Histoire d'amour d'un garçon

Jumeirah

Comme pour le Fairmont, Nous ne sommes resté à l'Atlantis que deux nuits. Deux nuits qui sont passé bien trop vite. Nous avons de nouveau changer d'hôtel, cette fois plus sur le "palm" mais bien sur la terre ferme. Nous sommes allé au Fairmont. Avant d'y allé, j'étais super content car ma mère m'avais dis que là bas il y avais encore un parc aquatique géniale. Mieux encore que celui de l'Atlantis.

Lorsque nous sommes arrivé je su tout de suite que cet hôtel était beaucoup moins bien que l'Atlantis. L'hôtel était vachement moins beau. Une fois dedans, c'étais le bordel pour avoir notre chambre, nous avions du attendre deux bonnes heures avant de l'avoir ...

Une fois dedans, par contre, la chambre était sublime. Vachement grande. Un vrai appart. La vue était également magnifique. En fait cet hôtel est une sorte de mini village. Tout le monde peux y entrer (même les gens extérieur à l'hôtel) via un souk. Toutefois, les gens extérieur à l'hôtel nous pas accès partout. En gros il y  a l'hôtel et partout plein de petits restaurants ainsi qu'un souk. On peut soit y aller en marchant, soit en petit bateau. Oui car une rivière artificiel à été creusé. On peu donc allé partout via bateau.

Sur le coup je me suis dis que j'avais mal jugé cet hôtel qui au final n'étais pas si mal que ça. Mais je revint vite sur ce que j'avais dis. Le soir même nous ne sommes pas allé au parc aquatique car il étais trop tard. Nous allâmes au souk et nous nous promenâmes. Alors déjà le souk était un souk purement touristique et pas du tout traditionnel. J'ai du voir deux ou trois magasins qui vendaient des objets traditionnels.

Ensuite nous allâmes manger dans un des nombreux restaurants. Il y avais une queue monstre si bien qu'on avait du attendre facilement une demi-heure avant de pouvoir avoir une table. Ensuite nous retournâmes à la chambre. Là mes parents me demandèrent de garder mon petit frère et eux sortirent se balader un peu.

Là, je tomba tout de suite dans une énorme déprime. Pas besoin de vous expliquer la raison, je repensais à Florence. J'allât à la fenêtre et regarda le ciel. Je me disais que j'aimerai tellement me balader aussi avec elle, main dans la main. On pourrai prendre un bateau et faire le tour de l'hôtel. On aurait pu aller ensemble à la plage, s'allonger dans le sable et regarder les étoiles. J'aurais donner tout ce que j'avais pour pouvoir passer ne serait-ce qu'une heure avec elle. Elle me manquait tellement.

Finalement, le lendemain, nous allâmes au parc aquatique. J'avais passé une nuit vraiment à chier. Le lit étais pourri et je me réveilla une bonne dizaine de fois. Je pensais toujours à elle. Ma mère se demanda pourquoi le lendemain j'avais une tête de déterré et je lui dis juste que mon lit était horrible et que j'avais pas réussi à dormir.

Le parc aquatique était vraiment nul à chier. Lorsque nous avions regarder sur internet, nous avions vu que des bonne appréciations mais je compris vite pourquoi. Etant de l'hôtel, l'entrée nous étais gratuite, mais pour les gens hors de l'hôtel, l'entrée étais vraiment pas cher du tout contrairement à celui de l'Atlantis. Il y avais donc tout les "gens du peuple" (vraiment désolé de l'expression mais c'est la vérité). Il y avais plein d'indiens si bien qu'au final je n'ai fait aucun toboggan tellement il y avais de queue. Je me baigna avec mon petit frère jusqu'à ce que je vois un enfant chier dans l'eau et sa mère qui à juste bouger l'eau pour faire se dissoudre ce qu'il venait de relâcher dedans. Je sortis et je sortis aussi mon frère. Je trouvais sa juste ignoble. Deux minutes plus tard, je voyais un indien craché un énorme molard dans l'eau. Bref, ce parc aquatique était dégueulasse.

Je rentra donc à la chambre et n'en sortis pas. Je n'avais pas faim. Je ne faisais que penser à elle. Tout le temps, elle hantait mes pensées. Je n'arrivais pas à la sortir de ma tête. Je passa une nuit encore pire que la précédente et le lendemain, je ne sortis de la chambre que lorsque nous sortions les bagages pour quitter l'hôtel. Il était temps pour nous de quitter ce pays et de rentrer chez nous.