchant.
-Non...
-Tu t'es fait frapper par une voiture mon amour...
-Attendez je,..., Cédric! Où est Cédric?! Dit elle en s'énervant.
-Wow du calme ananas, tu as vue Cédric? Demanda Laurent curieux.
-Où il est?! Il faut que je lui parle! Putain que ça fait mal. Dit-elle en essayent de se lever.
-Wow Wow Wow toi, tu vas où comme ça... Dit Laurent en la rassoyant dans son lit.
-Bon là tu vas te calmer, respirer et arrêter de bouger ok?! Tu vas juste pas bouger pendant un peu de temps en restant à l'hôpital. Di-je en m'assoyant près de Laurent.
-Ok... Est-ce que je pourrais parler à Sarah? Ça fait trop longtemps, faut que tu me dise ce que tu es devenu ma vielle! Dit elle en incitant Sarah a s'asseoir à ses côtés.

Laurent lui donna un bisou sur le front puis nous sommes sortie laissant les deux filles dans la chambre. Par la fenêtre intérieur de la chambre, nous avions pue observer ce qui ce passait.
Anaïs s'était assise en tailleur sur son lit et Sarah sur la chaise que Laurent occupait, puis après quelques mots qu'Anaïs prononça, elles se prirent dans les bras après tout ce temps.