Regrets

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Je l’ai perdu,
La fleur qui donne la vie
Le temps devient soudain morose
Sans  l’engrenage de la vie.

Il ère quelque part dans les cendres de la verdeur
Il perdure là inerte
J’ai tout tenté, mais il n’a plus d’ardeur.

Ce fragment de la destinée
S’immortalise là sans vivacité
Il est en proie au désarroi
Sans savoir qu’il en  fut le roi.

La vie n’en fit qu’une miette
Dans le rivage des bordures, quiètes.

Je l’ai perdu,
La fleur qui donne la vie
Je ne suis que le fil des pensées
Confiné dans les abysses des cœurs oubliés

Déplorant l’abnégation faite par cette fleur
Mais elle fit son temps.

ConfessionsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant