/ Chapitre 2 /

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La cloche sonna enfin, signifiant la fin de cette heure de mathématiques, que je qualifierai d'ennuyante, même chiante . J'entendis Eugène pousser un soupire de soulagement derrière moi . Je pris mon sac que je balançai sur mon épaule et je souris à Eugène . Celui-ci eut un petit rire moqueur, et je gonflai les joues . Il me taquinait encore et toujours , mais ce n'était pas méchant, et puis Eugène, c'est mon pote . Quand nous fument sorti, la plupart des éleves était déjà au self . Quand nous entrâmes dans celui-ci , il y avait, comme d'habitude , des rires, des sourires, mais pas que . À droite , je distinguais une fille, au bord des larmes, en train de se faire larguer par son copain . Enfin, c'est une hypothèse, mais comme j'ai toujours raison, ça doit être ça . Eugène passa une main devant mes yeux, me ramenant à la réalité .

-Hé, Blondasse, t'es avec moi ?

-Ouai, connard . Affirmais-je en riant .

On partit prendre des plateaux, ou comme d'habitude , je pris encore plus de nourriture qu'Eugène . Je suis un ventre sur pattes, comme dis Raiponce . Ça amuse toujours ma petite bande, la routine quoi . Quand on se dirige vers notre table attitrée, je découvre que deux bimbeches qui rigolent comme des hyènes y sont déjà, et mes amis eux, son relayer sur une table à côté . Je fulmine de rage . Je sais déjà ce qu'il sait passer : Raiponce et Mérida non pas osez les contredire, car elles sont les plus grandes commères de l'université . Cette table, c'est la base de notre rencontre, et de nos premiers éclats de rire . Il n'est pas questions que quelqu'un nous vole notre place . Mon sang bouillone, et comme d'habitude, je pars au quart de tour , avant même qu'Eugene puisse me retenir . Je m'approche, le regard menaçant .Les deux filles relèvent le regard et me regardent hautainement, l'une d'elles pouffe . Je vais lui arracher la tête ! Un rictus énervé vint montrer ma colère, et, avec lenteur , je vins faire craquer mes phalanges.Intimidations, menaces, c'est ce qui marche le mieux ici . Les pauvres filles ravalent la peur, et, quand l'une d'elles ouvre la bouche, sa voix est tremblantes .

-Qui, Qui a-t-il ...?

-Qui a-t-il ? Pas besoin de vous expliquer, je me trompe ? Dis-je en leur lançant mon sourire le plus effrayant .

Celle-ci hoche la tête, et toutes les deux partirent en prenant leurs plateaux . Je soupirai et me laissai tomber sur ma chaise . Je n'aime pas ce genre de fille . En fait, je n'aime pas grand monde à part mes chères colocataires. Quand Raiponce vint s'assoir près de moi, elle me sourit gentiment, et Mérida me proposa un tchèque au qu'elle je répondis en riant . Flynn s'assit près de moi et passa un bras autour de mes épaules .

-Sérieux, blondasse, tu faisais vachement peur . Enfin pas à moi, puisque je n'ai peur de rien !

-Ce n'est pas toi qui dors avec un nounours en peluche ?

Eugène fit une moue faussement vexer et Raiponce explosa de rire . Puis Mérida toussota . Raiponce se tut, ainsi qu'Eugene, et je relevai la tête vers Mérida . Elle lança un regard à Eugène . À côté d'elle , il y avait un garçon visiblement plein d'assurance, au sourire sûrement plus qu'hypocrite et aux cheveux étrangement blancs . Il devait faire la taille d'Eugène, voir un peu plus petit . Ces yeux étaient bleus comme les miens mais ne m'intéressaient pas du tout . J'ai appris à me méfier des gens . C'est donc ça mec qui va venir foutre la merde ? Qu'il essaie . Il a beau être plutôt attirant, moi, je ne m'approcherais pas de lui . Eugène prit donc la parole.

-Raiponce, Elsa, Mérida, je vous présente Jack Frost . Jack, je te présente Raiponce, Mérida et Elsa .

-Salut . Dit-il tout sourire.

Je ravalai un grognement et pendant que Raiponce et Mérida souriaient, je gardais mon air colérique . Pas questions de lui accorder un seul sourire .Je regardai Eugène, qui repris donc sont explications .

Ice, Fear, LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant